Reconstruction
Publié le 27/02/2008
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Intentions et préliminaires. Lorsqu'ils mûrirent des plans de reconstruction, les Britanniques se préoccupèrent surtout de ne pas renouveler les erreurs commises à l'issue de la Première Guerre mondiale. Cette fois, il n'y aurait ni démobilisation hâtive engorgeant le marché du travail d'un pays à l'économie encore tendue vers la guerre, ni de Lloyd George pressurant les vaincus, ni de Georges Clemenceau désireux de saigner à blanc l'Allemagne. Winston Churchill s'exprima sans ambages à ce sujet dans le discours qu'il prononça à Mansion House le 9 novembre 1943: «Je considère comme étant le devoir de notre gouvernement d'établir des plans susceptibles de fournir à tous, dès la fin de la guerre, la nourriture, le travail et les logements nécessaires.» Il ajouta: «Nous balaierons de notre chemin les doctrines politiques, les préjugés, les ambitions et les intérêts qui pourraient faire obstacle à ces intentions.» Puis: «Au travail et, dès la paix revenue, soyons prêts à agir.»
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