Science économique et social: Comment lutter contre le chômage ?

« Comment lutter contre le chômage ? Ll !"#$%#"&'(#))*$'+",)$*'(*'+-./01*'2 '3(' Le chômage à un impact économique et sociale que l’ont peut analyser à différent niveau: - sur l’individu il est plus souvent malade, anxieux, dépressif et suicidaire (un suicide sur 5). - Au niveau de l’entourage, mauvais résultat scolaire, mal nutrition, retard de croissance, … - La dégradation urbaine avec augmentation de l’insécurité. Le chômage donc des effets économique sociaux négatifs qui justi e la mise en place de politique publics ou le réduire. Ll I. Comment dé nir et mesurer l’emploi, le chômage et le sousemploi ? A.

Les indicateurs: Le nombre de chômeur désigne le nombre sans emploie qui en cherche un et son disponible.

Le taux de chômage rapporte le nombre de chômeur à la population active (population qui a un emploi ou qui en recherche un et qui est donc en âge de travailler. Le taux d’emploi est la population active occupé rapporter à la population en âge de travailler.

Cet indicateur permet de mesurer la capacité d’une économie à générer des emploies ou le facteur de production travaille mobilisable. Le sous emploi correspond au temps partiel subis.

Le temps de travail légal est de 35h par semaine. Le taux d’activité est la population active reporter à la population en âge de travailler. Le halo du chômage est la situation ou entre emploie, chômage et inactivité. B.

L’évolution depuis la n des 30 glorieuses: La période qui suit la Seconde Guerre mondiale est une période de croissance soutenue et de chômage faible (période de 45 aux années 70).

Cette période connait des changements importants en ce qui concerne l’emploie tel que: • La nition du travail. • L’augmentation du nombres des diplômés. fi fl fi fi fi À partir de la crise de 1973 (crise pétrolière), le chômage tent à augmenter en France et dans les pays Européen.

À partir des année 80 on parle de « chômage de masse ». II.

Quelles sont les causes du chômage ? A.

La composante conjoncturelle du chômage: l’impact des variations de l’activité économique: Le chômage conjoncturelle est le chômage due à un ralentissement de l’activité économique: • Le choc d’o re négatif est lié à une diminution de la production, la demande de travail va donc diminuer, ce qui va augmenter le chômage et le sous-emploie. ex: forte augmentation des matières premières. La covid Le choc de demande, la demande globale comprend la demande intérieur et la demande • extérieur (exportation).

Un choc de demande négatif peut engendrer une forte hausse du chômage. ex: la crise des « Subprimes » 2008 La loi d’Okun met en évidence une corrélation négative entre l’évolution du chômage et l’évolution du PIB. B.

La composante structurelle du chômage: l’impact des dysfonctionnements du marché du travail: Le chômage structurel, est le chômage lié à la structure de l’économie.

Il englobe le chômage frictionnel, le chômage lié au inadéquation spatial et de quali cation, le chômage dut aux asymétries d’informations et le chômage lié aux institutions … • Le problème d’appariement: les problèmes d’appariement entre l’o re de travail (ménages) et la demande de travail (producteur) entraînent du chômage.

On parle de problème d’appariement lorsque l’adaptation entre l’o re et la demande est di cile ou impossible. Cela peut concerner : - La quali cation, dans certain domaine professionnel, il existerait plus d’o re que de demande et en parallèle dans d’autre plus de demande que d’o res.

(ex: métier de la restauration; du BTP, de l’agriculture, …).

Il peut donc y avoir du chômage et des « métiers en tensions ». - Inadéquation spatial entre d’un côté le décalage qui peut y avoir entre le lieu des o res d’emploie et le lieu des habitation des demandeurs d’emploie.

(O re et demande d’emploie ≠ o re et demande de travail).

(ex: certaine région ont été fortement toucher par les délocalisation dans les années 80 comme dans le Nord et l’Est de la France.

À l’inverse la création d’emploi dans certaine région à été très forte, Île de France et Région de Rhône-Alpes). • ffi ff fi fi ffi ff ff ffi ff ff ff ff ff ff fi ff ff Le chômage frictionnel:(appariement), est lié au temps qu’il faut pour qu’une personne trouve un emploie après ses études ou après son dernier emploie.

Ce temps est lié à la recherche d’information, à l’étude des CV, au passage d’entretien d’embauche … • L’asymétries d’information et salaire d’e cience: Pour les économistes néoclassiques, sur un marcher du travail concurrentiel un équilibre se forme à un prix donné qui égalise quantité o erte = quantité demandé, il n’y a pas de chômage. Cependant dans la réalité le marcher du travail est imparfait du fait d’asymétrie d’information.

En e et, lors de l’embauche les employeurs ne connaissent pas réellement la productivité des employers.

Certains vont doc proposer des salaires élevés, a n d’attirer les salariées les plus productifs, c’est ce que l’on appelle la théorie du salaire d’e cience.

Ces salaires trop élevés entraînent un déséquilibre: quantité o erte supérieur à la quantité demandé.

(Autre manière pour dire qu’il y a du chômage).

Pour ces économistes le chômage est lié au comportement des employeurs, ils ne s’opposent donc pas à un salaire minimum. • Les institutions sur le marché du travail: - Le salaire minimum et les règles de protection de l’emploie, sont considérés comme créatrice de chômage par certains économiste.

En e et, le salaire minimum est considéré comme une rigidité de marcher, s’il est plus élevé que le salaire d’équilibre alors la quantité o erte sera supérieur à la quantité demander (autre manière pour dire qu’il y a du chômage).

De même la réglementation du travail peut nuire à la exibilité du marcher: la protection de l’emploi, les conjonction collective contraignent les employeurs, freinent le licenciement dans un contexte de concurrence, les freins au licenciement sont des freins à l’embauche. - À contrario, pour les économiste Keynésien, le salaire minimum permet de diminuer le chômage du fait d’une hausse de la consommation chez les ménages ayant une propension à consommer élever (part de la consommation dans le RDB).

De même, les règles de protection de l’emploi oblige les.... »