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ARNOTHY: J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir (Fiche de lecture)

Publié le 22/02/2012

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J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir, traduit en vingt-trois langues, est devenu livre scolaire dans plusieurs pays et lecture conseillée dans la plupart des établissements scolaires. Pour une jeunesse souvent fragile — qui fausse souvent les réalités de la souffrance, de la tristesse ou de la joie — J'ai quinze ans... remet ces notions à leur place exacte. A la parution de J'ai quinze ans..., en 1956 en France, et quelques mois plus tard pratiquement dans le monde entier, la critique a salué la naissance d'un écrivain. Christine Arnothy, partie de Hongrie avec ses parents en 1948, s'est mariée très jeune avec l'un de ses compatriotes connu dans un camp de réfugiés. Il n'est pas si facile de vivre, la suite de J'ai quinze ans..., raconte l'histoire de ce mariage.
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« à plusieurs prix Nobel.

Les savants hongrois, même s'ils portent les couleurs d'autres pays que le leur, ont uneréputation mondiale. 2.

L'oeuvre : architecture, mouvements, personnages Constitué de treize séquences sans numérotation ni titres, ce récit s'articule néanmoins en trois parties : 1 à .9 (pp.

9 à 70) : le siège. 10 et 11 (pp.

71 à 87) : les derniers jours à Budapest et le départ pour la maison de campagne, près du lac Balaton. 12 et 13 (pp.

88 à 122) : la fuite en Autriche. Ainsi apparaît un équilibre quantitatif entre le « journal du siège » (une soixantaine de pages) et la suite du récit(une cinquantaine de pages).

Une ellipse de trois ans, indiquée p.

88 (au 12e chapitre), permet de dater, du début àla fin, les événements rapportés : de 1945 (Christine a quinze ans lorsque Budapest tombe, après un siège de deuxmois, le 13 février) à 1948 (elle en a donc dix-huit lorsqu'elle arrive à Vienne). Analyse du récit 1.

« Journal du siège » (pp.

9 à 70) (pp.

9 à 16).

Dans la cave. (pp.

17 à 23).

Une journée particulière. (pp.

24 à 34).

La situation s'aggrave. (pp.

35 à 42).

L'eau manque ! (pp.

43 à 47).

Une messe dans la cave. (pp.

48 à 52).

La mort de Pista. (pp.

53 à 60).

Une journée terrible. (pp.

61 à 66).

Les dernières heures du siège. (pp.

67 à 70).

Budapest « libéré ». 2.

Les derniers jours à Budapest.

Le départ (pp.

71 à 87) (pp.

71 à 74).

Les Russes dans Budapest. (pp.

75 à 87).

Les derniers jours à Budapest. 3.

La fuite en Autriche (pp.

88 à 122) (pp.

88 à 106).

Trois ans après...

Il faut quitter le pays pour échapper aux persécutions politiques. (pp.

107 à 122).

Le passage de la frontière et l'arrivée à Vienne. Les personnages 1.

Ceux qui ont une histoire Pista La première phrase lui est consacrée : « L'arrivée de Pista, ce soir-là, nous apparut comme une délivrance.

» Soldatperdu ou déserteur, il se présente ainsi : « Istvan Nagy.

De Pusztaberény, comté de Somogy » (p.

15).

C'est toutce que l'on saura de lui.

Il est aussitôt adopté (p.

15).

Il sera tout au long des six premiers chapitres l'homme providentiel, une sorte de « Père Noël» (p.

20), aux yeux de Christine, « héros éclatant.., comme le comte de Monte-Cristo » (p.

21). Les locataires de l'immeuble Les concierges (p.

11) : égoïstes, ils refusent de partager leurs provisions (p.

46) ; deux fois cependant, ils fontpreuve de pitié et de générosité (pp.

59, 72) ; lui est communiste. Ilus (pp.

11 et 12) : jeune femme de trente-six ans ; son mari l'a abandonnée avec son bébé.

Elle est sensible et. »

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