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mémoire de guerre

Publié le 12/11/2012

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Résumé du chapitre 1 avec citations Mémoires de guerre de Charles de Gaulle, t. 3 Résumé détaillé Citations Constats des dégâts (transports « la marée, en se retirant, découvre désorganisés, pénurie...) p.7 à 9 donc soudain, d'un bout à l'autre, le corps bouleversé de la France. « p.7 « Eh quoi ? On peut, du jour au La détente morale (p.9) lendemain, parler tout haut, rencontrer qui l'on veut, aller et venir à son gré ! « p.9 « Quant à de Gaulle, personnage quelque peu fabu-leux, incorporant Une euphorie un peu trop précoce aux yeux de tous cette prodigieuse (p.9-10) libération, on compte qu'il saura accomplir par lui-même tous les miracles attendus « p. 10 « Je ne puis me bercer d'illusions Lucidité de De Gaulle (p.10) [...] Je me sais dépourvu de tout talisman qui permettrait à la nation d'atteindre le but sans douleur « p.10 Mise en place d'un gouvernement - « Plus que jamais, il me fallait discours au palais de Chaillot 12 donc prendre appui dans le peuple septembre 1944 (p.10 à 15), sentimentplutôt que dans les « élites «. mitigé (p.15) Provinces désorganisées imputée au parti communiste... (p.15 à 17) « Il faut dire que l'apparition du général de Gaulle...

« que j’avais assumée tout au long de leur   servitude.

  » (p.31) Le 13 oct., rencontre avec Albert Lebrun, pr ésident   en juin 1940 (p.31­32) «   comme chef de l’Etat, deux choses lui avaient   manqu é   : qu’il f ût un chef   ; qu’il y e ût un Etat.

  » Insistance aupr ès des Alli és pour que les Fran çais   soient engag és dans les combats en Allemagne (6   sept.) (p.32­33) Retour sur les  étapes de la Lib ération   : 1 è re  Arm ée   fran çaise et troupes am éricaines d ébarque  à St   Tropez le 15 ao ût, s’empare de Toulon le 28 ao ût et   Marseille le 30.  2 et 3 septembre, entr ée à Lyon, le 11  à Dijon. Le   12, contact avec les troupes du g énéral Leclerc   venant de Paris. Puis liaison avec les troupes   d ébarqu ées en Normandie et progression vers l’est   de la France (34­37)) 50000 FFI prennent part aux op érations militaires   avec les troupes command ées par de Lattre, venues   d’Afrique (20 sept.) (p.39). R éflexion sur   l’organisation des mouvements de R ésistance et des   op érations militaires (.39  à 43). Un d écret pr écise, le   23 septembre, que les hommes en armes doivent   contracter un engagement en bonne et due forme   pour la dur ée de la guerre, la question des FFI et   des maquisards se trouve ainsi l également r églée.

  L’arm ée de terre va compter 300   000 combattants   (p.41) qu’il faut armer sans v éritable aide des alli és   (p.43). Le 23 septembre, visite de De Gaulle  à la 1 è re  Arm ée   avant la trou ée de Belfort. Portrait  élogieux du   g énéral Monsabert (p.44) suivi de celui du g énéral   de Lattre (p.45) Adoption des premi ères mesures sociales le 28   ao ût   : (p.47­48)   : augmentation des allocations   familiales, des salaires. Adoption de l’emprunt de la   lib ération pour financer «   l’effort de guerre   » (p.48­ 49) et  écarter l’inflation qui rode.  «   Sortant d’un immense tumulte, ce qui s’impose,   d’abord, c’est de remettre le pays au travail   » (p.47) 13 septembre, des cours sp éciales de justice, qui   doivent juger les actes d’intelligence avec l’ennemi,   sont constitu ées.(p.49) Dissolution progressive des   cours martiales.(p.50) La justice fonctionnant  à   nouveau, la dissolution des milices patriotiques est   annonc ée par d écret. (p.51), quelques soul èvements   «   Encore faut­il qu’il  [l’Etat]  soit ma ître chez lui.

  Au milieu des courants qui soul èvent des passions   et, au moindre fl échissement, emporteraient son   autorit é, il lui faut s’acquitter de deux devoirs   imp ératifs   : que la justice soir rendue et l’ordre   public assur é.

  » (p.49) «   La patrie vit les meilleurs des siens mourir en la   d éfendant. Avec honneur, avec amour, elle les   berce en son chagrin. H élas   ! certains de ses fils  . »

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