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Naitre, vivre sous l'ancien régime

Publié le 14/02/2014

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La démographie est un outils indispensable à l'historien, en effet la démographie permet de quantifier l'âge des populations et de leurs dynamisme, à partir de caractéristiques telles que la natalité (nombre de naissances au sein d'une population) , la fécondité (nombre moyen d'enfants par femme), la mortalité (nombre de décès annuels rapportés au nombre d'habitants d'un territoire) la nuptialité (nombres de mariages annuels rapportés aux nombres d'habitants). Sous l'ancien régime dans tous les milieux, le mariage est considéré comme étant d'abord une affaire d’intérêt, et secondairement, une affaire de sentiment. Les contraintes sociales imposent que les époux appartiennent aux mêmes milieu social (on parle d'homogamie) et de même zones géographique (on parle alors d'endogamie). En France, on se marie tard (27/28 ans pour les garçons et 25/26 ans pour les filles) à l'exception des grandes familles on les hommes se marient en moyenne à 21 ans et les filles à 18. 30 % des mariages au XVIIe siècle impliquent un veuf ou une veuve, il semblerait qu'il soit plus facile à l'homme de se rema...

« Le baptême ce fait quelques heures après la naissance en cas de mort précoce, car rappelons le sous l'ancien régime seul le sacrement assure la salut.

La mortalité sous l'ancien régime est marquée par le taux de mortalité infantile.

Un enfant sur deux n'atteindra jamais l'age adulte.

La mortalité endogène est la plus rapide à frapper, elle enlève plus du quart des nourrissons : malformations, accident de grossesse, coups de froid pris durant les baptêmes quand les églises ne sont pas chauffés...

Les enfants sont aussi touchés par des accidents tels que la noyade, les insolations etc.

La mort rode autour des accouchés.

Le nombres de morts en couches est particulièrement élevés dans le mois suivant la naissances.

Le taux de mortalité des femmes mariés oscille entre 4 et 8 % mais à age égal étrangement meurent autant.

D'autant plus que hommes et femmes sont égaux devant la maladies : rage, cancers...

Le danger chez la femme c'est l'accouchement, le travail chez l'homme. Enfin les crises démographique sont responsables de la mortalité extraordinaire.

Une crise peut tuer en quelques mois, le quart de la population d'un village.

La disette, la famine engendrés par la crise, multiplie le chiffre de décès par 5.

        Vers sept ans, commence ce que l'on appellent l'age de raison.

C'est l'age à partir duquel l'enfant peut suivre avec profit l'enseignement du catéchisme et recevoir le sacrement de confirmation, et s'il est malade, celui de l'extreme-onction.

C'est a cette age qu'il devient responsable en justice et peut être poursuivi et même condamné.

Dans les classes aisés l'éducation à tendance, surtout dans le sud de la France, à privilégié l'aîné pour qu'il puisse assurer au moment venu, l'héritage paternel.

Entre douze et quatorze ans est fixé l'age de la première communion.

Garçon comme fille, l'enfant commence petit à petit à ce détacher de sa famille pour s'agréger bientôt au groupe de jeunesse.

Aujourd'hui tout le monde va à l'école et l'emprise de la scolarisation gagne tous les jours.

Autrefois, au XVIIe siècle peu d'enfants allaient à l'école, au collège et à l'université.

Les écoles permettent aux enfants d'apprendre le catéchisme, elles sont aussi destinées à les alphabétiser et à leur apprendre à compter.

Le Nord et l'Est sont les régions les plus alphabétisées.

Les collèges ont été crée par les. »

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