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Histoire: Valmy

Publié le 22/02/2012

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Commune de la Marne où eut lieu, le 20 septembre 1792, une bataille qui vit la victoire des Français (commandés par Dumouriez et Kellermann) sur les Prussiens. La victoire de Valmy marqua l'arrêt de l'invasion des pays ligués contre la Révolution. Encycl.: Les Prussiens et les Autrichiens avaient été victorieux dans leurs campagnes au nord-ouest de la France contre les armées révolutionnaires françaises désorganisées et les avaient fermement repoussées. A Valmy, les généraux Dumouriez et Kellermann l'Ancien rassemblèrent 36.000 soldats afin de constituer un bloc de résistance. C'est alors que commença la "canonnade de Valmy", des tirs d'artillerie qui durèrent pendant sept heures dans le brouillard à une distance d'environ un kilomètre. L'infanterie prussienne gagna du terrain, mais la grande majorité rebroussa chemin avant d'être à portée de tir des fusils français. Le nombre de victimes fut d'environ 300 de part et d'autre, mais les Prussiens, commandés par le duc de Brunswick, battirent bientôt en retraite par-delà le Rhin. Ce fut une bataille importante dans le sens où elle rendit confiance à l'armée française.
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« BOURBONS Louis XVI LE ROI CHEF DE GUERRE septembre 1792 Valmy : une victoire plus morale que militaire Le 20 septembre 1792, les armées austro~ prussienne et française se font face sur la colline de Valmy.

Devant la supériorité de l'artillerie de Gribeauval et la détermination des soldats de la Révolution, l'ennemi est contraint de battre en retraite et de repasser la frontière.

Bien plus qu'une simple victoire militaire, Valmy se solde par un extraordinaire effet psychologique et va redonner confiance à la Nation tout entière.

A près la capitulation de Longwy, le 23 août 1792, et celle de Verdun , le 2 sep­ tembre, on craint désormais que les troupes austro-prus­ siennes n'envahissent Paris.

Répondant à l'appel de l'As­ semblée législative, quatre cent mille volontaires se sont engagés pour défendre « la patrie en danger ».

S 'ils n' ont pas toujours très bonne allure, ces soldats vêtus de bleu, blanc , rouge sont déterminés à en découdre , malgré la pluie et les chemins transformés en véritables bourbiers .

S'il pleut beaucoup en ce mois de sep­ tembre 1792 , cela ne nuit pas seulement aux armées de la France révolutionnaire .

Atten­ dant les convois de ravitaille­ ment, minés par la dysenterie , les Autrichiens et les Prus­ siens, s'ils n' étaient persua­ dés de leur supériorité , pour­ raient éprouver quelque découragement.

Un. »

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