La grece et l'UE

« parle aussi des milliers de clandestins qui passent par la Grece pour ce rendre dans les pays du Nords et de l'Ouest, plus riches, mais aussi de la manière dont ces immigrés sont accueillis en Grece, le pays étant en crise.

Notre deuxième document est une image, représantant la crise grecque vue par un autre journal allemand, le Der Spiegle.

Sur cette image nous pouvons voir des hommes sortant en courant d'un cheval de Troie (nous pouvons d'ailleurs remarqué un drapeau grecque dessus) qui se font en quelques sorte expulsés par l'Union européenne (on reconnait le drapeau de l'UE).

Nous cherchons a montrer que la confrontation de ces documents permet de comprendre comment la frontière gréco-turque illustre a la fois les aspects de l'immigration vers l'union européenne et les limites de sa politique en la matière. Concentrons nous tout d'abord sur les aspects de l'immigration dans l'Union Européenne présent s dans ces documents.

Pour commencer, ces documents nous montrent que l'immigration vers l'UE est une immigration massive.

En effet, la Grece est aujourd'hui " débordé par l'afflux des migrants " (l.6) car " plus de 200 clandestins parviendraient toujours a passer par la frontière chaque jour " (l.14) et les autorités sont réduites à "parquer toujours plus de réfugiés dans des camps déjà surchagés" (l.23).

Des immigrés, pour la majorité des clandestins, arrivent alors en grand nombre dans leur eldorado qui est l'Union Européenne. De plus, ces immigrés sont souvent originaires de pays étant en instabilité politique ou économique "Il s'agit essentiellement d'Irakien, d'Iraniens et d'Afghans, mais aussi d'Africains"(l.16) qui cherchent une vie meilleure.

Leur but n'est pas de s'arreter en Grece, bien au contraire, ils ne font que passer par la Grece pour ensuite acceder aux "pays du Nord et de l'Ouest, plus riches." (l.18).

Cette idée est très bien illustrée le document 2.

Les immigrés se servent en quelque de la Grece comme un cheval de Troie, puisqu'ils ne sont pas. »