Les Lumières

« social, analyse les principes fondateurs du droit politique.

Il va plus loin que Montesquieu et Voltaire dans la défense de la liberté et de l'égalité entre les hommes, en proposant un ordre naturel qui allie la liberté individuelle et les exigences de la vie en société. Les philosophes des Lumières transmettent leurs idées et les attitudes intellectuelles à adopter.

Fontenelle écrit dans son Histoire des oracles, « assurons-nous bien du fait, avant de nous inquiéter de la cause », c'est-à-dire qu'il invite à vérifier les informations détenues, chercher la vérité.

Ainsi, Fontenelle prend l'exemple de l'histoire de la dent en or, et il conclut ainsi « quand l'orfèvre l'eut examinée, il se trouva que c'était une feuille d'or appliquée avec beaucoup d'adresse ; mais on commença par faire des livres, et puis on consulta l'orfèvre.», Fontenelle présente une leçon de méthode pour mieux raisonner, vérifier les faits véritables avant d'agir et ne pas croire aux rumeurs et aux superstitions.

Les Lumières invite à la réflexion par soi-même, Kant écrit « aie le courage de te servir de ton propre entendement » et définit ceci comme la devise des Lumières. Les philosophes des Lumières engagent les  Hommes à user de la raison et de leur entendement.

Il faut « faire un usage public de sa raison » résume Kant. Les Lumières invitent donc à l'exercice de la raison pour trouver la vérité dans les faits.

Il convient à remettre en question la société, ainsi que l'absolutisme.   II-              La contestation du pouvoir absolu   Dans ses Lettres philosophiques, Voltaire démontre la futilité de la noblesse et leur rôle d'esclave auprès du Roi, « un seigneur bien poudré qui sait précisément à quelle heure le roi se lève, à quelle heure il se couche et qui se donne des airs de grandeur en jouant le rôle d'esclave », il compare la noblesse aux négociants, « qui enrichit son pays  (...) et contribue au bonheur du monde ».

Pour Voltaire la noblesse est inutile dans le monde, un négociant apporte plus de bonheur et de richesse qu'un noble.

L'Etat a plus besoin d'un négociant que d'un noble au vu de la démonstration de Voltaire. Montesquieu, dans ses Lettres persanes, attaque le Roi et ses sujets.

Il observe une critique de la crédulité et. »