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SUBPRIMES ET CRISE ECONOMIQUE

Publié le 01/09/2012

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Ce plan de relance mis en place en 2008 a permis au pays de préserver sa croissance à 9% en 2009 contrairement au pays occidentaux qui se voyaient couler dans la dérive de la crise. La chine, pays émergent c’est démarqué des pays développés grâce à une croissance débridée du crédit qui a permis d’accroître les surcapacités industrielles et gonfler le secteur immobilier. On pourrait alors se demander dans quoi la crise touche t’elle la Chine ? Tout simplement dans les investissements des collectivités locales qui rappelons-le sont estimées entre 22% et 34% du PIB. Malgré cela, l’économie du pays reste difficile à manœuvrer, la politique monétaire se montre intransigeante pour baisser l’inflation. En 2010 celle-ci fut en augmentation constante et amena la hausse des prix à 5% traduit par les hausses des salaires programmées.Le risque serait alors dans un problème de répartition qui verrait les entreprises à défendre leurs profits en augmentant les prix. L’Europe est menacée de déclassement. L'Europe est-elle capable de retrouver un leadership dans le monde et une cohérence économique sur le plan continental ? C'est une question qui n'a pas été résolue, et l'Europe va en payer le prix. La crise a simplement fait apparaître ce problème plus vite que prévu. Il est évident qu'en l'absence de gouvernement économique consensuel et réactif, on peut craindre un déclassement de l'Europe. Si le chacun pour soi continue de régner, certains pays vont être confrontés à des difficultés considérables. Dans un espace aussi intégré que la zone euro, l'ensemble des Etats européens en pâtira.

« durable s’accompagnant d’un meilleur équilibre des pouvoirs.

Il faut également une société civile (mouvements de revendication présents dans les sociétés modernes)forte afin de limiter les dégâts du système politique.

Afin de remédier à cette crise, nous avons aussi quelques solutions envisageables, en terme économique, lasolution est la dévaluation, on imprime de la monnaie, les Etats Unis le font régulièrement, mais eut dispose d’une monnaie nationale ; mais cela est impossible avecune monnaie commune.

Nous avons aussi d’autres solutions comme une forte dépréciation de l'euro pour arriver au niveau du dollar ou bien la réduction rapide descoûts salariaux avec une accélération des réformes ; la déflation cumulative de 30% est une possibilité qui consiste en une baisse généralisée des prix qui entraineraitun accroissement du pouvoir d'achat de l'argent pour obtenir une dévaluation interne.

Il est très difficile d'arriver à une déflation car le pays a subit une explosionsociale.

Pour dévaluer, beaucoup d’économistes préconisent la sortie de la zone euro afin d'essayer de retrouver une compétitivité.

Cependant cela est difficile car ilfaut d'abord voir l'environnement adéquat mais la Grèce a un revenu par habitant de 28000 euros et la Turquie 10 000 euros ; ce qui n’est donc pas forcément unebonne solution.

Beaucoup pensent, que sortir de la zone euro n'est pas une solution pour la Grèce, car ça plongerait les Grecs dans une pauvreté pire encore.

Enrevanche, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Autriche et quelques autres pays membres pourraient sortir de la zone euro afin d’échapper à la dévaluation qui menace lamonnaie commune.

Il est ainsi possible de recréer une zone monétaire nommé « euro-mark » disposant d’une monnaie forte.

Ce choix aurait pour conséquences, laperte de la prime de liquidité qu’ils disposent dans l’euro, ceci affecterait leur compétitivité, et se serait la fin du marché unique pour l’Allemagne pour qui celui-ciest important.

Cependant, il n’est pas sûr qu’un gouvernement allemand ait envie de porter l’entière responsabilité de la disparition de la zone euro.La Grèce etl’ensemble des pays périphériques préfèreront la dévaluation, même s’ils doivent en payer le prix par un coût de financement plus élevé à l’avenir. Sans aucun doute, pour sortir de cette crise, la Grèce doit réaliser des privatisations car le secteur public est trop important ; tout en ajoutant à cela, une bonneutilisation des fonds communautaire.

La Grèce doit absorber 15 milliards in absorbés pour les grands travaux.

La Commission a créé une task force, qui est ungroupe dont la mission est d’aider à l'utilisation des fonds.

Les services publics défaillants seront donc dans l’impossibilité d'obtenir des ressources.

Depuis 1982, laGrèce a obtenu en subside 250 milliards d'euros d’aide financière.

La Grèce doit mettre en œuvre un plan très rigoureux d’ajustement de ses finances publiques sur dix ans, par une déflation réelle considérable, sans pour autant que la gouvernance européenne et les règles de fonctionnement de la zone euro ne changent.

Quant aeut, les autres pays membres de la zone euro peuvent lui venir en aide par l’intermédiaire de prêts qui permettent au gouvernement grec de financer ses besoins à desprix qui ne soient pas excessifs.

Ainsi, la gouvernance de la zone euro progresse car il est urgent de trouver une solution à la crise (intégration fiscale, coordinationdes politiques économiques, disciplines communes respectées).

Cependant, du fait que dans la zone euro, nous pouvons distinguer deux modèles économiquesdifférents avec d’un coté l’Allemagne qui accumule les excédents, et de l’autre la France et les pays du Sud qui accumulent les déficits budgétaires, les déficitscommerciaux et une dette croissante.

L’euro se déprécie et une nouvelle crise est donc envisageable.

Une autre méthode peut donner des résultats, celle d’unchangement important du système politique, qui traiterait les problèmes économiques monétaires qui évolueront vers une sortie de cette crise financière.

En effet, desréformes structurelles doivent être faites, surtout en ouvrant certaines professions ; car de nombreux secteurs sont verrouillés (pharmaciens, opticiens, dentistes,routiers, ...).

Le marché est cartellisé (ce qui limite la concurrence) et fermé aux importations.

Sur un niveau purement économique, nous pouvons évoquer cinqsolutions concrètes qui seraient : une restructuration de la dette ; où la Grèce renoncerait à rembourser la moitié de sa dette.

Mais cette solution est risquée, carcertaines banques pourraient s'effondrer.

Nous avons ensuite un rééchelonnement, le principe étant que les créanciers prolongent les échéances de remboursement.Mais les trois grandes agences de notation pourraient assimiler cela à un "défaut de paiement" partiel.

La troisième option serait les euro-obligations, c'est-à-dire, queles pays de la zone euro pourraient prendre en commun des emprunts sur les marchés, ce qui mutualiserait les risques.

Se serait une affaire pour la Grèce quibénéficierait de meilleures conditions ; mais pas pour d'autres, qui seraient obligés de payer davantage.

Cependant, la France et l’Allemagne ont exclu le recours àdes euroobligations, le 5 décembre 2011 qui ne sauraient être "en aucun cas une solution à la crise", selon M.

Sarkozy.

De plus, nous avons le rachat de la dette, où laGrèce pourrait racheter à un bon prix ses emprunts d’État, ce qui ferait baisser le volume de la dette.

Le problème étant que les pays de la zone euro, via le Fonds desecours financier, seraient obligés de débloquer beaucoup d'argent.

Et enfin, nous avons la taxe bancaire, censée s'appliquer à toutes les banques de la zone euro.Cette solution est difficile à mettre en place à court terme.

Une option également rejetée par les banques.

Ces deux dernières solutions ne sont pas soutenues par lesbanques. Enfin, si l'Europe n'arrive pas à sortir de cette crise en renforçant ses structures, elle sera destinée à sa perte.

Cependant, ce n’est pas en retournant aux nationalismesque l’Europe sortira de la crise. CONCLUSIONNous pouvons donc conclure, que le phénomène de la crise grecque est la suite de la crise financière de 2008 Aujourd’hui, le problème de cette crise n’a pas encoreété résolu et elle touche donc toute l’Union Européenne puisque que les pays voisins comme l’Italie ou l’Espagne et produit une crise de l’€uros voir sa perte avec savaleur qui baisse.

Quelques solutions pourraient être envisagées mais pour que la Grèce redevienne un pays stable c’est un profond changement de son économie queLa République hellénique doit opérer.

Nous pouvons nous poser les questions suivantes : La Grèce Pourra-t-elle sortir de cette crise ? si la crise de la Grèce nes’arrange pas, pouvons-nous remettre en cause le système capitalisme dans lequel nous vivons ?. »

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