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Bataille de Hattin

Publié le 22/02/2012

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Au mois de juillet 1187, les troupes de Saladin écrasent les armées franques à Hattin. Au mois de juillet 1187, les troupes de Saladin écrasent les armées franques à Hattin. Le roi de Jérusalem, Guy de Lusiqnan, est fait prisonnier. Saladin possède la supériorité numérique. Prudent, il va s'efforcer d'éviter le choc avec la cavalerie franque, qui fait de gros dégâts. Les troupes musulmanes traversent le fleuve al-Uquhuwana, ne laissant que le ravitaillement sur la rive est. Le gros de l'armée se fixe au village de Cafarsset, qui domine la zone au nord du mont Thabor. Avec quelques proches, Saladin part attaquer Tibériade, la ville de Raymond de Tripoli.

« DES ROIS VENUS DE FRANCE Gui de Lusignan roi de Jérusalem 4 juillet 1187 LE ROI CHEF DE GUERRE La bataille d'Hattin : Saladin vainqueur des Francs Au printemps 1187, le prince Renaud de Châtillon a rompu la trêve conclue trois ans plus tôt avec Saladin en attaquant une caravane de retour de La Mecque.

Le sultan a riposté en se lançant à l'assaut de Tibériade.

Le roi de Jérusalem Gui de Lusignan décide de se porter au secours de la ville assiégée.

Mais le 4 juillet, à l'issue de la bataille d'Hattin, la plus grave défaite infligée aux Francs depuis leur arrivée en Terre sainte, son armée sera anéantie.

L e 3 juillet 1187, le roi de Jé~ rusalem Gui de Lusignan donne à ses troupes l'ordre de se mettre en marche vers Tibé~ riade, dont la citadelle est assiégée par Saladin.

L'armée des chrétiens étire ses trois colonnes sur le plateau qui s'étend entre le mont Nimrin et les cornes d'Hattin , deux collines jumelles vestiges d'u n volcan éteint.

L'avant~garde ouvre le chemin, suivie des fantassins, des archers, des arbalétriers et de l'arr ière~ garde.

Harcelés par les musul~ mans, les Francs décident de faire étape près d'un point d'eau proche du village d'Hat ~ tin.

Mais ils ont été devancés par l'ennemi et, après une pénible journée, doivent pas~ ser la nuit sans pouvoir ni boire ni abreuver leurs chevaux .

Une manœuvre habilement déjouée Le lendemain, les chrétiens doivent répondre aux atta~ ques de plus en plus nom· breuses des musulmans.

Les chevaliers et surtout leurs montures sont les cibles privi~ légiées des archers ennemis, qui cherchent à interdire aux Francs toute mobilité en anéantissant leur cavalerie, leur arme la plus redoutable.

Réalisant qu'il leur est impos~ sible de progresser, Gui de Lusignan et ses barons ten~ tent d'établir une position sta~ ble au pied des cornes d'Hat~ tin.

Mais, sous les assauts de l'ennemi , il leur est difficile d'installer le camp.

D'a utant. »

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