Devoir de Philosophie

Eugénie Grandet, Balzac

Publié le 13/01/2013

Extrait du document

balzac

 

 

1.    Expliquer le titre.

2.    Dates : histoire et époque (empire + contexte).

3.    Descriptions des lieux : maison + village.

4.    Portrait de Félix et Charles Grandet.

5.    Pourquoi Charles un dandy.

6.    Savoir la fin du livre.

7.    Résumer.

8.    Schéma narratif.

 

Eugénie Grandet est le nom de l'héroïne. Elle est né vers mi-novembre 1796. Elle avait une tête énorme, le front masculin mais délicat du Jupiter de Phidias, et des yeux gris imprimés d'une lumière jaillissante. Les traits de son visage rond, jadis frais et rose, avaient été grossi par une petite vérole. Son nez était un peu trop fort, mail il s'harmonisait avec une bouche d'un rouge de minium, dont les lèvres à mille raies étaient pleines d'amour et de bonté. Le corsage bombé attirait les regards. Eugénie, grande et forte, n'avait donc rien du joli qui plaît aux masses. Depuis 15 ans, toutes les journées de la mère et de la fille s'étaient écoulées paisiblement à cette place, dans un travail constant, à compter du mois d'avril jusqu'au mois de novembre. Le premier de ce dernier mois elles pouvaient prendre leur station d'hiver à la cheminée. Ce livre raconte l'histoire de cette femme qui n'est pas du monde au milieu du monde, qui faite pour être magnifiquement épouse et mère, n'a eu ni mari, ni enfants, ni famille. Cette femme qui est venue seulement sur terre pour souffrir. Elle a attendu toute sa vie son cousin, Charles, qui l'a seulement oubliée.

balzac

« Je ne sais pas, je ne puis pas, je ne veux pas, nous verrons cela.

Il ne disait jamais ni oui ni non, et n'écrivait point''.

''Il n'allait jamais cher personne, ne voulait ni recevoir ni donner à dîner ; il ne faisait jamais de bruit, et semblait économisez tout, même le mouvement''.

''Au physique, Grandet était un homme de cinq pieds (1,62m), trapu, carré, ayant des mollets de douze pouces (+ 32cm) de circonférence, des rotules noueuses et de larges épaules ; son visage était rond, tanné, marqué de petite vérole, son menton était droit, ses lèvres n'offraient aucune sinuosité, et ses dents étaient blanches ; ses yeux avaient l'impression calme et dévoratrice que le peuple accorde au basilic ; son front, plein de rides transver sales, ne manquait pas de protubérances significatives ; ses cheveux jaunâtres et grisonnants étaient blanc et or'', ''son nez, gros par le bout, supportait une loupe veinée que le vulgaire disait, non sans raison, pleine de malice.

Cette figure annonçait une finesse dangereuse, l’égoïsme d'un homme habitué à concentrer ses sentiments dans la jouissance de l'avarice.'' , ''Toujours vêtu de la même manière, qui le voyait aujourd'hui le voyait tel qu'il était depuis 1791.

Ses forts souliers se nouaient avec d es cordons de cuir ; il portait, en tout temps des bas de laine drapés, une culotte courte de gros drap marron à boucles d'argent, un gilet de velours à raies alternativement jaunes et puce, boutonnée carrément, un large habit marron à grands pans, une cravate noire et un chapeau quaker.

Ses gants lui duraient vingt mois''.

On le surnommait e vieux chien dans les affaires.

Charles : C'était un beau jeune homme de 22 ans (en 1819).

Charles, qui tombait en province pour la première fois, eut la pensée d'y p araître avec la supériorité d'un jeune homme à la mode, de désespérer l'arrondissement par son luxe, d'y faire époque et d'y importer les inventions parisiennes.

Il a de beaux cheveux châtains frisés et porte lors de son arrivée une cravate de satin noir c ombinée avec un col rond pour encadrée agréablement sa blanche et rieuse figure.

Une redingote de voyage lui pinçait la taille et laissait voir un gilet en cachemire.

Il maniait agréablement une canne avec la pomme en or.

Il possédait aussi une casquette et une montre.

185 Nanon : elle boulange le pain tous les samedis (68), elle mesure 1,83m, et reçoit soixante francs de salaires par an (79), elle a 58 ans environ.

Elle était ''forte des hanches, carrée du dos, ayant des mains de charretier et une probit é vigoureuse comme l'était son intacte vertu.

Ni les verrues qui ornaient se visage martial, ni le teint de brigue, ni les bras nerveux, ni les haillons de la Nanon n’épouvantèrent le tonnelier'' 80.

Elle faisait tout (…80).

Mme Grandet : C'était une femm e sèche et maigre, jaune comme un coing, gauche, lente, qui semblait tyrannisée.

5.

Charles est qualifié de mirliflor ou dandy, c'est à dire d'un jeune élégant aux manières affectées, par Grandet.

En effet lors de son arrivée chez les Grandet il paraît tel le dandy de 1830 : une cravate de satin noir combinée avec un col rond pour encadrée agréablement sa blanche et rieuse figure.

Une redingote de voyage lui pinçait la taille et laissait voir un gilet en cachemire à châle sous lequel était un second gilet blanc.

Sa montre se rattachait par une courte chaîne d'or.

Son pantalon gris se boutonnait sur les côtés, où des dessins en soie noire enjolivaient les coutures.

Il maniait agréablement une canne dont la pomme en or sculpté n'altérait point la fraîcheur de ses gants gris.

Enfin sa casquette était d'un goût excellent.

Seul un Parisien de la sphère la plus élevée pouvait s'agencer ainsi sans paraître ridicule, et donner une harmonie de fatuité à toutes ces niaiseries, que soutenait d'ailleurs un air brave, l'air d'un jeune homme qui a de beaux pistolets, le coups sûr et Annette.

6.

La fin du livre n'est pas comme l'on pouvait l'imaginer.

Contrairement à ce que l'on pourrait croire Charles Grandet a bien fait fortune aux Indes mais il est devenu dur, âpre de la curée.

Il a fait du trafic d'esclaves pour s'en sortir et ne s'intéresse plus qu'à l'argent.

Il apprend à Eugénie qu'il va se marier.

Cette dernière règle les dernières dettes de Charles pour qu'il puisse en effet se marier et ne cesse de l'aimer malgré qu'il se soit servie d'elle.

Eugénie, après cette défaite amoureuse dont elle a attendu l'amant pendant 8 ans, décidera de rester vierge toute sa vie.

Elle finira par se marier avec Mr de Bonfons qui ne sera intéresser que par sa fortune, tout comme son futur mari le marquis de Froidfont.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles