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Les animaux charognards de la savane

Publié le 27/03/2012

Extrait du document

 

Le protèle est un animal dont la taille est la moitié de celle d'un chien. Tout comme l'oryctérope, il se nourrit de termites, mais il n'appartient pas à la même famille que lui. Le protèle est un proche parent des hyènes. La couleur et les dessins de sa fourrure ressemblent à ceux de l'hyène striée, mais le protèle est beaucoup plus petit et plus léger qu'elle. Contrairement aux autres carnassiers qui lui sont apparentés, le protèle possède une faible mâchoire et de petites dents.

« Ci-dessus: Les chacals sont des chiens sauvages, qui se nourrissent prin­ cipalement de cadavres , bien qu'il leur arrive (la nuit) de chasser des animaux vivants.

A gauche : Les hyènes tachetées dévorent les restes de leur proie, pen­ dant que les vautours attendent leur tour.

ment en Europe et en Asie.

Mais ce service de voirie n'est pas seulement confié à des animaux vivant à terre.

Au­ dessus des savanes, planent de nombreux charognards, qui tournoient autour des cadavres.

Certains d'entre eux, comme le marabout, ne recherchent pas seulement des restes d'animaux mais chassent aussi de petits mammifè­ res et des reptiles.

Ce n'est pas le cas des vautours.

Com­ me ils possèdent une vue excellente et volent à une grande hauteur, ils sont capables de repérer une charogne à une distance de plusieurs kilomètres.

De ce fait, il n'existe aucune concurrenèe entre les diverses espèces de vau­ tours.

En général, ce sont les vautours de Rüppell et les vautours blancs qui arrivent les premiers sur place.

Ils possèdent un long bec crochu et une langue rugueuse, qui convient parfaitement pour dévorer les tissus tendres, comme les organes internes des animaux morts.

Ensuite, c'est au tour des espèces possédant un bec plus fort com­ me les vautours oricou et les vautours moines.

Ceux-ci utilisent leur force pour déchiqueter la peau et dévorer les muscles et les tendons, qui sont des parties plus coriaces.

Chez ces deux espèces, le cou et la tête sont chauves, ce qui est une garantie d'hygiène pour ces charognards, dont la tête est plongée, la majeure partie du temps, dans de la viande sanglante et pourrissante.

Une dernière espè­ ce est le vautour d'Egypte, qui se nourrit des lambeaux de viande abandonnés par les autres animaux.

Ce type de vautour est particulièrement friand d'oeufs d'autruche.

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