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La politique monétaire financement de la croissance depuis de la révolution industrielle.

Publié le 04/04/2012

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La politique monétaire est un instrument de l'Etat dont il va se servir à l'occasion des guerres donc de manière conjoncturelle puis l'inscrire dans son action structurel à partir de 1945. Nous savons que 'accumulation de capital est au centre de la théorie classique de la croissance. Il convient dans ce cas de nous interroger sur la part occupé par la politique monétaire dans l'investissement afin de répondre à cette pbk. Nous constaterons en premier lieu que l'industrialisation (la première) se traduit par des besoins croissants de financement mais largement autofinancé. Pourtant, les instruments du financement montre une centralisation progressive du pouvoir monétaire au 19 ème siècle même si le financement de démarrage dans les pays de première génération répond à des besoins modestes. Il faut attendre la seconde partie du 19ème siècle notamment dans les pays du rattrapage pour que les banques agissent dans le domaine du financement. Nous opposeront ensuite à cette première période celle du financement depuis les 30 glorieuses jusqu'à nos jours, cad, le passage à l'économie d'endettement à l'économie de marchés financiers. Pendant les 30 glorieuses, un souple financement pour satisfaire la demande, puis le virage monaitariste pour lutter contre l'inflation avant d'aborder les changements dans le financement du capitalisme.

« 1. 1. Tous le 19ème siècle est parcouru par un débat entre les libéraux qui sont contre la banque centrale et les partisant d'une banque centrale auservice de l'Etat.

Ce débat va être tranché.

Il se produit ce qu'on appelle la controverse bullioniste.

Tout commence avec les guerresnapoléonienne, la GB est obligé de recourir au cours forcé de la monnaie.

Après 1815, doit on le maintenir ? Deux grandes écoles vont s'opposer.D'un côté la Banking school qui pense que l'inflation est réelle marquée par un pénurie, par la disloquation des échanges commerciaux, et que lasituation monétaire d'augmentation de la circulation de la masse monétaire enterine en fait ex-post cette situation (la monnaie est endogène dansce cas de figure, elle est commandé par les besoins de l'économie réelle et il faut donc de la monnaie de crédit à la demande), cette école est doncpour le maintien du cours forcé de la monnaie et de la création de la monnaie par des banques commerciales, et de l'autre, la Currency School dontle principal représentant David Ricardo, pense que la Banque centrale peut émettre de la monnaie que si les émissions sont entièrement couvertepar des lingots.

C'est cette école qui va l'emporter quand est voté le Peel's Act en 1844 qui interdit à la banque centrale d'émettre si elle n'a pas leslingots.

Il n'y a pas d'inflation, et la confiance des britanniques et de tout les marchés financiers est forte.

La banque de France est fondée en 1800,et c'est une des toute première et est fondé sous le régime d'une société par action, et elle émet 30000 actions de 1000 francs, les souscipteurs sontles hommes politiques importants. La banque de france n'a le monopole total de l'émission de la monnaie qu'en 1848 sous la 2nde république.

L'atittude des gouvernements va varier,elle demeure une banque centrale sans contrôle, c'est le conseil de régence de la banque de France qui régit jusqu'en 1836.

il y a une réforme à lamarge inneficace par Leon Blum en 1936 qui fait passer des 200 actionnaires à 20 actionnaires.

En 1945, l'état nationalise la banque de France. 1.1.3 Le développement des banques et des places financières. Il faut faire la différence entre les banques d'affaires qui disposent des fonds propres pour des prêts à long terme, et les banques de dépôt pour lepublic et les dépôt à vue.

Il existe aussi des sociétés hypotécaire, le crédit foncier de France et le crédit agricole 1852, ce sont des banquesspécialisées dans l'achat foncier et la fourniture de crédit aux agriculteurs.

Il faut ajouter les caisses d'épargne qui recoivent des dépôt etfournissent des intérêt minimes mais qui sont populaires car sur.

En GB , on assiste a un double mouvement de spécialisation et de concentrationdes banques.

Les Merchants banks de la city de londres dont l'activité est le commerce internationale , le fret maritime (l'escompte, l'arbitrage,l'armement et l'assurance maritime).

C'est la spécialisation.

Autre réseau, la country banks, qui sont des banques de proximités, qui sont trèsnombreuses, au 18 ème siècle, on en compte 400 et 900 en 1815.

c'est très important car elles irrigue en crédit tous le tissus national.

La GB disposede banques commerciales sur tous son territoire.

Leurs activités principales, financer le commerce , l'agriculture, l'inudstrie par l'escompte destraites.

Elles fournissent des prêts à court termes avec un faible taux d'intérêt avec une constance fixe de 5 % tout au long du 19ème.

À partir de1880, un processus de concentration des Merchants banks va aboutir à la constitution des Big Fives : Barclays, Westminster, Midlands … qui vont être en situation d'olygopôle.

En france après la révolution, la france va hérité de la haute banque de l'ancien régime, des banquesexclusivement parisienne (Rotschild), familliale, qui fonctionne avec leur fond propre, et qui ont un nombre restreint de client de très fortuné.

Lesecond empire est en France l'époque du sytème bancaire en autorisant les banques de dépôt en société par action, parce que c'est ledéveloppement du chemin de fer qui a besoin d'être financé, contrairement en GB où le chemin de fer existe après le maillage des banques, et qui aété financé par l'émission d'action.

Le problème, c'est que normalement la séparation n'est pas respecté, les grandes banques de dépôt vont selivrer à des activités mixte : d'affaire et de dépôt qui représente des risques.

L'allemagne va se doter d'un système bancaire novateur, des banquesd'affaires et de dépôt que l'état va encourager, 4 D en allemagne, c'est la concentration. Le financement de démarrage dans les pays de première génération. 1. 1. Des besoins modestes 1. 1. 1.. »

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