Défense en «hérisson»: Libye
Publié le 27/02/2008
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Les Britanniques s accrochent à leurs positions. Même avant l'avènement de l'arme blindée, les chefs militaires chargés de défendre un large front ont toujours hésité entre l'établissement d'un chapelet de points d'appui et une tactique plus souple fondée sur la mobilité. Au cours de la Première Guerre mondiale, l'armée britannique essaya de pallier sa faiblesse défensive, notamment en 1918, en renforçant le front par de solides points d'appui appelés «cages à oiseaux» à cause du fil de fer barbelé dont ils étaient entourés. Occupées par les effectifs d'une compagnie ou d'un bataillon, ces positions devaient repousser les attaques ennemies par leurs propres moyens. Mais l'offensive allemande du mois de mars 1918 démontra l'inefficacité des «cages à oiseaux», immobilisant des hommes et des canons qui eussent été mieux utilisés pour contre-attaquer.
Liens utiles
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- C.E. 29 juill. 1950, COMITÉ DE DÉFENSE DES LIBERTÉS PROFESSIONNELLES DES EXPERTS-COMPTABLES BREVETÉS PAR L'ÉTAT, Rec. 492
- C. E. 28 mai 1971, MINISTRE DE L'ÉQUIPEMENT ET DU LOGEMENT C. FÉDÉRATION DE DÉFENSE DES PERSONNES CONCERNÉES PAR LE PROJET ACTUELLEMENT DÉNOMMÉ «VILLENOUVELLE EST», Rec. 409, concl. Braibant.
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