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LES VISAGES MULTIPLES DE LA BIODIVERSITE

Publié le 21/05/2013

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N° 9 p 110 : LES VISAGES MULTIPLES DE LA BIODIVERSITE 1°)  On voit que : - Entre 1988 et 2004, l'indicateur de biodiversité des oiseaux généralistes est passé de 1,0 à 1,15 soit une augmentation de 15 % en 16 ans. - Dans le même temps, on observe une chute de la biodiversité pour les oiseaux spécialistes agricoles (on passe de 1 à 0,8 soit une diminution de 20 %) ou vivant en forêt (-30 %) ; les oiseaux vivant dans les bâtis (constructions) montrant une biodiversité stable (dont l'index reste proche de 1). On en conclut que les habitats dont la biodiversité des oiseaux a le plus évolué sont les écosystèmes très végétalisés (agricoles et forêts). Les oiseaux vivant dans les bâtis...

« Exercice 5 p  Les moussons sont causées par le fait que la terre s' échauffe et se rafra îchit plus   vite que la mer. Au printemps, les temp ératures terrestres s' élèvent   progressivement et la terre atteint une temp érature plus  élev ée que la mer. L'air   chaud de la terre tend  à s' élever, cr éant une zone de  basse pression locale au   niveau du sol. Cela cr ée un appel d'air et un vent extr êmement constant souffle   alors de la mer vers la terre 1 car sous les  tropiques la circulation d'air subit peu   de perturbations, contrairement aux latitudes plus  élev ées. Cette circulation peut   durer des semaines ou m ême des mois, le temps que la  temp érature de surface   de la mer devienne aussi chaude que la temp érature maximale quotidienne des   terres et que la boucle thermique ne puisse plus se former. En hiver la terre se rafra îchit plus vite, et la mer garde la chaleur plus longtemps.

  L'air chaud au­dessus de la mer s' élève, cr éant une zone de basse pression et du   m ême coup un vent de la terre vers la mer. La diff érence de temp érature entre la   mer et la terre  étant moindre qu'en  été, le vent de la mousson d'hiver n'est pas   aussi constant que celui de la mousson d' été . La mousson estivale produit un d éplacement de la  zone de convergence   intertropicale (ZCIT) vers des r égions montagneuses. Le  mouvement vertical dans   cette zone cr ée des conditions favorables  à de fortes pr écipitations  orageuses ;   l à­dessus les pluies sont rehauss ées par l'air humide et chaud de la mer, qui   remonte la pente des montagnes et  condense par refroidissement des parcelles   d’air. Les pluies peuvent  également en partie provenir de  complexes convectifs de   m éso­ échelle imbriqu és dans la masse nuageuse. N°10. »

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