Résumé - Des Souris et des Hommes

« racisme), bossu et solitaire du ranch.

Entre temps, alors que George lui avait glissé un mot à propos de Lennie et de son amour des animaux, Slim offrit à Lennie un chiot de sa chienne.

Fou de joie, il passa de longues heures dans la grange à caresser son chien.

Un jour, Curley passa au baraquement alors qu’il cherchait sa femme.

Cette fois cependant, lorsqu’il provoqua Lennie, George encouragea son ami à répondre aux affronts de Curley.

Lennie, trop doux pour répliquer spontanément, ne riposta que devant l’insistance de George.

D’une seule main, il broya les doigts de l’ancien boxeur.

Honteux, ce dernier ira raconter par la suite qu’il s’est coincé la main dans une machine.

Quelques temps après cette bagarre, tous les ouvriers sortirent dans un bar, en ville.

Tous, sauf Lennie, Crooks, et le vieux Candy.

Alors que Crooks était sur le point de – encore – passer la soirée seul, Lennie pointa le bout de son nez à sa porte.

D’abord grincheux et sur ses gardes, semblerait qu’il fut attendri par l’innocence de Lennie, et il le laissa entrer.

Ils passèrent un bout de la soirée ensemble, et bien que George lui ait interdit de le faire, Lennie s’échappa et lui fit part de leur plan de vivre comme des rentiers, etc.

Sur ces entrefaites, Candy vint les rejoindre.

Lui qui était sans famille, destiné à un imminent chômage en raison de son handicap, fut bien intéressé par le projet que Lennie exposait.

Tellement, qu’il proposa de s’y joindre.

Il avait en poche une certaine somme, et c’est précisément pour cette raison que George, plus tard, accepta qu’il s’associe à eux.

Le reste se déroule par un dimanche après -midi.

Les ouvriers jouaient au fer à cheval dehors, mais Lennie ne se joignit pas à eux.

Il alla plutôt dans l’écurie pour caresser son chien, comme à son habitude.

Mais il y alla trop fort, et tua la pauvre bête.

Effrayé à l’idée que George l’apprenne et qu’il ne le laisse pas s’occuper des lapins, il tenta de camoufler le corps de l’animal.

À ce moment même, la femme de Curley fit son entrée dans l’écurie.

Elle et Lennie bavardèrent pendant un temps, jusqu’au moment où elle apprit que Lennie appréciait les chos es douces.

Elle lui proposa de toucher ses cheveux soyeux.

Quelques secondes plus tard, elle gisait, inerte, sur le sol de l’étable.

Elle avait tenté de se défaire de son étreinte, mais il trouvait sa chevelure si agréable à toucher, qu’il n’avait fait q ue flatter plus énergiquement, jusqu’à ce que les vertèbres de son cou cèdent.

Devant une telle scène, Lennie pensa à ce qu’il avait été établi avec George en cas de problèmes, et il alla se cacher dans la clairière du début.

Lorsque le corps de la femme d e. »