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FICHE DE LECTURE : Le complexe du homard ou Paroles pour adolescents de DOLTO, Françoise

Publié le 26/06/2012

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«..il n’y a pas d’adolescence sans problèmes, sans souffrance... « : Cette phrase m’a interpellée car je ne me souviens pas avoir souffert pendant mon adolescence, ni avoir eu de problème plus profond ou plus intense que pendant les autres périodes de ma jeunesse. De plus, je trouve que cette phrase est très pessimiste, pour les jeunes enfants qui ne sont pas encore pubères. Que se diront-ils en lisant cette phrase ? Que l’adolescence est une période noir, une période où on vivra inévitablement un jour une souffrance et mal-être ? Je pense que certains adolescents n’ont jamais été confrontés à des difficultés particulières pendant la puberté. Mais si l’on parle de l’adolescence comme une fatalité inévitablement pénible, c’est un peu comme mettre un pied dans la tombe…  « A l’adolescence…des élans affectifs pour quelqu’un de notre sexe arrivent à tout le monde, elles sont passagères, il ne faut pas s’en affoler… Parfois on se sent laids, on n’ose pas aller vers l’autre sexe. Cela peut entraîner un repli vers l’homosexualité comme refuge « : Dans cet extrait, je trouve que l’écrivain stigmatise indirectement l’homosexualité, certes les élans affectif pour des personnes du même sexe peuvent être passagers, mais parfois ils ne le sont pas, et je trouve qu’il aurait été important de le développer aussi, car la vision que cela risque de donner aux adolescents, c’est que l’homosexualité n’est qu’une passade, un refuge pour quelques mal être bien définis, quelque chose d’anormal ; de plus, l’auteur parle un peu plus loin de pièges de l’homosexualité, cela ne fait que renforcer l’image négative que cet extrait renvoie sur les homosexuels, alors que de nos jours, l’homosexualité est définie comme un type de sexualité à pars entière, et non comme un état obligatoirement passager. Il ne faut pas s’en affoler, comme dit l’auteur, mais je pense que cet extrait peut créer l’effet inverse. Pour un ouvrage considéré comme une référence en matière de psychologie et de sexualité de l’adolescence, je trouve que le sujet de l’homosexualité n’est que très légèrement abordée.

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« 3) Les comportements à risquesFrançoise Dolto explique que les conduites à risques sont souvent l'expression d'un mal être, d'un problème plus profond.L'adolescent agit aussi ainsi par conformisme, pour faire comme les autres, pour se donner une situation qu'il n'a pas, par souci d'être rejeté.

Lesjeunes, sujet à ce genre de comportements, sont ceux qui on souvent un problème d'identification, d'expression, de narcissisme… Ici, l'écrivain met engarde contre les comportements à risque, et explique la psychologie du processus qui pousse l'adolescent à se tourner vers ces tendances, en évoquantles facteurs de protection et les facteurs de vulnérabilité. 4) La relation parents-adolescentIl est important d'être attentif à la « mutation » du jeune, à la puberté, comme l'écrivain le raconte.

Il est important que l'adolescent se sente écouté,compris et soutenu par ses proches.

Adopter le bon comportement vis-à-vis de son enfant se trouve à la limite entre la passivité et l'abus.

Il faut savoirêtre juste, doser ses actions, leurs donner un sens, une justification lorsqu'il s'agit de punitions.Le bon comportement face à un adolescent n'est pas toujours facile à adopter, car la complexité de l'adolescence est d'autant plus difficile à comprendrepour l'adolescent lui-même que pour les parents. VI.

Extraits «..il n'y a pas d'adolescence sans problèmes, sans souffrance...

» : Cette phrase m'a interpellée car je ne me souviens pas avoir souffert pendant monadolescence, ni avoir eu de problème plus profond ou plus intense que pendant les autres périodes de ma jeunesse.

De plus, je trouve que cette phraseest très pessimiste, pour les jeunes enfants qui ne sont pas encore pubères.

Que se diront-ils en lisant cette phrase ? Que l'adolescence est une périodenoir, une période où on vivra inévitablement un jour une souffrance et mal-être ? Je pense que certains adolescents n'ont jamais été confrontés à desdifficultés particulières pendant la puberté.

Mais si l'on parle de l'adolescence comme une fatalité inévitablement pénible, c'est un peu comme mettre unpied dans la tombe…« A l'adolescence…des élans affectifs pour quelqu'un de notre sexe arrivent à tout le monde, elles sont passagères, il ne faut pas s'en affoler… Parfois onse sent laids, on n'ose pas aller vers l'autre sexe.

Cela peut entraîner un repli vers l'homosexualité comme refuge » : Dans cet extrait, je trouve quel'écrivain stigmatise indirectement l'homosexualité, certes les élans affectif pour des personnes du même sexe peuvent être passagers, mais parfois ilsne le sont pas, et je trouve qu'il aurait été important de le développer aussi, car la vision que cela risque de donner aux adolescents, c'est quel'homosexualité n'est qu'une passade, un refuge pour quelques mal être bien définis, quelque chose d'anormal ; de plus, l'auteur parle un peu plus loinde pièges de l'homosexualité, cela ne fait que renforcer l'image négative que cet extrait renvoie sur les homosexuels, alors que de nos jours,l'homosexualité est définie comme un type de sexualité à pars entière, et non comme un état obligatoirement passager.

Il ne faut pas s'en affoler,comme dit l'auteur, mais je pense que cet extrait peut créer l'effet inverse.

Pour un ouvrage considéré comme une référence en matière de psychologieet de sexualité de l'adolescence, je trouve que le sujet de l'homosexualité n'est que très légèrement abordée. VII.

Conclusion En conclusion, Françoise Dolto passe au peigne fin la complexité de l'adolescent et nous renseigne sur les difficultés que traverse l'adolescent en passeaux changements.Pour chaque problèmes, elle offre une prévention mais aussi des solutions (proches, psychologues).L'adolescence est une période où l'on exprime le plus souvent ses mal être de façon physique, par son apparence, mais aussi par des comportements.Mais je pense aussi que l'ouvrage présente l'adolescence comme une période trop négative.

Certains adolescents n'ont pas vécu cette périodeaccompagnée de souffrances et de larmes huit soirs sur dix.

Certains jeunes risquent de se faire une idée négative sur l'adolescence avant même d'yêtre entrés.De plus, je pense que certains points n'étant que peut ou pas développer dans l'ouvrage auraient mérité d'être abordés, comme la transidentité.. »

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