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Fondée au XVIIe siècle sur la côte atlantique, symbole de

Publié le 16/11/2013

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Fondée au XVIIe siècle sur la côte atlantique, symbole de la guerre d'Indépendance contre l'Angleterre, ville-phare pour les immigrants du XIXe siècle, annoncée par la statue de la Liberté érigée en 1886, New York constitue une agglomération de 25 millions d'habitants, qui rassemble cent soixante-seize nationalités. Première métropole économique des ÉtatsUnis, célèbre par les gratte-ciel conquérants de Manhattan, et siège des Nations unies, la ville est aussi une vitrine de la vie culturelle américaine. New York est la plus grande ville des États-Unis, située à l'embouchure de l'Hudson dans le sud-est de l'État de New York, sur l'Atlantique. La cité proprement dite, surnommée familièrement Big Apple (la « Grosse Pomme »), compte 7 325 000 habitants sur 8 000 km 2. Elle est le centre d'une vaste agglomération, qui s'étend sur les États voisins du Connecticut et du New Jersey, et qui regroupe 25 300 000 habitants sur une aire de 18 000 km 2. La ville de New York comprend cinq boroughs (districts) : Manhattan entre l'Hudson et l'East River, Bronx au nord-est, Brooklyn et Queens à l'extrémité occidentale de Long Island, et enfin Staten Island (anciennement appelée Richmond) au sud-ouest. Naissance et développement Le navigateur italien Giovanni da Verrazano, envoyé par François Ier , parcourut la côte est de l'Amérique du Nord et séjourna dans la baie de New York en 1524. Près d'un siècle plus tard, en 1609, l'Anglais Henry Hudson, au service des Hollandais, découvrit le fleuve qui porte aujourd'hui son nom et en remonta le cours. Puis les Hollandais fondèrent dans cette région la première colonie, appelée Nouvelle-Hollande. En 1626, le gouverneur Peter Minuit acheta pour l'équivalent de 24 dollars l'île de Manhattan aux Indiens Iroquois. Dans cette île qui conserva son nom indien fut alors fondée la ville de La Nouvelle-Amsterdam (Nieuw Amsterdam). En 1664, les Anglais s'emparèrent de la ville, qu'ils baptisèrent New York en l'honneur du duc d'York, frère du roi Charles II. Malgré les conflits avec les Indiens et les heurts entre les colons et l'autorité royale, la ville se développa ; en 1783, elle comptait 24 000 habitants. Durant la guerre de l'Indépendance contre l'Angleterre, les New-Yorkais se rangèrent du côté des insurgés. Leur ville fut choisie comme capitale de la Fédération en 1783 ; malgré le transfert de la capitale fédérale à Philadelphie en 1790, puis à Washington en 1800, et le choix d'Albany en 1797 pour capitale de l'État de New York, le développement démographique et économique de New York fut considérable. Les trois quarts des immigrants venus aux États-Unis pendant le XIXe siècle arrivèrent à New York et nombre d'entre eux s'y installèrent. Le territoire de la ville fut multiplié par 14 entre 1850 et 1900, tandis que le nombre de ses habitants passait de 500 000 à 3 400 000 (et 5 500 000 pour l'agglomération). New York devint la première métropole économique des États-Unis. Sa position exceptionnelle lui permit de servir de relais entre les États-Unis et l'Europe. Construit entre Buffalo et Albany, le canal de l'Érié, ouvert en 1825, facilita la navigation entre les Grands Lacs et New York. Le développement d'un important réseau de voies ferrées dans la même région intensifia les échanges : les produits des États voisins des Grands Lacs, acheminés vers New York, pouvaient être exportés vers l'Europe. Le port servit également d'entrepôt pour les produits importés. Parallèlement, les activités industrielles se multiplièrent, favorisées par l'existence d'une main-d'oeuvre abondante et d'un vaste marché de consommation. Au XXe siècle, New York est devenue l'une des premières villes du monde ; son importance par rapport à l'ensemble des États-Unis s'est toutefois réduite en raison du développement d'autres métropoles. La croissance démographique s'est poursuivie, mais à un rythme plus réduit. De 1892 à 1943, les immigrants débarquaient d'abord à Ellis Island, petite île située au sud-ouest de Manhattan, à proximité de celle où avait été érigée en 1886 la statue de la Liberté, oeuvre du sculpteur français Auguste Bartholdi. Entre les deux guerres mondiales, de nombreux Noirs venus du sud des États-Unis s'installèrent à New York, puis, après la Seconde Guerre mondiale, ce furent des Portoricains. Depuis une période plus récente, les Hispaniques constituent la principale population immigrée. La population new-yorkaise est donc très cosmopolite (176 nationalités sont aujourd'hui recensées). Les Blancs représentent 72 % de la population de l'agglomération, mais seulement 51 % de celle de Manhattan, avec quelques grands groupes (juifs, Irlandais, Italiens) ; les Noirs (16 % pour l'agglomération) sont plus de 25 % dans New York City. Enfin, les habitants en provenance de l'Amérique latine représentent 11 % de la population de l'agglomération et le nombre des Chinois est en augmentation sensible. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Bartholdi Frédéric Auguste Hudson Hudson Henry Indépendance américaine (guerre de l') Iroquois Verrazano (Giovanni da) Les livres New York - la Liberté éclairant le monde, page 3422, volume 6 New York - l'Empire State Building, page 3423, volume 6 La configuration de la ville En plus de la division en cinq boroughs, qui sont des circonscriptions administratives, New York est caractérisée par la juxtaposition de quartiers très différents, notamment du point de vue de l'urbanisme. Manhattan, centre nerveux de la ville, occupe une île allongée entre l'Hudson et l'East River. À l'exception de l'extrémité sud, c'est un damier presque parfait. Les avenues, d'orientation nord-sud, et les rues, d'orientation est-ouest, se coupent à angle droit ; au lieu de noms, elles portent des numéros attribués du sud au nord pour les rues, et d'est en ouest pour les avenues. L'artère de Broadway constitue une exception remarquable, puisqu'elle coupe en oblique certaines voies. Les gratte-ciel donnent à Manhattan sa physionomie caractéristique. Au sud de l'île (Downtown) sont situés certains des plus anciennement construits, qui, très compacts, écrasent de leur masse un réseau de petites rues, notamment Wall Street, véritable canyon urbain plongé dans l'ombre, devenu en raison de la Bourse et des banques qui s'y trouvent le symbole de la puissance américaine. C'est à Downtown que l'on trouve également les plus hauts gratte-ciel de New York et les deux tours jumelles du World Trade Center (412 m). Dans la partie centrale, en bordure sud de Central Park, Midtown est un quartier de gratte-ciel érigés à partir des années trente : on peut y voir par exemple l'Empire State Building (381 m), le Chrysler Building (318 m), les multiples édifices du Rockefeller Center ou encore les bâtiments de l'ONU sur l'East River (Secretariat Building, haut de 168 m, est le prototype des immeubles aux murs en rideaux de verre et à armature d'acier). Entre ces noyaux s'étend une zone de constructions basses avec un quartier chinois (Chinatown), un autre italien (Little Italy), des quartiers résidentiels recherchés comme Greenwich Village, d'autres, moins prestigieux, souvent en cours de rénovation. Les espaces verts de Central Park occupent un vaste rectangle de 4 km de long et 800 m de large. Dans le nord de l'île (Uptown) s'étend Harlem, la ville noire qui connut son moment de splendeur dans les années vingt et qui est désormais, malgré un effort de rénovation, le symbole de la dégradation urbaine. De nombreux habitants originaires d'Amérique latine sont désormais établis à Harlem, notamment à Spanish Harlem, plus à l'est. Brooklyn, sur Long Island, est le quartier le plus peuplé. Il conserve tous les aspects d'une véritable ville avec des entreprises ainsi que des quartiers commerciaux et résidentiels, dont certains sont bâtis en hauteur tandis que d'autres sont formés de maisons individuelles. Comme à Manhattan, les contrastes sont frappants entre les quartiers, certains élégants et d'autres déshérités. Queens, également sur Long Island, et le Bronx, sur le continent, sont plus aérés : les maisons ou les immeubles de dimension modeste y dominent. Toutefois, ils sont sociologiquement très différents ; tandis que Queens est habité par les classes moyennes, le Bronx comporte de nombreux taudis. Staten Island enfin, le moins peuplé des boroughs, est un quartier de villas resté en partie rural. Manhattan est relié aux autres quartiers et à la banlieue par des ponts, comme Brooklyn Bridge, long d'environ 1 800 m, sur l'East River, et Washington Bridge, long de 2 652 m, sur l'Hudson, et des tunnels, comme Holland Tunnel et Lincoln Tunnel sous l'Hudson. Un nouveau pont, Verrazano-Narrows Bridge, relie Brooklyn à Staten Island. Le métro assure environ 40 % du trafic interurbain. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Broadway East River Empire State Building Flushing Meadow Park gratte-ciel Harlem Long Island Madison Square Garden Manhattan Metropolitan Opera Met New Jersey Olmsted Frederick Law Rochester Rockefeller Center Seagram Building Skidmore, Owings & Merrill Wall Street Les livres Gropius Walter - le Pan American Airway Building, page 2253, volume 4 New York - Manhattan, page 3422, volume 6 New York - le Rockefeller Center, page 3423, volume 6 New York - Greenwich Village, page 3423, volume 6 New York - fête du Nouvel An chinois, à Chinatown, page 3423, volume 6 New York - Harlem, page 3424, volume 6 New York - Central Park, page 3424, volume 6 temps - Penn Station, une gare de New York, dans les années quarante, page 5121, volume 9 États-Unis - Columbia University, page 1753, volume 4 habitat - quartier du Bronx, à New York, page 2300, volume 4 Une métropole politique et économique La ville de New York joue un rôle politique essentiel, non seulement à l'échelle nationale, en raison de sa population et de sa puissance économique, mais aussi à l'échelle internationale puisqu'elle est le siège de l'Organisation des Nations unies. New York est également une métropole économique d'envergure internationale. Elle exerce des fonctions tertiaires de haut niveau ; de nombreux sièges sociaux de grandes sociétés américaines, ainsi que d'importantes directions de firmes étrangères y sont installés. Sa Bourse des valeurs (le New York Stock Exchange, à Wall Street) est la première du monde avec celle de T? ky? ; de grandes banques, des compagnies d'assurances, des cabinets d'avocats-conseils et de multiples autres entreprises contribuent à en faire une grande place financière. Le superlatif règne à New York, qui est également le premier centre industriel des ÉtatsUnis. On y trouve une grande variété d'industries de biens de consommation (confection, produits alimentaires) et d'industries de pointe (électronique, bureautique, armement, aéronautique, pharmacie et biogénétique) ainsi que du raffinage pétrolier et de la pétrochimie. Au service de toutes ces activités économiques, les installations portuaires assurent un trafic de l'ordre de 50 millions de tonnes (elles sont situées sur les quais de l'Hudson et se prolongent dans la baie de Newark). New York est en outre dotée de grands aéroports : La Guardia, d'où rayonnent une multitude de lignes intérieures, et l'aéroport John F. Kennedy, qui est affecté au trafic international. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Associated Press Bourse Chase Manhattan Bank place financière Wall Street West Point Les livres gratte-ciel, page 2211, volume 4 Mies van der Rohe Ludwig, page 3197, volume 6 New York - le port de New York, page 3425, volume 6 Saarinen Eero, page 4553, volume 8 crise économique - immeuble de la Federal Reserve Bank,à New York, page 1318, volume 3 crise économique - le Stock Exchange de New York, à Wall Street, page 1318, volume 3 La vie culturelle new-yorkaise Véritable ville phare en matière de création, New York offre une vie intellectuelle très riche. Elle possède deux grandes universités, New York et Columbia, des instituts de recherche et des bibliothèques, notamment l'une des plus grandes du monde, New York Public Library, située au croisement de la 42e Rue et de la 5e Avenue. Les musées sont nombreux et bien aménagés. Les plus célèbres sont le Metropolitan Museum of Art, le Museum of Modern Art (MOMA), le Salomon R. Guggenheim Museum, le Whitney Museum of American Art et l'American Museum of Natural History. Les arts du spectacle, traditionnellement très vivants à New York, témoignent d'une grande diversité de genres. Broadway est désormais spécialisé dans les représentations grand public, surtout des comédies musicales techniquement parfaites, tandis que de petits théâtres, fuyant les coûts de production et d'exploitation prohibitifs, proposent des spectacles off-Broadway et off-off-Broadway , souvent avant-gardistes. Carnegie Hall est l'une des salles de concert les plus célèbres du monde et Lincoln Center for the Performing Arts, l'un des établissements artistiques les plus prestigieux ; il abrite le Metropolitan Opera, le New York City Opera, le New York Philharmonic et le New York City Ballet. Dans l'histoire du jazz, New York a joué dès les années vingt un rôle de capitale. C'était l'époque de la « Harlem Renaissance », phénomène culturel éphémère qui fascina les intellectuels européens (Picabia, Stravinski, Morand, Blaise Cendrars, García Lorca, Van Vechten) et fit découvrir la négritude à l'Ancien Continent. Le quartier nord de Manhattan n'était pas encore un vrai ghetto, du moins le soir, puisque tous les noctambules venaient y danser au son du jazz. C'est dans les cabarets de New York que les pianistes « stride » faisaient assaut de virtuosité, émerveillant Gershwin et Ravel, et que les somptueuses revues financées par des gangsters-mécènes (notamment au Cotton Club) entretenaient des big-bands comme ceux de Fletcher Henderson, de Duke Ellington et de Cab Calloway. Les meilleurs vocalistes s'y sont révélés lors des concours amateurs ( contests) de l'Apollo, ou par leur contribution aux innombrables spectacles de Broadway. Le jazz est ainsi devenu l'écho sonore de Manhattan, l'expression musicale de l'argot (jive) des hipsters , ces créatures de la nuit new-yorkaise célébrées par Norman Mailer. Dans les années quarante, lorsque Manhattan était l'embarcadère des armées, le jazz moderne (le be-bop) est né sur la 52 e rue. Puis les clubs fréquentés par une clientèle de musiciens, d'amateurs et de touristes (Birdland, Village Vanguard, Sweet Basil) l'ont fait émigrer à Greenwich Village. Le free-jazz, né en Californie et à Chicago, a trouvé un second souffle dans les l ofts d e Soho. Rares cependant sont les grands jazzmen nés à New York. Mais c'est dans les studios new-yorkais qu'ont été enregistrés la plupart des disques qui jalonnent l'histoire du jazz. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats American Ballet Theater be-bop Broadway Cendrars (Frédéric Sauser, dit Blaise) Cloisters (The) Columbia University Ellington (Edward Kennedy, dit Duke) États-Unis - Arts - Beaux-arts - Le triomphe de l'art américain : l'école de New York García Lorca Federico Gershwin (Jacob Gershowitz, dit George) ghetto Guggenheim Museum happening Henderson James Fletcher jam-session jazz - Une « musique d'art » d'essence populaire Lincoln Center for Performing Arts Mailer Norman Kingsley Metropolitan Museum of Art Metropolitan Opera Met Modern Jazz Quartet (MJQ) Morand Paul Museum of Modern Art (MOMA) négritude New York City Ballet Picabia Francis Ravel Maurice Stravinski Igor Les médias New York - le rôle des universités Les livres Guggenheim Museum, page 2265, volume 4 musée - le musée Guggenheim, à New York, page 3347, volume 6 New York - Times Square, page 3424, volume 6 New York - le Metropolitan Museum of Art, page 3425, volume 6 Problèmes actuels Si New York, et surtout Manhattan, semble être la vitrine de l'invention artistique et de l'efficacité économique, elle présente dans le même temps les aspects les plus négatifs des métropoles modernes qui se sont développées trop rapidement. À côté de la saturation des transports, de la pollution, des difficultés d'organisation des services publics, le problème essentiel de New York réside dans l'existence de ghettos ethniques, îlots de pauvreté générateurs d'insécurité : des quartiers comme le South Bronx ou certains secteurs de Harlem, avec leurs immeubles insalubres en partie murés, leurs rues défoncées, leurs jeunes habitants désoeuvrés, témoignent d'une crise autant financière et économique que sociale. Davantage que beaucoup d'autres grandes agglomérations dans le monde, New York est une ville de contrastes et de discordances. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats ghetto ville - Les grands types de villes dans le monde contemporain - Les villes nordaméricaines Les livres États-Unis - clochards à Tomkin's Square Park, à New York, page 1753, volume 4 habitat - quartier du Bronx, à New York, page 2300, volume 4 Complétez votre recherche en consultant : Les natifs de ce lieu Abdul Jabbar (Lew Alcindor, dit Kareem) Allen (Allen Stewart Konigsberg, dit Woody) Anderson Carl David Arbus (Diane Nemerov, dite Diane) Arrow Kenneth Joseph Avedon Richard Axelrod Julius Bacall (Betty Joan Perske, dite Lauren) Baez Joan Baldwin James Arthur Baumol William Beck Julian Beebe Charles William Bogart Humphrey Bourke-White Margaret Bow Clara Brooks (Melvin Kaminsky, dit Mel) Cagney James Callas (María Cecilia Kalogheropoúlos, dite Maria) Carter Benny Carter Elliott Cassavetes John Childs Lucinda Christie William Cimino Michael Copland Aaron Cukor George Dewey Cullen Countee De Niro Robert De Valera Eamon Dewey Melvil Edelman Gerald Maurice Epstein (sir Jacob) Eugene (Frank Eugene Smith, dit) Fairbanks - Fairbanks Douglas Jr Fast (Walter Ericson, dit Howard) Feininger Charles Adrian Lyonel Feynman Richard Phillips Flavin Dan Fleischer Fonda - Fonda Jane Fonda - Fonda Peter Forsythe William Friedman Milton Gershwin (Jacob Gershowitz, dit George) Hayworth (Margarita Carmen Cansino, dite Rita) Heller Joseph Herrmann Bernard Holliday (Judith Tuvim, dite Judy) Hopper Edward Irish (Cornell Hopley-Woolrich, dit William) Irving Washington James Henry James William Kapp Wolfgang Kindleberger Charles Klein William Kubrick Stanley Lacy (Steven Lackitz, dit Steve) Lambert Christophe Lancaster (Burton Stephen, dit Burt) Leonard (Benjamin Leiner, dit Benny) Lichtenstein Roy Lippmann Walter Louis Murray Manne Shelly Mapplethorpe Robert Marvin Lee McBain (Salvator Lombino, puis Evan Hunter, dit Ed) McFerrin (Robert, dit Bobby) Melville Herman Menuhin Yehudi Merrill Helen Michaël Arthur Miller Arthur Miller Henry Muller Hermann Joseph Mulligan (Gerald Joseph, dit Gerry) Newman Barnett Nirenberg Marshall Warren O'Neill Eugene Gladstone Oppenheimer Julius Robert Outerbridge Paul Pacino (Alberto, dit Al) Perahia Murray Perkins Anthony Powell (Earl Rudolph, dit Bud) Raft George Reich Steve Richter Burton Riffaterre Michael Ritt Martin Rivers Larry Roach (Maxwell, dit Max) Robbins (Jerome Rabinowitz, dit Jerome) Rollins (Theodore Walter, dit Sonny) Rooney (Joe Yule Junior, dit Mickey) Roosevelt Theodore Rosen Charles Rossen (Robert Rosen, dit Robert) Rostow Walt Whitman Salinger Jerome David Schatzberg Jerry Schnabel Julian Schwinger Julian Seymour Segal George Shaw (Arthur Arshawsky, dit Artie) Shaw Irvin Simon Neil Solow Robert Merton Spillane (Frank Morrisson, dit Mickey) Stallone Sylvester Stimson Henry Lewis Stone Oliver Strand Paul Streisand (Barbara Joan, dite Barbra) Sweezy Paul Tierney Gene Tiffany Louis Comfort Tunney Gene Waller (Thomas, dit Fats) Walsh (Albert Edward, dit Raoul) Warren (Leonard Varenov, dit Leonard) West (Nathan Wallenstein Weinstein, dit Nathanael) West Mae Westlake Donald Edwin Wharton Edith, née Newbold Jones Winogrand Garry Les médias Amérique du Nord - carte physique Amérique du Nord - carte politique États-Unis - carte physique États-Unis - carte politique Les indications bibliographiques M. Decoust et X. Delcourt, New York, Autrement, Paris, 1987. Ch. Lefèvre et S. Body-Gendrot, les Villes des États-Unis, Masson, Paris, 1988. R. Wolf, New York, Éd. du Moniteur, Paris, 1981.

« Enfin, les habitants en provenance de l'Amérique latine représentent 11 % de la population de l'agglomération et le nombre des Chinois est en augmentation sensible. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Bartholdi Frédéric Auguste Hudson Hudson Henry Indépendance américaine (guerre de l') Iroquois Verrazano (Giovanni da) Les livres New York - la Liberté éclairant le monde, page 3422, volume 6 New York - l'Empire State Building, page 3423, volume 6 La configuration de la ville En plus de la division en cinq boroughs , qui sont des circonscriptions administratives, New York est caractérisée par la juxtaposition de quartiers très différents, notamment du point de vue de l'urbanisme.

Manhattan, centre nerveux de la ville, occupe une île allongée entre l'Hudson et l'East River.

À l'exception de l'extrémité sud, c'est un damier presque parfait. Les avenues, d'orientation nord-sud, et les rues, d'orientation est-ouest, se coupent à angle droit ; au lieu de noms, elles portent des numéros attribués du sud au nord pour les rues, et d'est en ouest pour les avenues.

L'artère de Broadway constitue une exception remarquable, puisqu'elle coupe en oblique certaines voies.

Les gratte-ciel donnent à Manhattan sa physionomie caractéristique.

Au sud de l'île (Downtown) sont situés certains des plus anciennement construits, qui, très compacts, écrasent de leur masse un réseau de petites rues, notamment Wall Street, véritable canyon urbain plongé dans l'ombre, devenu en raison de la Bourse et des banques qui s'y trouvent le symbole de la puissance américaine.

C'est à Downtown que l'on trouve également les plus hauts gratte-ciel de New York et les deux tours jumelles du World Trade Center (412 m).

Dans la partie centrale, en bordure sud de Central Park, Midtown est un quartier de gratte-ciel érigés à partir des années trente : on peut y voir par exemple l'Empire State Building (381 m), le Chrysler Building (318 m), les multiples édifices du Rockefeller Center ou encore les bâtiments de l'ONU sur l'East River (Secretariat Building, haut de 168 m, est le prototype des immeubles aux murs en rideaux de verre et à armature d'acier).

Entre ces noyaux s'étend une zone de constructions basses avec un quartier chinois (Chinatown), un autre italien (Little Italy), des quartiers résidentiels recherchés comme Greenwich Village, d'autres, moins prestigieux, souvent en cours de rénovation.

Les espaces verts de Central Park occupent un vaste rectangle de 4 km de long et 800 m de large.

Dans le nord de l'île (Uptown) s'étend Harlem, la ville noire qui connut son moment de splendeur dans les années vingt et qui est désormais, malgré un effort de rénovation, le symbole de la dégradation urbaine. De nombreux habitants originaires d'Amérique latine sont désormais établis à Harlem, notamment à Spanish Harlem, plus à l'est. Brooklyn, sur Long Island, est le quartier le plus peuplé.

Il conserve tous les aspects d'une véritable ville avec des entreprises ainsi que des quartiers commerciaux et résidentiels, dont certains sont bâtis en hauteur tandis que d'autres sont formés de maisons individuelles.

Comme à Manhattan, les contrastes sont frappants entre les quartiers, certains élégants et d'autres déshérités. Queens, également sur Long Island, et le Bronx, sur le continent, sont plus aérés : les maisons ou les immeubles de dimension modeste y dominent.

Toutefois, ils sont sociologiquement très différents ; tandis que Queens est habité par les classes moyennes, le Bronx comporte de nombreux taudis.

Staten Island enfin, le moins peuplé des boroughs , est un quartier de villas resté en partie rural. Manhattan est relié aux autres quartiers et à la banlieue par des ponts, comme Brooklyn Bridge, long d'environ 1 800 m, sur l'East River, et Washington Bridge, long de 2 652 m, sur l'Hudson, et des tunnels, comme Holland Tunnel et Lincoln Tunnel sous l'Hudson.

Un nouveau pont, Verrazano-Narrows Bridge, relie Brooklyn à Staten Island.

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