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tpe la musique une contre-culture

Publié le 23/03/2014

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Le début d’une contre-culture a. Le punk et le rap, une revendication d’opposition   Vingt ans après les pionniers du rock and roll, la première vague de punk se développe en parallèle aux Etats-Unis à New-York, en Grande-Bretagne et principalement à Londres, et en France à Paris. L’histoire du punk commence chez le disquaire Marc Zermati, ou s’y rencontrent des amateurs de musique rock. Nous sommes en 1972, Yves Adrien écrit dans Le parapluie’ un article intitulé ‘’je chante le rock électrique’’. Les groupes qui cartonnent le plus sont souvent composés de musiciens virtuoses avec beaucoup de pratique de leur instrument : les Rolling Stones, Pink Floyd, Franck Zappa, Led Zeppelin…. Les premières insoumissions viennent des Etats-Unis, e...
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« la fin des années 70, une nouvelle musique surgit de la rue.

Ces premiers adeptes racontent la misère, la colère et les joies du prolétariat noir.

 Selon Karim Hammou (Une histoire du rap en France, 2012) lorsque le rap et le hip-hop apparaissent en France au tournant des années 1980, nombreux sont ceux qui n'y voient qu'un phénomène éphémère.

Trente ans plus tard, ce genre musical est toujours bien vivant, et il fait désormais partie de l'industrie musicale.

Dans la seconde moitié des années 1980, le rap en France dispose d'une visibilité réduite, assurée principalement par radio nova.

Hors de l'île de France, cette visibilité est encore plus limitée : elle repose sur des émissions spécialisées sur Radio grenouille à Marseille, Radio Blackbox à Bordeaux, Zap Fm à Lyon....

A partir de  1989, un profond changement apparaît dans la manière dont le rap est abordé à la télévision.

Il est lié à la constitution progressive du tag en problème public et à l'enrôlement du rap pour expliquer ce problème.

Le tag n'est pas un phénomène qui apparaît subitement dans les années 80, mais est perçu comme une pratique qui ne mérite pas l'attention jusqu'en 1988.

Un article du journal le Monde décrit un taggeur comme quelqu'un ''qui lutte, à sa manière, contre la modernisation ou l'anonymat''  alors que le Figaro le décrit comme une ''succesion de figure hideuses, monstreuses, inchoérentes''.

Le monde de la rue intrigue ceux qui n'en font pas partie.

Et c'est le monde des punks et du rap.

Risés de la plupart des médias qui n' y voient qu'une révolte éphémère d'une partie de la jeunesse, on peut bien parler d'une contre culture. . »

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