La décolonisation

La décolonisation après la seconde guerre mondiale jusqu'au millieu des années 1950. La seconde guerre mondiale à altéré la position de la métropole et de ce fait remit en question le maintien de la domination Française dans un empire coloniale étant arrivé à son summum dans les années 1930. La France s'enfonçant dans un régime d'assemblée faible et instable, n'a pas perçu la montée d'émancipation des peuples indigène dans ses colonies. N'ayant pas comme le Royaume-Uni d'expérience en matière de décolonisation, elle a conservé l'illusion que quelques aménagements suffiraient à y maintenir son ascendant, en donnant l'impression jusqu'en 1959, d'être secoué par des événements sur lesquels elle n'avait aucun contrôle, et de tourner le dos à une évoluton devenue inéluctable. I) Naissance de la décolonisation. A) Les puissances coloniales au déclin. La défaite de la france en 1940 face à l'allemangne et surtout les premières victoires millitaire du Japon de 1941-1942, qui occupèrent les colonies française (Indochine), britanniques (Singapour, Malaisie) et américaines (Phillipines) portent en affaiblissant les puissances coloniales, un coup décisif à leur prestige. Par ailleur les colonies prennent conscience de leur importance dans l'évolution générale du conflit. C'est des lors que jusqu'en 1944, la France libre a pour principale assise territoirale l'empire, notamment l'afrique-occidentale française (AOF) et l'afrique-equatoriale fraçaise (AEF) et après le débarquement allié en afrique du nord (1942) l'algérie, le maroc et la tuinisie. Les métroppoles font largements appel au potentiel humain et économique pour mener leur combat contre les puissances de l'axe. Face au déclin progressif de leur rôle sur la scène international, les Etats européens cherchent à préserver un empire qui a était l'un des moteur de leur force, leur assurant des zones d'influences considérable, et apparaisant comme le signe de leur vocation mondiale. Les possessions d'outre-mer sont à leur yeux un atout pour ne pas rétrogradés au rang de puissance de seconde zone. Dans l'esprit de l'opinion public britannique, l'empire reste attaché à l'apogée de la puissance anglaise - le reigne de Victoria -, tandis qu'en France, comme au Pays-Bas, l'armée est une partie importante de l'opi...