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Le siècle des Lumières a trouvé dans le néoclassicisme la parfaite expression des idéaux représentés en France par Montesquieu, Rousseau et les artisans de la Révolution.

Publié le 15/11/2013

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Le siècle des Lumières a trouvé dans le néoclassicisme la parfaite expression des idéaux représentés en France par Montesquieu, Rousseau et les artisans de la Révolution. Tous partageaient le souci du bien commun, une aspiration à la grandeur antique, une conception esthétique de la vie... Et André Chénier exhortait l'époque : « Sur des pensers nouveaux faisons des vers antiques. » Cependant, cette cohérence historique ne condamnait pas les oeuvres au conformisme ou à l'uniformité ; la stricte géométrie ouvrait sur le rêve, et les projets les plus raisonnables contenaient leur part d'utopie. Là résidait toute la modernité du néoclassicisme. Le néoclassicisme désigne le style artistique des années comprises entre 1750 et 1850, et qui s'est caractérisé schématiquement par un retour à la fois au classicisme des XVIe et XVIIe siècles et à l'Antiquité. Sa portée dans le monde occidental fut internationale. Son apogée se situe entre 1780 et 1810. Il recouvre en France le style Louis XVI, l'art de la Révolution et le style Empire, ce qui révèle autant sa richesse que l'ambiguïté de ses relations avec le style rococo qui l'a précédé, et le préromantisme qui devait le suivre. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Empire (style) L'imitation d'une Antiquité improbable La renaissance du goût pour les antiquités gréco-latines fut favorisée par d'importantes fouilles archéologiques, comme celles du site d'Herculanum en 1738, de Pompéi en 1748 ou des temples grecs de l'Italie du Sud. De magnifiques volumes de gravures, parmi lesquelles figurent les Antichità romane de Piranèse, propagèrent dans l'Europe entière les modèles antiques et donnèrent lieu à un véritable engouement pour la décoration pompéienne ou le style étrusque. Cette connaissance demeura toutefois imprécise - l'art grec n'étant connu que par son interprétation romaine et la période archaïque restant ignorée -, et ce fut une Antiquité réinventée qui devint la référence des artistes et des philosophes. Cette conjoncture fit de Rome, plus que jamais, le rendez-vous de l'élite européenne. Étape obligatoire du « Grand Tour » pour la jeunesse anglaise, elle attira artistes et intellectuels de tous les pays : Anton Raphael Mengs, Angelica Kauffmann, Asmus-Jakob Carstens, Gavin Hamilton, Jacques Louis David, Jean Antoine Houdon, parmi tant d'autres, y séjournèrent et y travaillèrent. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats David Jacques Louis grotesque (style) Herculanum Houdon Jean-Antoine imitation Mengs Anton Raphael Piranèse (Giovanni Battista Piranesi, dit en français) Pompéi Rome - Arts - Les beaux-arts - La Rome moderne Les livres néoclassicisme - Vénus italique, d'Antonio Canova,, page 3412, volume 6 néoclassicisme - L'Artiste ému par la grandeur des ruines antiques, sanguine de Henry Füssli, page 3412, volume 6 Une doctrine esthétique L'art néoclassique puisa aussi ses sources dans la philosophie des Lumières. Son rationalisme, son scientisme, son goût pour les thèmes moralisateurs et héroïques en même temps que son culte de la sensibilité et son amour de la nature s'appuyèrent sur les conceptions des Encyclopédistes, les idées rousseauistes ou les théories sensualistes de Condillac et de Diderot. Ainsi, à partir de ces deux composantes, imitation des Anciens et héritage philosophique, se forgea une esthétique fondée sur la croyance en une beauté idéale et en des archétypes absolus. Cette doctrine trouva son expression théorique dans les ouvrages des Allemands Johann Joachim Winckelmann (Réflexions sur l'imitation des oeuvres grecques, 1755 ; Histoire de l'art chez les Anciens, 1764) et Anton Raphael Mengs (Réflexions sur la beauté, 1762), ainsi que chez les Français Laugier (Essai sur l'architecture, 1753) et Quatremère de Quincy (Essai sur la nature, le but et les moyens de l'imitation dans les beaux-arts, 1823). Le néoclassicisme se définit d'abord en opposition au rococo et prôna, dans le style et les thèmes, davantage de sévérité et de clarté que ce dernier. Il s'assigna volontiers, par la suite, des buts moraux, l'art devant servir dans la cité à l'instruction et à l'édification, et, atteignant une dimension utopique, aider à fonder un monde meilleur. Ce fut évidemment l'Antiquité qui donna à l'art néoclassique son unité stylistique : prédilection pour la colonne dorique sans base en architecture, pour le dessin au trait des vases grecs, pour les accessoires antiques dans la sculpture, pour la composition en bas relief dans la peinture. La forte originalité de certains de ses thèmes ne fut probablement pas sans influence sur le préromantisme : ainsi, l'expérience du « terrible » prônée par Burke pour atteindre le sublime dans sa Théorie du sublime ( 1757), le goût pour les ruines et les civilisations perdues, l'omniprésence du thème de la mort ou du tombeau. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Burke Edmond Condillac (Étienne Bonnot de) Diderot Denis Lumières (philosophie des) - Une esthétique de la création Mengs Anton Raphael ordre - 1.ARCHITECTURE rationalisme - 1.PHILOSOPHIE Rousseau Jean-Jacques utopiste (architecture) Winckelmann Johann Joachim Les médias néoclassicisme - imitation ou renouveau Le pays fondateur : l'Italie Berceau du néoclassicisme, lieu d'échanges de tous les artistes, l'Italie ne fut pas, paradoxalement, un haut lieu de ce style et demeura jusqu'à la fin du XVIIIe siècle un pays où dominait plutôt le baroque. Piranèse (1720-1778), graveur d'exception, fut un grand inspirateur. Ses vues de Rome ou de Paestum, représentations à la limite de l'onirisme des monuments antiques, marquèrent nombre d'architectes. De même, le thème étrange des prisons s'inscrivit désormais, grâce à lui, dans l'imaginaire néoclassique comme dans l'imaginaire romantique. Adepte de Winckelmann, Antonio Canova (1757-1822) réalisa les plus purs chefsd'oeuvre de la sculpture néoclassique. Virtuose élégant et raffiné, il plaida pour un retour à un style plein de grandeur et de noblesse, comme en témoignent son Monument au pape Clément XIV ( 1784-1787) ou son Tombeau de Marie-Christine ( 1798-1805). Épris de « Beau idéal », il réalisa des nus empreints de naturel, mais loin de tout naturalisme (Amour et Psyché [ 1787-1793], Thésée et le Minotaure mort [1781-1783]). Il pratiqua aussi le bas-relief, forme prisée par le néoclassicisme : Hercule furieux , Stèle à Giovanni Volpato. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats bas-relief Canova Antonio Italie - Arts - Beaux-arts - Rococo et néoclassicisme Paestum Piranèse (Giovanni Battista Piranesi, dit en français) Classicisme et Révolution en France En France, le retour au classicisme fut plus marqué et plus original qu'ailleurs, tout du moins au début du mouvement. Le chef-d'oeuvre de l'architecte Jacques Ange Gabriel (1698-1782), le Petit Trianon, en fut la parfaite expression. Gabriel construisit également l'École militaire et les deux bâtiments bordant la place de la Concorde (place Royale). Germain Soufflot (1713-1780) est à l'origine d'une architecture plus grandiose (église Sainte-Geneviève, devenue le Panthéon). Certaines villes de province commencèrent à se transformer : Nantes, avec les ensembles d'hôtels de Crucy ; Bordeaux, avec le GrandThéâtre de Victor Louis. En peinture, Joseph Marie Vien (1716-1809), après le traditionnel séjour à Rome, fut le premier à adopter une thématique gréco-romaine ( la Vertueuse Athénienne ), tout en la traitant d'une façon décorative, caractéristique de cette transition qu'on appela « rococo classique ». C'est son élève, Jacques Louis David (1748-1825), qui incarna les « vertus » de la période suivante, la période révolutionnaire, en célébrant par ses oeuvres la république, l'héroïsme, le patriotisme ( la Mort de Socrate, le Serment des Horaces [1784], le S erment du Jeu de paume [ 1790-1791], Marat assassiné [1793]). Son influence fut considérable : soucieux en outre de sa mission éducative, il eut un atelier important (Gérard, Gros, Girodet), fit réformer l'enseignement des beaux-arts et supprimer l'Académie. La recherche d'une grandeur classique est particulièrement sensible en sculpture chez Houdon, comme en témoigne son Voltaire, drapé à l'antique. Deux grands artistes marquèrent l'architecture de cette seconde moitié du XVIIIe siècle : Étienne Louis Boullée (1728-1799) et Claude Nicolas Ledoux (1736-1806). Il ne nous est pas parvenu grand-chose de leur oeuvre. Sa nature utopique la laissa souvent à l'état de projet ; en raison de son caractère grandiose et dispendieux, elle resta inachevée, et fut parfois sacrifiée et détruite au XIX e siècle. Adeptes de l'« architecture parlante » (le sentiment produit par la vision de l'édifice doit évoquer la destination de celui-ci), ils avaient une prédilection pour les volumes clairs, les formes géométriques pures, les frontons anguleux, les murs aux bossages accentués mais presque sans décor. La Saline royale de Chaux ou les barrières de l'Octroi de Paris de Ledoux, les dessins de Boullée pour le Cénotaphe de Newton ou pour la Bibliothèque publique témoignent aujourd'hui encore de leur audace et de leur génie. Lequeu et Combes firent aussi partie de cette génération de grands architectes utopistes. Percier et Fontaine engagèrent ensuite l'architecture dans la voie de l'ornementation intérieure, et les arts décoratifs connurent à partir de là un grand développement. Le style Empire s'épanouit dans le mobilier, le papier peint, la vaisselle. La postérité a assigné un rôle particulier à Hubert Robert (1733-1808), peintre des ruines, pour l'influence qu'il eut sur le renouveau du paysage et la sensibilité romantique, et à Ingres (1780-1867), défenseur du néoclassicisme face au romantisme, pour sa responsabilité dans l'évolution vers l'académisme. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Boullée Étienne Concorde (place de la) École militaire Empire (style) France - Arts - Architecture - De la Renaissance au classicisme France - Arts - Beaux-arts - La frivolité française et la sévérité antique France - Arts - Beaux-arts - Les derniers classiques, les premiers romantiques fronton Gabriel Jacques Ange Gérard (François, baron) Girodet-Trioson (Anne Louis Girodet de Roucy, dit) Gros (Antoine-Jean, baron) Houdon Jean-Antoine Ingres Dominique Ledoux Claude Nicolas Louis (Louis Nicolas, dit Victor) Louis - FRANCE - Louis XVI Nantes panthéon panthéon - Le Panthéon de Paris Percier Charles Robert Hubert romantisme - Peinture - En France romantisme - Sculpture Sainte-Geneviève (montagne) Soufflot Germain Trianon Les livres David Jacques Louis, page 1389, volume 3 néoclassicisme - Cénotaphe de Newton, par Étienne Louis Boullée, page 3413, volume 6 néoclassicisme - le Panthéon de Paris, par Germain Soufflot, page 3413, volume 6 néoclassicisme - saline royale de Chaux, par Claude Nicolas Ledoux, page 3413, volume 6 néoclassicisme - fronton du palais de la Bourse à Bordeaux, page 3413, volume 6 néoclassicisme - le Serment des Horaces (1784), de Jacques Louis David, page 3414, volume 6 néoclassicisme - Voltaire, par Jean Antoine Houdon, page 3414, volume 6 Le style anglais Cette période fut bien plus brillante pour l'Angleterre, notamment en architecture, que ne l'avaient été la Renaissance ou le classicisme. Palladio, dont l'influence déjà considérable au XVIIe siècle se renforça, devint la référence absolue. John Wood (1704-1754), puis son fils conçurent à Bath le premier projet global d'urbanisme moderne : le Royal Crescent illustre la perfection palladienne combinée au choix subtil d'un site et d'un paysage naturels. De grands architectes (Robert Adam, dont les édifices furent souvent décorés par Angelica Kaufmann, lord Burlington, Decimus Burton, William Chambers, John Nash) embellirent Londres, Édimbourg, Dublin... Le néoclassicisme anglais trouva également une expression originale en peinture, en dessin et en sculpture : John Flaxman réinterpréta le style grec primitif, tandis que Wright of Derby incarna l'esprit des Lumières. Henry Füssli (né à Zurich, mais établi en Angleterre) et William Blake explorèrent, quant à eux, les voies du fantastique et du surnaturel. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Adam Robert Blake William Burlington (Richard Boyle, comte de) Chambers (sir William) Flaxman John Füssli Johann Heinrich Palladio (Andrea di Pietro dalla Gondola, dit) Royaume-Uni - Arts - Beaux-arts - Le palladianisme Sheraton Thomas Wood - Wood (John l'Aîné) Wood - Wood (John le Jeune) Wright of Derby (Joseph Wright, dit Joseph) Les livres néoclassicisme - le Circus à Bath (Angleterre), page 3414, volume 6 néoclassicisme - The Orrery, par Joseph Wright of Derby, page 3415, volume 6 Les autres pays Toute l'Europe se montra réceptive au néoclassicisme, mais certains pays en gardèrent des traces plus durables. De nombreux architectes étrangers collaborèrent pour faire de Saint-Pétersbourg l'exemple urbain le plus abouti de ce style. Après le tremblement de terre de 1755, le marquis de Pombal fit reconstruire Lisbonne (dont la très belle place du Commerce) dans l'esprit du temps. Le sculpteur danois Bertel Thorvaldsen, spécialiste du bas-relief, propagea le néoclassicisme en Allemagne, où s'imposa également le style très pur de Karl Friedrich Schinkel. Victor Louis et Jean-Louis Prieur travaillèrent au château de Varsovie et contribuèrent à la renommée du style « Stanislas Auguste », fort important en Pologne. Hors d'Europe, le néoclassicisme devint le style officiel des États-Unis d'Amérique. Par la suite, l'académisme du XIX e siècle, qui se voulait l'héritier du néoclassicisme, en présenta une copie figée, contribuant à la déconsidération de ce style au XX e siècle. Curieusement, le mouvement surréaliste a su discerner sous les calmes ordonnances l'imaginaire si riche des néoclassiques : Breton fut fasciné par les dessins de Piranèse ou de Ledoux, Delvaux organisa ses tableaux sur fond de belles perspectives nantaises... Une grande exposition, « The Age of Neoclassicism », a présenté à Londres en 1972 un bilan remarqué de tout ce mouvement. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Breton André États-Unis - Arts - Architecture - L'époque fédérale Lisbonne Lisbonne - Histoire Louis (Louis Nicolas, dit Victor) Pologne - Arts - Beaux-arts - L'architecture Pombal (Sebastião José de Carvalho e Melo, marquis de) pompier (art) Saint-Pétersbourg Schinkel Karl Friedrich Thorvaldsen Bertel Vienne - L'art à Vienne - Néoclassicisme et Biedermeier Les livres néoclassicisme - l'Amirauté de Saint-Pétersbourg, page 3415, volume 6 Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats formalisme r ococo style Les indications bibliographiques A. Jacques et J.-P. Mouilleseaux, les Architectes de la liberté, Découvertes, Gallimard, Paris, 1988. F.-G. Pariset, l'Art néoclassique, « les Neuf Muses », PUF, Paris, 1974. M. Praz, Goût néoclassique, Promeneur, Paris, 1989. J. Starobinski, 1789 : les Emblèmes de la raison, Flammarion, Paris, 1979 (1973).
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« idéale et en des archétypes absolus.

Cette doctrine trouva son expression théorique dans les ouvrages des Allemands Johann Joachim Winckelmann ( Réflexions sur l'imitation des œuvres grecques , 1755 ; Histoire de l'art chez les Anciens , 1764) et Anton Raphael Mengs (Réflexions sur la beauté , 1762), ainsi que chez les Français Laugier ( Essai sur l'architecture , 1753) et Quatremère de Quincy ( Essai sur la nature, le but et les moyens de l'imitation dans les beaux-arts , 1823). Le néoclassicisme se définit d'abord en opposition au rococo et prôna, dans le style et les thèmes, davantage de sévérité et de clarté que ce dernier.

Il s'assigna volontiers, par la suite, des buts moraux, l'art devant servir dans la cité à l'instruction et à l'édification, et, atteignant une dimension utopique, aider à fonder un monde meilleur.

Ce fut évidemment l'Antiquité qui donna à l'art néoclassique son unité stylistique : prédilection pour la colonne dorique sans base en architecture, pour le dessin au trait des vases grecs, pour les accessoires antiques dans la sculpture, pour la composition en bas relief dans la peinture. La forte originalité de certains de ses thèmes ne fut probablement pas sans influence sur le préromantisme : ainsi, l'expérience du « terrible » prônée par Burke pour atteindre le sublime dans sa Théorie du sublime (1757), le goût pour les ruines et les civilisations perdues, l'omniprésence du thème de la mort ou du tombeau. Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats Burke Edmond Condillac (Étienne Bonnot de) Diderot Denis Lumières (philosophie des) - Une esthétique de la création Mengs Anton Raphael ordre - 1.ARCHITECTURE rationalisme - 1.PHILOSOPHIE Rousseau Jean-Jacques utopiste (architecture) Winckelmann Johann Joachim Les médias néoclassicisme - imitation ou renouveau Le pays fondateur : l'Italie Berceau du néoclassicisme, lieu d'échanges de tous les artistes, l'Italie ne fut pas, paradoxalement, un haut lieu de ce style et demeura jusqu'à la fin du XVIII e siècle un pays où dominait plutôt le baroque. Piranèse (1720-1778), graveur d'exception, fut un grand inspirateur.

Ses vues de Rome ou de Paestum, représentations à la limite de l'onirisme des monuments antiques, marquèrent nombre d'architectes.

De même, le thème étrange des prisons s'inscrivit désormais, grâce à lui, dans l'imaginaire néoclassique comme dans l'imaginaire romantique. Adepte de Winckelmann, Antonio Canova (1757-1822) réalisa les plus purs chefs- d'œuvre de la sculpture néoclassique.

Virtuose élégant et raffiné, il plaida pour un retour à un style plein de grandeur et de noblesse, comme en témoignent son Monument au pape Clément XIV (1784-1787) ou son Tombeau de Marie-Christine (1798-1805).

Épris de « Beau idéal », il réalisa des nus empreints de naturel, mais loin de tout naturalisme (Amour et Psyché [1787-1793], Thésée et le Minotaure mort [1781-1783]).

Il pratiqua aussi le bas-relief, forme prisée par le néoclassicisme : Hercule furieux , Stèle à Giovanni Volpato . Complétez votre recherche en consultant : Les corrélats bas-relief Canova Antonio Italie - Arts - Beaux-arts - Rococo et néoclassicisme Paestum Piranèse (Giovanni Battista Piranesi, dit en français) Classicisme et Révolution en France En France, le retour au classicisme fut plus marqué et plus original qu'ailleurs, tout du. »

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