mémoire de guerre
Publié le 12/11/2012
Extrait du document
«
que j’avais assumée tout au long de leur
servitude.
» (p.31)
Le 13 oct., rencontre avec Albert Lebrun, pr
ésident
en juin 1940 (p.3132) « comme chef de l’Etat, deux choses lui avaient
manqu
é : qu’il f ût un chef ; qu’il y e ût un Etat.
»
Insistance aupr
ès des Alli és pour que les Fran çais
soient engag
és dans les combats en Allemagne (6
sept.) (p.3233)
Retour sur les
étapes de la Lib ération : 1 è re
Arm ée
fran
çaise et troupes am éricaines d ébarque à St
Tropez le 15 ao
ût, s’empare de Toulon le 28 ao ût et
Marseille le 30.
2 et 3 septembre, entr
ée à Lyon, le 11 à Dijon. Le
12, contact avec les troupes du g
énéral Leclerc
venant de Paris. Puis liaison avec les troupes
d
ébarqu ées en Normandie et progression vers l’est
de la France (3437))
50000 FFI prennent part aux op
érations militaires
avec les troupes command
ées par de Lattre, venues
d’Afrique (20 sept.) (p.39). R
éflexion sur
l’organisation des mouvements de R
ésistance et des
op
érations militaires (.39 à 43). Un d écret pr écise, le
23 septembre, que les hommes en armes doivent
contracter un engagement en bonne et due forme
pour la dur
ée de la guerre, la question des FFI et
des maquisards se trouve ainsi l
également r églée.
L’arm
ée de terre va compter 300 000 combattants
(p.41) qu’il faut armer sans v
éritable aide des alli és
(p.43).
Le 23 septembre, visite de De Gaulle
à la 1 è re
Arm ée
avant la trou
ée de Belfort. Portrait élogieux du
g
énéral Monsabert (p.44) suivi de celui du g énéral
de Lattre (p.45)
Adoption des premi
ères mesures sociales le 28
ao
ût : (p.4748) : augmentation des allocations
familiales, des salaires. Adoption de l’emprunt de la
lib
ération pour financer « l’effort de guerre » (p.48
49) et
écarter l’inflation qui rode. « Sortant d’un immense tumulte, ce qui s’impose,
d’abord, c’est de remettre le pays au travail » (p.47)
13 septembre, des cours sp
éciales de justice, qui
doivent juger les actes d’intelligence avec l’ennemi,
sont constitu
ées.(p.49) Dissolution progressive des
cours martiales.(p.50) La justice fonctionnant
à
nouveau, la dissolution des milices patriotiques est
annonc
ée par d écret. (p.51), quelques soul èvements « Encore fautil qu’il [l’Etat] soit ma
ître chez lui.
Au milieu des courants qui soul
èvent des passions
et, au moindre fl
échissement, emporteraient son
autorit
é, il lui faut s’acquitter de deux devoirs
imp
ératifs : que la justice soir rendue et l’ordre
public assur
é.
» (p.49)
« La patrie vit les meilleurs des siens mourir en la
d
éfendant. Avec honneur, avec amour, elle les
berce en son chagrin. H
élas ! certains de ses fils .
»
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