FACÉTIES ET CONTES D’AR-LOTTO DE FLORENCE (résumé)
Publié le 06/04/2016
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C’est une des œuvres les plus divertissantes de la littérature italienne. Un quelconque ami d’Arlotto Mainardi (1396-1484), curé de San Cresci à Maciuoli, recueillit, durant sa vie ou du moins tout de suite après sa mort, ses récits, ses traits d’esprit, ses farces et ses joyeusetés. Le recueil le plus ancien qui fut imprimé le fut à Florence, vers 1500, et bien vite les facéties prirent place à côté de celles de Gonnella et de Barlacchia. L’édition publiée par Giuseppe Bacini, en 1884, est parfaite quant au texte et aux annotations.
Dans ce recueil, écrit d’une façon vive et populaire, ressortent parmi les ripostes et les événements bizarres, un calme et une probité qui dessinent parfaitement le caractère d’un homme habile et, sous une apparente ingénuité, un observateur aigu. Le curé Arlotto juge avec exactitude et sérénité la vie humaine et ses hypocrisies, et moralise
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