Devoir de Philosophie

ALAIN : MARS OU LA GUERRE JUGEE (Résumé & Analyse)

Publié le 17/01/2022

Extrait du document

Alain y explique que ce qu'il a ressenti le plus vivement dans la guerre, c'est l'esclavage. Il s'insurge contre le mépris des officiers pour les hommes de troupe lorsqu'ils «parlent aux hommes comme on parle aux bêtes«. Il ne supporte pas l'idée de cette tuerie organisée, de ce traitement que l'homme inflige à l'homme. Il se révolte quand il assiste à la mise au point d'une énorme machine destinée à tenir les hommes dans l'obéissance et explique pourquoi, soldat, il n'a jamais voulu d'autres galons que ceux de brigadier.

« puissance de cet animal mais en voir l’étendu de ses erreurs, qui peuvent être dans de nombreux cas risibles.Alain porte une vision très critique envers les dirigeants nationaux qu’il a du mal a prendre au sérieux et dont leserreurs sont pour lui incalculables.

Ainsi « Le plus important des hommes en est aussi par nature le plus vain et leplus sot ». Alain ne demande pas à ce que les actes des dirigeants soient parfaits mais critique férocement les erreurs de« bon sens » et en cite alors quelque exemple.

Notamment il explique la confusion possible entre les pièces de 10et 5 centimes à cause de leurs ressemblances alors que ces actions sont réalisées par des personnes possédantsde nombreuses compétences.

Pour le philosophe il y’a tellement matière que l’on peut parler de « passe temps »lorsque l’on se moque des bureaucrates.

Malheureusement les conséquences de certaines erreurs comme parexemple des erreurs militaires sont plus dangereuses qu’une mauvaise imprimerie de pièces.

Pour lui l’état estresponsable de tous les crimes, tués et blessés de la guerre. Alain comprend qu’il est difficile de contredire cet animal sans tête à cause de son omniprésence et de sapuissance.

Cependant ce qui est critiquable c’est d’accepter sans critiques ses actions, d’aller forcement dans lesens de ce grand animal.

Si l’Etat ne connaît pas de réelles critiques, son pouvoir peut être excessif et tendrevers des situations de totalitarisme. Le Léviathan 1. Dans ce 3 ème propos, Alain commence par mettre en garde la population des effets de masse, de la transcendance de la politique.

EN effet, lorsque il y a effervescence de la population pour certaines opinions oudiscours, la raison de l’homme n’est plus tout a fait fiable.

Il est facile pour l’homme de ces laissé entrainé danscette forme de festivité politique et cela sans creuser profondément sur ce qui vient d’être énoncerpolitiquement.

Ce que veut dire Alain c’est que lorsque la forme du discours et l’enthousiasme de la population semêlent, les détails et la pertinence des politiques ou discours énoncé devient secondaire.

C’est ainsi que leLéviathan, au sens d’entité politique qui exerce son pouvoir tentaculaire, impose sans se faire critiquer. Il n’est pas nécessaire que la doctrine énoncé soit pertinente pour qu’elle soit soulevé par la foule.

C’est en effetce mouvement de transandence qui fait que cette doctrine devient crédible, populaire. L’attitude des individus face aux Léviathan inquiète Alain dans la mesure où la plupart des actions, des reformesmises en place par le l’Etat sont accueillis avec enthousiasme.

Le philosophe essaye alors de comprendre pourquoiet comment est ce que un individu peut acceuilir aussi chaleresement une réforme de l’Etat .

Il semble que cetterécation soit avant tout dirigé par la peur.

En effet, l’individu suppose qu’il ne pourra pas se rebeller contre lesdécissions du Léviathan à cause de sa force.

Sachant qu’il devrat tot ou tard accepeter la nouvelle, il préféreacceuilir cela avec enthousiame, pensnat qu’il n’a pas d’autres choix.

Les opinions de la population sont alorscachés, enfoui sous peur des représailles du Léviathan mais également des partisans de ce dernier (« le lache, leprudent, le naif, le paresseux et le timide »).

Le Léviathan empêche donc aux individus d’exprimé leurs opinions àcause de la peur, ce que comprend et justifie Alain. Cependant Alain encourage ses lecteurs a developper leurs esprits critiques.

Le corps peut avoir peur et se taire,l’esprtit ui doit continuer d’être indépendant.

C’est cette possibilité de penser qui permet à l’homme de rester libreet ça même sous la tyrannie du Léviathan et donc de la puissance des dirigeants. Dans ce propos en reprenant la formule du Léviathan de Thomas Hobbes, Alain s’oppose à la théorie de « laguerre de tous contre tous ».

Dans cette théorie de la guerre de tous contre tous, Hobbes fait le postulat qu'àl'état de nature l'homme ne peut pas vivre en amitié avec ses semblables.

Il doit, du moins à ce qu'affirment lesréflexions préliminaires du Leviathan , tout miser sur sa propre existence : s'il la perd, il perd tout ce qu'il possède. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles