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Histoire du Muma

Publié le 07/11/2021

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Mes talons claquent sur le sol, je relève ma manche, 9h, je presse le pas. Mon groupe doit déjà être là. J’arrive au porte du musée. Je jette un rapide coup d’œil à l’accueil. Tiens c’est Amélie qui s’en occupe. Je lui souris en guise de bonjour et m’élance vers mon groupe qui m’attend.    Bonjouurrr, je me présente, je suis Sophie Clémonceau dis-je gaiement. Aujourd’hui, je faisais face à un groupe plutôt homogène, deux couples, je suppose, accompagné de leurs trois jeunes enfants et deux adolescents. - Je suis votre guide durant cette visite au Muma. Voulez-vous bien vouloir me suivre à l’extérieur pour commencer cette visite ? Les plus jeunes enfants me suivirent en sautillant, tendis que les ados traînaient le pas. - Le musée d’Art moderne André-Malraux est inauguré en 1845 par le peintre Adolphe-Hippolyte Couveley. C’est le premier musée de la ville du Havre, il appartient à la 2nd génération de musées créés au XIXème siècle, en France. C’est un musée des beaux-arts situé à l’entrée du port, à l’angle de la rue de Paris et du quai de Southampton. Ainsi, il bénéficie de l’activité de la rue commerçante. Il est ainsi nommé en l’honneur de l’écrivain français André Malraux, qui était alors ministre de la culture. Il en fit un lieu d’avant-garde. En septembre 1944, le musée est complètement détruit par les bombardements de la seconde guerre mondiale.    Les enfants en entendant les mots bombardements et seconde guerre mondiale relevèrent la tête et chuc...
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« mille cinq cents peintures, qui ont été transférées en lieu sûr, sont épargnées. Les premières collections sont présentées au public dès 1839 et c'est le premier musée-maison de la culture, ouvert en 1961.  A présent, nous allons nous rendre près d'une sculpture que l'on appelle Le Signal. Le musé se trouve en bord de mer, et est souligné par cette sculpture.

Elle est une  réalisée par Henri-George-Adam.

Constituée de béton et d'aluminium, elle est réalisé en 1961.

C'est une sculpture monumentale de 22 mètres d'envergure, et d'un poids de 220 tonnes.  Elle est commandée par l'État en 1956 pour la terrasse du musée-maison de la culture du Havre.

Adam a pensé son oeuvre en fonction de son emplacement.

En effet, il a choisi une couleur blanche, polie, qui met en valeur la lumière particulière de cette contrée. L'apparence que l'on distingue du signal change selon notre point de vu.

Ainsi, on peut apercevoir un oeil ou coquillage. L'un des enfants attrapa la manche de son père et lui souffla à l'oreille qu'il voyait un oeil gigantesque. - Maintenant, ajoutais-je, nous allons pouvoir découvrir l'architecture de cette maison de la culture, dis-je en ouvrant grand mes bras et en me tournant vers celui-ci. Pour commencer, le musée à été construit par quatre architectes Guy Lagneau, Michel Weill, Jean Dimitrijevic et Raymond Audigier.

Qui on eux même été en étroite collaboration avec quatre ingénieurs.

Bernard Laffaille et René Sarger qui se sont occupés des structures en acier et en béton. Jean Prouvé a travaillé sur l'emploi de l'aluminium, André Salomon était chargé de rendre le lieu très lumineux et c'est occupé de l'éclairage naturel et artificiel. En effet, la lumière à une place centrale dans l'architecture du musée.

L'édifice, est baigné de lumière naturelle. 5 de ses façades sont vitrées.

Les façades exposées aux vents (sud et ouest) sont constituées de deux pans de verre et de panneaux d'aluminium conçus par Jean Prouvé.

Cet architecte a également conçu le paralume installé au -dessus du toit.

C'est une véritable performance technologique, ce paralume en lames d'aluminium inclinées en ailes d'avion brise les rayons du soleil et renvoie une douce luminosité au coeur du bâtiment.. »

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