Finction royale à l'époque carolingienne

« productivité, mais aussi administratifs avec une meilleure gestion des domaines impériaux.

Ainsi qu’un développement sociétal avec la création de l’enseignement et l’expansion de nouvelles écritures.

L’héritage byzantin riche, va favoriser le développement des églises et ainsi concrétiser la richesse ecclésiastique par la construction de cathédrales, et d’abbay es.

La puissance ecclésiastique apportera un soutien important aux rois carolingiens.

- Problématique : cerner l’intérêt du sujet Vu les liens étroits qui existent entre l’église et la royauté carolingienne, ceux -ci doivent se rendre service mutuellement et précisément le rôle du roi pour l’église .

- Annonce du plan : mettre entre parenthèse le numéro des parties.

Ce texte à une portée religieuse, traite des principe s fondateur s au sein des fonctions du roi, son but et son devoir pour le peuple (I).

Mise à pa rt les grandes lignes de sauvegarde pour le peuple, le roi et l’église sont en interaction.

Car selon l’église le roi doit son statut et ses pouvoirs à Dieu et part conséquent à l’église (II).

Le roi, ce doit d’établir, ordre sécurité et justice dans son royaume, pour son peuple.

Ses fonctions premières consistent à gouverner et régir le peuple de Dieu en équité et justice et faire en sorte que tous s’appliquent à cultiver la paix et la concorde En effet, il doit être en premier lieu le défenseur des églises, des serviteurs de Dieu, des veuves et des orphelins et de tous les autres pauvres et indigents Ainsi est contée la place du roi au 9e siècle en France.

I.

La profession royale : garante de l’ensemble de son peuple L’activité royale reçoit des prérogatives importantes afin de préserver la paix à l’intérieur de son territoire (A) ainsi que l’ordre par le biais d’une justice équitable (B).

A) Le roi garant de la paix Ce n’est pas en ce sens les seules garanties qu’il se doit d’apporter en tant que roi, la justice est aussi une des principales fautes pouvant créer un déséquilibre de la paix et par conséquent de la sécurité.

B) Le roi comme responsable de la justice Le roi garant de justice.

Le roi doit avoir en plus du pouvoir suprême, et la maintenance de la paix, une imposition de la justice.

En effet, par ces nombreux pouvoirs, incontestable, le roi peut et a le devoir de juger ce qui lui semble bon et juste.

Il faut en tendre par là, que le roi est en plus du chef du pouvoir politique, le chef du pouvoir judiciaire.

II.

Une mission divine, la protection de l'église A) La redevance royale envers Dieu Dieu et le roi sont indivisibles au même ordre que religion et État.

C’est par la religion et sous influence de Dieu que le roi gouverne et agit.

Il est donc tout à fait logique de voir la relation incontesté du roi et de la religion.

Non seulement le roi est redevable des pouvoirs puissants que Dieu lui accorde, ce qui par conséquent implique le fait qu’il doit être le protecteur de l’église, source du culte et de la religion chrétienne.

B) La protection de l'Eglise catholique par le roi Le roi incarne donc un rôle de représentant, c’est le représentant de Dieu.

Cela implique qu’il doit être pour ses sujets, un modèle dans la manière d’exercer l’autorité, même si il doit limité certaines attribution de Dieu.

Effectivement, Dieu peut être défini comme un êtr e qui existe par lui même, que tout dépend de lui à partir du moment où ça lui est extérieur, il est l’être absolument nécessaire, le premier, la fin de tout.

À première vue, ceci semble difficilement imitable, pourtant le roi doit avoir une part de cette supériorité, une certaine indépendance, à l’opposé de ce que pense la démocratie moderne.

Analyse des textes de HDI – I er Quadrimestre. »