la cafetière Théophile Gauthier

« un événement surnaturel qui plonge le personnage dans l'angoisse et dans le doute. Le registre fantastique se définit avant tout par une hésitation: le personnage et le lecteur hésitent, dans leur réponse, entre folie du personnage et dérèglement du monde. I.        Un récit ancré dans le réel  Personnage : texte écrit à la première personne=> impression qu'il va nous raconter un épisode de sa vie, ici une partie de campagne entre amis=> crédibilité   cadre spatio-temporel:   -précision temporelle précise: «l'année dernière»   -précision spatiale précise: «au fin fond de la Normandie»=> lieu réel   II.         La chambre: un lieu angoissant description d'un nouvel espace: la chambre. è la peur Relevez le champ lexical de la peur: «un frisson de fièvre» (l13); «trembler comme la feuille» (l24-25); «sottes frayeurs» (l26) éléments du texte qui favorisent ce sentiment:   -nuit, il pleut   -un lieu inconnu: «dans un monde nouveau», retour dans la passé: Régence, aïeux, peintures de Boucher   -solitude du narrateur (l 23-24)   -impression que la chambre est habitée: «paraissait avoir servi la veille» (l24); les robes sur le sol; le tabac frais Progressivement, le texte installe un sentiment d'angoisse          III.

L'irruption du surnaturel  «tout à coup».==>  Temps dominant de cette dernière partie: passé simple: actions de premier plan, rupture. Irruption du surnaturel: animation des personnages des tapisseries puis des objets dans la chambre: =>. »