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l'ancienne egypte

Publié le 04/05/2013

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TD – Droit constitutionnel général : Séparation des pouvoirs et interdépendance des organes Ressources gratuites Aperçu du corrigé : TD – Droit constitutionnel général : Séparation des pouvoirs et interdépendance des organes Publié le : 20/7/2010 -Format: TD – Droit constitutionnel général : Séparation des pouvoirs et interdépendance des organes Zoom « Le pouvoir doit se définir par la possibilité d'en abuser « nous dit André Malraux. Puisque l'essence même de la définition du pouvoir est puisée dans l'abus, existe-t-il alors un pouvoir sans abus ? Car on ne pourrait ainsi définir le pouvoir que par les limites qu'on lui donne. Le pouvoir aurait alors besoin de limites, sans quoi il se transformerait en abus de pouvoir. C'est en partant de ce postulat que Montesquieu dit que « pour qu'on ne puisse pas abuser du pouvoir, il faut, que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir &raq...
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« La séparation des pouvoirs : un principe démocratique La théorie de la séparation des pouvoir, introduit par Montesquieu, semble s’affirmer comme une nécessité (I) pour éviter l’abus de pouvoir que connait l’application des régimes de confusion des pouvoirs (II).

En réaction face à l’absolutisme de l’Ancien Régime, les philosophes des Lumières, comme Montesquieu, ont émis la théorie de séparation des pouvoirs.

Montesquieu recherche un régime qui puisse exprimer la liberté politique, qui n’est pas de faire ce que l’on veut, mais de se préserver de ce qui a habité toute la période d’avant la Révolution, c’est-à- dire le règne du pouvoir arbitraire du Roi.

Pour lui, « tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ».

Ainsi, il faut que le pouvoir arrête le pouvoir, c’est une nécessité au nom de la liberté politique.

Pour cela, il est évident que l’ensemble des pouvoirs ne doit pas se trouver entre les mêmes mains afin d’éviter que ces mêmes mains puissent agir de façon abusive.

C’est alors que, dans le but de ne pas abuser du pouvoir, il faut le diviser, en séparer chacun de ses constituantes.

C’est alors qu’est née la théorie de la séparation des pouvoirs.

Mais, s’il faut séparer le pouvoir, que peut-on en dissocier ? Montesquieu détermine les trois grands pouvoirs que possède, par l’intermédiaire de ses représentants, l’Etat.

Au nombre de trois, l’auteur les nomme « puissance législative, puissance exécutrice de l’Etat, puissance de juger ».

Alors que la première fait les lois, les modifie et les abroge, la seconde s’occupe de la sûreté, des ambassades, de la Défense, dans le respect et l’application des choses édictées par la première.

La dernière, considérée comme « nulle » par le philosophe, concerne le pouvoir de « punir les crimes ou de juger les différends entre particuliers ».

Il est important alors que ces trois puissances qui forment ensemble le pouvoir arbitraire de l’Etat ne soient pas attribuées à la même entité, dans le respect des libertés.

Mais Montesquieu n’exige pas au travers.... »

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