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Histoire et Géographie du Népal

Publié le 22/02/2012

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République himalayenne s'étendant sur 140 797 km² et qui compte environ 27,7 millions d'habitants. La capitale est Katmandou, les autres villes importantes sont Patan, Biratnagar et Baghdaon (150 000 habitants). Géographie Le Népal comprend la partie la plus élevée des chaînes de l'Himalaya (comme la chaîne de l'Annapurna). Le sommet du pays atteint 8 846 mètres (Everest). Au sud, les paysages de montagnes et de collines dominent. Il existe une vingtaine de cols qui s'échelonnent entre 1800 et 5700 mètres.
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« LE NÉPAL AU XXe SIÈCLE Les principautés hindoues de l'Himalaya central sont unifiées entre 1755 et 1805 par la dynastie des Shah deGorkha.

En 1845, ces souverains sont écartés de l'autorité effective au profit d'une dynastie de Premiers ministres,les Rana.

Isolant consciencieusement le pays des influences extérieures, ils ménagent néanmoins les intérêts desBritanniques, qui reconnaissent l'indépendance népalaise.

Katmandou autorise notamment le recrutement deNépalais, les gourkhas, dans l'armée des Indes.

L'Inde de Nehru, inquiète des prétentions chinoises dans la région,soutient le roi Tribhuvan qui, au début de 1951, parvient à faire céder le régime rana.

Une première expériencedémocratique, que le parti du Nepali Congress tente vainement de consolider, se conclut en décembre 1960 lorsquele roi Mahendra réinstaure la monarchie absolue.

S'ouvre l'époque des panchayat, une « démocratie sans partis »jugée plus adaptée aux aspirations politiques népalaises et aux nécessités du développement.

Cependant, le régimese révèle vite incapable de remplir ses promesses modernisatrices, malgré une radicalisation progressive qui culminepeu après l'avènement du roi Birendra en 1972.

Les oppositions internes et externes au camp panchayat obligent àl'organisation d'un référendum en 1979 : identifiant les panchayat à la monarchie, les Népalais fournissent un sursisau système.

Fin 1989 pourtant, l'opposition longtemps neutralisée par le jeu des contradictions entre ses mentorssoviétiques, chinois et indien, parvient à lancer une campagne de protestation qui aboutit en avril 1990 à larestauration du multipartisme.

Le relatif retrait du souverain laisse place à une alternance chaotique entre leslibéraux du Nepali Congress et les communistes modérés.

En 1996, une faction maoïste du Parti communiste décideque la situation est mûre pour le lancement de la « guerre populaire », qui au tournant du siècle avait déjà provoqué1 500 morts.

Le 1er juin 2001, le roi Birendra et neuf autres membres de sa famille trouvaient la mort dans unefusillade, à l'intérieur du palais, déclenchée par le prince héritier.. »

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