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LA PREMIERE GUERRE MONDIALE : L'expérience combattante

Publié le 21/01/2012

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L’assassinat de l’héritier au trône d’Autriche-Hongrie, le 28 juin 1914 à Sarajevo, provoque chez son grand-père, l’empereur d’Autriche, un désir de vengeance. Poussé par le kaiser, il lance un ultimatum à la Serbie, suivit d’une déclaration de guerre. La Russie, soutient ses frères serbes face à l’Autriche, elle-même défendue par l’Allemagne. L’empereur François-Joseph 1er fait envahir la Serbie et bombarde Belgrade. Le mécanisme des alliances s’effectue, et les déclarations de guerre entre les plus grands d’Europe s’enchaînent. A peine deux mois après l’assassinat de l’archiduc, la première guerre mondiale est née. C’est alors que le kaiser Guillaume II prévoit d’envahir la France grâce au plan Schlieffen, cependant l’armée Von Kluck est stoppée à la bataille de la Marne par la vaillante armée de Paris. Cette défaite allemande marque un tournant dans le conflit. 

« habitants de ce lieu morbide, enterraient, avaient la faim.

La nourriture étant l’un de ces réconforts tant apprécié par ces pauvres soldats.

Parfo is volée, ou subtilisée par les rats, il se pouvait que la nourriture n’arrive jamais.

Ces violences que les poilus avaient enduré, atteignaient fortement leur moral, ils ressentaient alors un gros besoin de réconfort.

L’état d’esprit des sold ats de la première guerre mondiale, n’était pas le même que celui des guerres impérialistes précédentes.

Effectivement, avec les affreuses souffrances vécues, ces perdu s de la guerre aimeraient être réconforté.

Ce bien être occasionnel pouvaient être appor té premièrement par les lettres des familles ou de leur femme.

Les mots réconfortants d’une femme pouvaient vous soigner un homme.

Egalement, un organisme fût créé pour les pensionnaires du front.

Des femmes inconnues de l’arrière, leurs envoyaient lettres et colis.

C’étaient les « marraines de guerre ».

Quand elle n’était pas supprimée, la permission était l’une des meilleures façons d’apaiser l’homme du combat.

Autre moyen de réconfort, les spectacles organisés par l’Etat, c’étaient des moments de détente pour distraire le soldat avant de le renvoyer à l’assaut.

Au front, les groupes primaires étaient aussi efficaces pour le moral.

En effet, un groupe de quelques « copains » qui s’aidaient à survivre au quotidien, c’était la camaraderie et l’entre- aide entre sympathisants du front.

C’é tait une grande valeur humaine, très apprécié de tous.

Entre soldats et frères de sang, « on a vait tous la même haine » , témoignage d’un poilu.

En effet, la haine des prussiens, ces barbares venus de l’Est pour ter roriser « nos femmes et nos enfants ».

Ce sentiment, les poilus l’avaient tous adopté, la haine était dans leurs cœur et leurs pensées, d’où cette accrue de violence.

L’allemand violait les femmes et condamnait le peuple occupé.

Une propagande en était faî te pour accroître cette haine des français.

Outre cette haine, le sentiment de mécontentement grandissait chez les soldats, la haine de « c eux » qui les envoyait à la mort.

Développés au chemin des dames, les mutineries étaient les révoltes des bataillons qui n’en pouvaient plus de devoir aller mourir.

L’assaut, dans ce combat de la région laonnoise était sûr d’être un échec et un remplissage de corps dans les cimetières.

Au chemin des dames, 130 000 morts en quatre heures.

Ces combattants préfér aient refuser l’ordre que leur lieutenant criait en pleurant.

Pour conclure, la première guerre mondiale était véritablement une déchirure, par sa durée, par son ampleur, par le nombre de morts au combat et par sa brutalité nouvel le, inconnue jusqu’alors.

Tout homme de l’après guerre se souvenir du courage de ces soldats envoyés à la mort pour leur patrie.

Leur vie misérable, mêlée aux combats violents où tous types d’inventions brutales avaient été mis à l’épreuve.

Dans les tranch ées, des hommes pendant quatre années avaient essayé de survivre pour leur pays.

Le besoin de réconfort étant vital pour le soldat malgré de vivre dans la haine.

La « Grande Guerre » devait être la dernière après le cauchemar qu’elle avait été et avec la création de la SDN.

Le peuple et les dirigeants ne voulaient plus revivre des batailles comme celle de Verdun où un million d’hommes du monde entier étaient morts en quelques mois.

L’humanité ne souhaitait plus revivre cela, trop de traumatisés, trop de mor ts, trop de haine et de violence.

Cependant malgré les leçons, un homme, Hitler, a trouvé un autre moyen pour recommencer, pas assez de morts pour la première, vingt années plus tard, ils y sont retournés.. »

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