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L'INDUSTRIALISATION EN EUROPE ET EN AMERIQUE DU NORD DE 1850 A 1939 (HISTOIRE / ECONOMIE)

Publié le 03/09/2012

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Le libéralisme a ses limites observables dès la 1ère révolution industrielle. A partir des années 1830, on constate que les conditions de vie et de travail des ouvriers sont particulièrement dures. Ce constat est fait pas des médecins (Villermé) mais aussi par des écrivains (Hugo). Les ouvriers s’organisent (mutuelles), les églises et les notables pratiquent la charité, les patrons pratiquent parfois le paternalisme (il concerne plutôt les grandes entreprises). Il s’agit de la construction de logements, d’hôpitaux, de maison de retraite, d’écoles professionnelles. De façon à encadrer la population, a la fixer sur place mais aussi à assurer le mieux-être des ouvriers et du personnel de l’entreprise. Les logements de mineurs dans le nord s’appellent des corons. D’autres font un constat différent et proposent des solutions plus radicales. La doctrine Marxiste s’élabore à partir de 1848. elle distingue la bourgeoisie du prolétariat et dénonce l’appropriations par la bourgeoisie des moyens de production et d’échanges (usines, banques, mines, moyens de transports) qui asservie les prolétaires. Marx (1818-1883) et Engels (1820-1895) prône la révolution amenant les collectivisations des moyens de production et d’échange, la dictature du prolétariat prélude à une société sans classe. Marx a vécu dans trois pats qui ont connus le plus de changement (Allemagne, France, Royaume-Uni). La révolution française a favorablement changé le sort des juifs et il s’en est rendu compte. Marx est un lecteur de Hegel, un philosophe allemand qui a étudié l’histoire et, selon lui, l’Histoire n’est pas linéaire : il a une version dialectique de l’histoire (( L’Histoire est faite d’affrontement et de retour en arrière). Des travaux d’Hegel, Marx retient que s’il y a du progrès dans l’Histoire, il naît de l’affrontement des classes sociales. Pour lui, le changement ne peut venir que d’une révolution. Ce qu’il espère, c’est une société égalitaire, sans classe, qui ne pourra venir que si le prolétariat mène la révolution à son profit. Marx n’est pas un homme politique. Son œuvre fondamental est « Le capital « publié en 1867.

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« Doc n°1p50 Par combien la population parisienne a-t-elle été multipliée entre 1850 et 1910 ? La population totale du pays connaît-elle le même accroissement ? Quelles sont lesimplications sociales et économiques de cet accroissement. Doc n°3p50 Où ses situent les nouvelles extensions ? De quels types d’équipement ces quartiers ont-ils bénéficié ? Qu’est-ce qui motive l’implantation des grandes gares ? A quoi servent les nouvelles voies ouvertes ? Peut-on dire que la capitale a été reconstruite par Haussmann ?. A partir du milieu du XIXe siècle, le pouvoir se soucie, se préoccupe de transformer les villes a commencer par les capitales.

On ne se contente plus desaménagements monumentaux mais restreins dans l’espace du siècle précédent (place de la concorde).

A partir du milieu du XIXe siècle, un urbanisme moderneapparaît.

La paix relative’ qui règne en Europe permet aux villes de se débarrasser de leurs fortifications sauf Paris qui préfère les conserver.

On facilite la circulationen réalisant des percées au cœur du bâti (Boulevard St Michel) ou en aménageant des boulevards a l’emplacement des anciennes enceintes (Ring ( En Autiche àVienne).

L’accroissement du pouvoir de l’Etat et la volonté de renforcer le sentiment d’appartenance nationale explique la construction d’édifices prestigieux tels quele palais du Louvre, les tuileries, le parlement de Londres ou le Reichstag à Berlin.

Les équipements collectifs construits de façon rationnelle (hôpitaux, réservoirs,abattoirs et les halles de Paris) sont a mettre en rapport avec les préoccupations hygiénistes et les découvertes scientifiques.

Les gares constituent un éco de larévolution industrielle tandis que les théâtres, les musées et les grands magasins correspondent aux goûts et aux besoins de la bourgeoisie. 2.

Le triomphe de la bourgeoisie Partout en Europe à des divers degrés, la bourgeoisie l’emporte au XIXe siècle grâce au libéralisme économique et aux révolutions industrielles.

Elle se tourneprioritairement vers le commerce et l’industrie et, dans une moindre mesure vers l’administration.

Ses enfants bénéficient d’une formation solide dans desétablissements publics ou privés d’enseignement qui se développent alors.

L’essor de la presse et du suffrage universel lui confère un poids politique importantsurtout dans l’Europe du Nord-Ouest et aux Etats-Unis.

La grande et parfois la moyenne bourgeoisie s’allient aux vieilles familles aristocratiques qui conservent unpoids important tandis que la petite bourgeoisie s’efforce de se démarquer des classes populaires.

La bourgeoisie correspond autant a un mode de vie qu’à une façond’être (éthos) (valorisation du travail, de l’épargne, des convenances.

Recherche de distinctions par le mode de vie et l’apparence) qu’à un niveau de revenu.3.

Le monde ouvrier Doc n°2p58 De quels types d’activité s’agit-il ? Quelles sont les deux principales nuisances ? Décrivez le costume des ouvrières ? De quoi souffrent-elles ? Entre 1850 et 1939, les conditions de vie et de travail des ouvriers demeurent très rudes même si leurs sorts s’améliorent progressivement.

En France, le reposdominical a été institué en 1906 et les 8h de travail quotidien entre en application à partir de 1919.

Les enfants peuvent travailler à partir de 12 ans. Doc n°1p58 Des améliorations sont rendus possibles par l’augmentation des salaires.

Le monde ouvriers bénéficie de la croissance ce qui le sort progressivement des conditionsde vie très dure de la 1ère phase de l’industrialisation. Doc n°6p59 Sous quel régime ces mesures ont-elles été principalement prises ? Qui en a décidé ? Qui concernent-elles précisément ? Que favorisent les droits sociaux et syndicaux acquis en 1864 et 1884 La législation sociale a permise également d’obtenir des améliorations.

Elle est le fruit d’une prise de conscience d’une partie des classes dirigeantes (des députés),mais aussi des luttes du monde ouvrier lui-même.Des textes importants sont votés dès le second empire (droit de grève de 1864) et surtout sous la 3ème république (législation des syndicats en 1884) avant lesgrandes lois sociales de 1936. 4.

Socialisme, anarchisme, syndicalisme : une remise en question de l’organisation sociale. A.

Les thèses socialistes et anarchistes Le libéralisme a ses limites observables dès la 1ère révolution industrielle.

A partir des années 1830, on constate que les conditions de vie et de travail des ouvrierssont particulièrement dures.

Ce constat est fait pas des médecins (Villermé) mais aussi par des écrivains (Hugo).

Les ouvriers s’organisent (mutuelles), les églises etles notables pratiquent la charité, les patrons pratiquent parfois le paternalisme (il concerne plutôt les grandes entreprises).

Il s’agit de la construction de logements,d’hôpitaux, de maison de retraite, d’écoles professionnelles.

De façon à encadrer la population, a la fixer sur place mais aussi à assurer le mieux-être des ouvriers etdu personnel de l’entreprise.

Les logements de mineurs dans le nord s’appellent des corons.

D’autres font un constat différent et proposent des solutions plusradicales.

La doctrine Marxiste s’élabore à partir de 1848.

elle distingue la bourgeoisie du prolétariat et dénonce l’appropriations par la bourgeoisie des moyens deproduction et d’échanges (usines, banques, mines, moyens de transports) qui asservie les prolétaires.

Marx (1818-1883) et Engels (1820-1895) prône la révolutionamenant les collectivisations des moyens de production et d’échange, la dictature du prolétariat prélude à une société sans classe.

Marx a vécu dans trois pats qui ontconnus le plus de changement (Allemagne, France, Royaume-Uni).

La révolution française a favorablement changé le sort des juifs et il s’en est rendu compte.

Marxest un lecteur de Hegel, un philosophe allemand qui a étudié l’histoire et, selon lui, l’Histoire n’est pas linéaire : il a une version dialectique de l’histoire (( L’Histoireest faite d’affrontement et de retour en arrière).

Des travaux d’Hegel, Marx retient que s’il y a du progrès dans l’Histoire, il naît de l’affrontement des classessociales.

Pour lui, le changement ne peut venir que d’une révolution.

Ce qu’il espère, c’est une société égalitaire, sans classe, qui ne pourra venir que si le prolétariatmène la révolution à son profit.

Marx n’est pas un homme politique.

Son œuvre fondamental est « Le capital » publié en 1867. Doc n°3p62 Quel est le contexte ? L’auteur connaît-il le milieu dont-il parle ? A quelles institutions s’en prend-il ?. »

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