Révolte des Boxers
Publié le 27/02/2008
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Histoire
s Boxers_ Asie
Une revoke populaire contre Ia mainmise des puissances etrangeres sur la Chine imperiale 1875 1884-1885 1894-18951899 mai 1900
juin 1900juill.
1900acitrt 1900
sept 1901janv.
1902
Debut de Guerre
GuerreLes Boxers se Les Boxers
Attaque des legationsLe corps
Le corps eveditProtocols de Pekin
Retour
Ia regence sino-francaise
sino-japonaiserapprochent de annoncent la guerre etrangeres de Pekin
expeditionnaires'empare de Pekin ;et fin de la guerrede Cixi
de Cixi Ia cour imperialecontre les Ocodentaux
par les Boxerss'empare de Tianjinfuite de Cirddes Boxersa PekinUn episode
international
LES 55 JOURS DE PEKIN
L'Empire du Milieu entre dans
le xx` siede avec la revolte des
Boxers, une societe secrete parmi
les milliers qui prosperent alors
dans la Chine imperiale.
Le pouvoir
mandchou entend profiler de cette
rebellion pour venger la defaite
infligee a la Chine par le Japon
en 1895 et pour faire piece aux
exigences formulees en 1898
par les puissances europeennes, notamment la France, l'Angleterre,
la Russie et l'Allemagne.
Declenchee en juin 1900, cette
tres violente reaction xenophobe
prend la forme d'une attaque
contre les missions catholiques
et les legations europeennes a Pekin
et se termine deux mois plus tard
au desavantage du pouvoir imperial
auquel sont imposes la presence
de troupes etrangeres a Pekin
pour la garde des legations et
le paiement de fortes indemnites.
LA DESAGREGATION
DE L'APPAREIL D'ETAT
LA MUTE DE CADMINISTRATION
ET DES FINANCES
La Chine de la fin du ox' siede,
sous la regence de rimperatrice
douairiere Cixi, apparalt comme
un geant tres fragilise.
Le pouvoir
mandchou, occupe a maintenir
Ia domination de la minorite
allogene quit represente sur les
elites chinoises, n'a rien change
au systeme administratif herite
des Ming.
La Cour est le theatre dintrigues
incessantes et de multiples
revolutions de palais, sur fond de
corruption.
La sous-administration
est flagrante dans ce pays de
quelque 300 millions d'habitants
- le plus peuple au monde.
La gestion des finances
publiques est tout aussi arrieree.
Le gouvemement ne dispose
pas de budget ni de caisse centrale
de college des fonds publics.
Chaque service administratif
possede sa propre tresorerie.
Une partie seulement des recettes
fiscales est transferee au ministere
des Finances ; le reste est affects
a des depenses locales, notamment
a celles de (instance administrative
qui were les rentrees de fonds.
De plus, les provinces de !Immense
empire dissimulent volontiers
le montant exact de leurs recettes
reelles.
L INE:MACRE DE L'ARNEE
Cara& elle-meme a perdu
toute efficacite.
Jadis instrument
redoute et terriblement efficace
du pouvoir central dans la conquete
du territoire, notamment au
xvii' siede, la plupart des unites
militaires sont desorganisees
deux siedes plus tard.
Pour assurer leur defense,
les autorites locales recourent a
des milices de volontaires destinees
a compenser la defaillance de
rarmee reguliere.
UN RETARD FATAL La revolution industrielle
europEenne de la fin du mnir
et du debut du ox' siede creuse
un profond kart entre ('Occident
et l'Empire du Milieu.
Prisonniere
d'une tradition d'autant plus
routiniere que les elements
conservateurs occupent le pouvoir,
la Chine n'est plus capable de faire
face a rarmement et A la stratEgie,
allies a la puissance economique
et commeraale, des pays europEens.
De leur cote, ceux-ci revent de
prendre position dans (immense
territoire chinois.
La Cour et les fonctionnaires
imperiaux affichent le plus profond
mepris a regard des menaces
que ces « barbares n font peser
sur l'Empire.
AbusEe, Ia population
les imite.
Ce manque de realisme
causera des difficultEs quand le
modele europeen - et japonais -
s'averera plus efficace que le modele
mandchou.
LES Andrus on
PUISSANCES Entontm3
LES CONSEQUENCES
D ES GUERRES DE L'ONUN La defaite des armees chinoises
tors des deux guerres de ('opium
(1839-1842 et 1856-1860) constitue
un immense choc pour les dirigeants
de l'Empire et le monde des lettres.
Pour la premiere fois de son histoire,
('Empire est battu ; le mythe de
sa superiorite s'effondre.
Le systeme
meme du pouvoir mandarinal
est remis en cause.
LES CONSEQUENCES
DE LA GUERRE FRANCO-CNINOISE
La France, qui a pris la mesure
de la faiblesse de la Chine, se saisit
du pretexte des agissements, en
1884 au Tonkin, de bandes armees
irregulieres soutenues par Pekin,
les Pavillons-Noirs, pour dedenther
les hostilites.
Le traits de Tianjin
(1885) met fin aux combats par
la reconnaissance du protectorat
francais sur rAnnam et
('engagement de la Chine a ouvrir
a Ia France des facilites de route
et de commerce sur la frontiere
tonkinoise.
LES CONSEQUENCES
DE LA GUERRE SINO-LAPONAISE
Tandis que la Chine se decompose
lentement sans que les gouvemants
mandchous ne parviennent
s'y opposer, le Japon sort de son
isolement seculaire grace aux
rEformes engagees depuis 1868.
Cere Meiji est elle de la
modernisation, mais aussi
tette du militarisme.
Contestant la suzerainete de
Ia Chine sur la Cores, le boon
declare la guerre a l'Empire
du Milieu en juillet 1894.
Une
succession de Makes chinoises
ouvre aux laponais la route de
Pekin, Landis que la Mandchourie
est pratiquement perdue.
Une fois de plus, le pouvoir
imperial tente de sauver par la
diplomatie ce quil vient de perdue
par les armes.
La Chine signe en
avril 1895 le traits de Shimonoseki
par lequel elle renonce a son
protectorat sur la Corte, s'engage
payer au Japon 200 millions de tads
dindemnites et a lui ceder Formose,
les Iles Pescadores et le Liaoning
- retrocede peu apres a la Chine
sous la pression des Ocddentaux.
Afin de Ogler les indemnites de
guerre, la Chine dolt emprunter
a un consortium franco-russe.
LA COME La faiblesse, maintenaM patente,
de l'Empire mandchou incite les
puissances occidentales a profiler
de la situation pour se faire conceder des territoires a bail
a rinterieur meme du territoire
chinois.
Ce procede constitue un systeme
de colonisation larvae.
L'installation
de bases commerciales et militaires
permet d'intervenir dans la politique
chinoise pour rorienter au mieux
des interets europeens.
Seule
('opposition entre les differents
pays qui souhaitent renforcer
leur presence en Chine sauve alors
cells -ci d'une colonisation totale.
US CENT JOURS La defaite militaire et diplomatique
infligee par la France en 1885 et
('humiliation subie lors de Ia guerre
avec le Japon en 1894-1895 poussent
le jeune empereur Guangxi,
age de 25 ans, jusqu'alors maintenu
sous la dependance de limperatrice
douairiere Cixi, a reprendre les
Ones du pouvoir.
S'appuyant sur une intelligentsia
progressiste qui s'est constituee
a Canton et dont le mandarin et
eminent historian Kang Youwei est
Ia figure de proue, Guangxi, decide
d'engager une modernisation de
Ia vie politique et de reconomie, sur
le modele japonais de ('Ere Meiji.
Parmi les mesures arretees par
les reformateurs figurent la miss
en place d'un systeme electif
pour toutes les formes de pouvoir,
regalite sociale en vue de racces
aux fonctions administratives,
regalite des sexes dans les services
publics, ('encouragement a la
production et la suppression du
manage au profit de ('union libre.
Ce gouvemement &lake regne
pendant une periode dite des Cent lours n - de juin a
septembre 1898.
Mais bienffit
rimperatrice Cixi, ecartee du
pouvoir, reprend 'initiative avec
('aide du general mandchou Rong
Lu et de Yuan Sikai - le futur
premier president de la republique
chinoise.
De retour au pouvoir,
elle abolit toutes les reformes, fait
decapiter les reformateurs et jeter
en prison rempereur Guangxu.
LES GUERRES DE L'OPIUM
20111
Nombre
de so /dots du corps
expeditionnaire international :
10 000 laponak
En 1839, les autorites chinoises
decident dinterdire le commerce
de roplum.
Celui-ci est controle
par les Britanniques deja installes
aux Indes, qui tirent un immense
profit de ce trafic.
L'armee chinoise tente de
s'emparer des reserves britanniques
d'opium entreposees a Canton.
Londres envoie aussiffit sa flotte
de guerre.
Battus, les Chinois doivent signer,
en 1842, le traits de Nankin qui
les oblige notamment a verser
21 millions de dollars d'argent
crindemnites de guerre, a ceder
Hongkong aux Britanniques et
a leur ouvrir les ports de Canton,
d'Amoy, de Fuzhou, de Ningbo
et de Shanghai.
Ces avantages ne tardent pas a etre
Rendus notamment aux Americains
- par le traits de Macao de juillet 1844 -et aux Francais - par le trade
de Whampoa d'octobre 1844.
Bientat d'autres incidents, dont
le meurtre du missionnaire Auguste
Chapdelaine en 1856, conduisent
aux campagnes, cette fois franco-
anglaises, de la seconde guerre
de ['opium (1856-1860) qui est
marquee par le sac du Palais d'ete.
Le &MN de Tianjin (1858),
confirme par la convention de Pekin
(1860) autorise (installation
d'ambassades etrangeres dans
la capitale chinoise, rouverture
de onze nouveaux ports, la liberte
de propager la foi pour les
missionnaires et le paiement par la
Chine d'indemnites de 4 millions et
de 2 millions de taels respectivement
au Royaume-Uni eta la France.
4 000 Russes,
3 000
Britanniques,
2 000 Arnericains, 800 Francais,
200 Allemands, 58 Austro-
Hongrois.
53 ltaliens.
Un film
Les 55 lours de Pekin
(E-U, 1962)
de Nicholas Ray,
avec Charlton Heston,
Ava Gardner, David Nwen.
Guangxu
(1872 -1908)
regne :
1875- 1908
•
LES 55 JOURS DE PÉKIN
L'Empire du Milieu entre dans le xx• siècle avec la révolte des Boxers, une société secrète parmi les milliers qui prospèrent alors dans la Chine impériale.
Le pouvoir mandchou entend profiter de cette rébellion pour venger la défaite infligée tl la Chine par le Japon en 1895 et pour faire pièce aux exigences formulées en 1898 par les puissances européennes, notamment la France, l'Angleterre, la Russie et l'Allemagne.
Déclenchée en juin 1900, cette très violente réaction xénophobe prend la forme d'une attaque contre les missions catholiques et les légations européennes tl Pékin et se termine deux mois plus tard au désavantage du pouvoir impérial auquel sont imposés la présence de troupes étrangères tl Pékin pour la garde des légations et le paiement de fortes indemnités.
• l'•r.ée elle-même a perdu toute efficacité.
Jadis instrument redouté et terriblement efficace du pouvoir central dans la conquête du territoire, notamment au XVII• siècle, la plupart des unités militaires sont désorganisées deux siècles plus tard.
• Pour assurer leur défense, les autorités locales recourent tl des milices de volontaires destinées tl compenser la défaillance de l'armée régulière.
UNIIETAIID FATAL • La révolution industrielle 1----------~ européenne de la fin du XVIII•
LA DÉSACRÉCATION DE L'APPAREIL D'ÉTAT
LA fAiwn DE L' ADMINISTUnON 0 DES RNAIKES • La Chine de la fin du XIX• siècle, sous la régence de l~mpératrice douairière CIXi, apparalt comme un géant très fragilisé.
Le pouvoir mandchou, occupé tl maintenir la domination de la minorité allogène qu~l représente sur les élites chinoises, n'a rien changé au système administratif hérité des Ming.
• La Cour est le théâtre d~ntrigues incessantes et de multiples révolutions de palais, sur fond de corruption.
La sous-administration est flagrante dans ce pays de quelque 300 millions d'habitants -le plus peuplé au monde.
• La gestion des finances publiques est tout aussi arriérée.
Le gouvernement ne dispose pas de budget ni de caisse centrale de collecte des fonds publics.
Chaque service administratif possède sa propre trésorerie.
Une partie seulement des recettes fiscales est transférée au ministère des Finances ; le reste est affecté tl des dépenses locales, notamment à celles de l~nstance administrative qui opère les rentrées de fonds.
De plus, les provinces de l~mmense empire dissimulent volontiers le montant exact de leurs recettes .
réelles.
et du début du XIX• siècle creuse un profond écart entre l'Occident et l'Empire du Milieu.
Prisonnière d'une tradition d'autant plus routinière que les éléments conservateurs occupent le pouvoir, la Chine n'est plus capable de faire face tl l'armement et tl la stratégie, alliés tl la puissance économique et commerciale, des pays européens.
De leur côté, ceux-ci rêvent de prendre position dans l~mmense territoire chinois.
• La Cour et les fonctionnaires impériaux affichent le plus profond mépris tl l'égard des menaces que ces « barbares • font peser sur l'Empire.
Abusée, la population les imite .
Ce manque de réalisme causera des difficultés quand le modèle européen -et japonais - s'avérera plus efficace que le modèle mandchou.
LES Alifiiii DES PUISSANCES DIANCibEs
LEs CONHQUENCES DES GUEIIES DE L'OPIUM • La défaite des armées chinoises lors des deux guerres de l'opium (1839-1842 et 1856-1860} constitue un immense choc pour les dirigeants de l'Empire et le monde des lettrés .
Pour la première fois de son histoire, l'Empire est battu ; le mythe de sa supériorité s'effondre.
Le système même du pouvoir mandarinal est remis en cause.
août 1900 sept1901
Attaque des légations Le co~ Le corps expédit Protocole de Pékin étrangères de Pékin expéditionnaire s'empare de Pékin ; et fin de la guerre par les Boxers s'empare de Tianjin fuite de Cixi des Boxers
LES CONHQUENCES DE LA GUEIIE FIANCD-CHINOISE • La France, qui a pris la mesure de la faiblesse de la Chine, se saisit du prétexte des agissements, en 1884 au Tonkin, de bandes armées irrégulières soutenues par Pékin, les Pavillons-Noirs, pour déclencher les hostilités.
Le traité de Tianjin (1885} met fin aux combats par la reconnaissance du protectorat français sur l'Annam et l'engagement de la Chine à ouvrir à la France des facilités de route et de commerce sur la frontière ton ki noise.
LEs coNstQuENCEs DE LA GUEIIE SIND-JAPONAISE • Tandis que la Chine se décompose lentement sans que les gouvernants mandchous ne parviennent tl s'y opposer, le Japon sort de son isolement séculaire grace aux réformes engagées depuis 1868.
l'ère Meiji est celle de la modernisation, mais aussi celle du militarisme.
• Contestant la suzeraineté de la Chine sur la Corée, le Japon déclare la guerre à l'Empire du Milieu en juillet 1894.
Une succession de Mftlltes cllinlses ouvre aux Japonais la route de Pékin, tandis que la Mandchourie est pratiquement perdue.
• Une fois de plus, le pouvoir impérial tente de sauver par la diplomatie ce qu~l vient de perdre par les armes.
La Chine signe en avril1895 le traité de Shimonoseki par lequel elle renonce à son protectorat sur la Corée, s'engage à payer au Japon 200 millions de taëls d1ndemnités et tl lui céder Formose, les nes Pescadores et le Liaoning -rétrocédé peu après tl la Chine sous la pression des Occidentaux.
Afin de régler les indemnités de guerre, la Chine doit emprunter tl un consortium franco-russe .
LA CUltE • La faiblesse, maintenant patente, de l'Empire mandchou incite les puissances occidentales tl profiter de la situation pour se faire
concéder des territoires à bail tl l~ntérieur même du territoire chinois.
• Ce procédé constitue un système de colonisation larvée.
L'installation de bases commerciales et militaires permet d~ntervenir dans la politique chinoise pour l'orienter au mieux des intérêts européens.
Seule l'opposition entre les différents pays qui souhaitent renforcer leur présence en Chine sauve alors celle-ci d'une colonisation totale.
WCENTJOUIS
• La défaite militaire et diplomatique infligée par la France en 1885 et l'humiliation subie lors de la guerre avec le Japon en 1894-1895 poussent le jeune empereur c-,n, agé de 25 ans, jusqu'alors maintenu sous la dépendance de l~mpératrice douairière Cixi, à reprendre les rênes du pouvoir.
• S'appuyant sur une intelligentsia progressiste qui s'est constituée tl canton et dont le mandarin et éminent historien Kang Youwei est la figure de proue.
Guangxu décide d'engager une modernisation de la vie politique et de l'économie, sur le modèle japonais de l'ère Meiji.
• Parmi les mesures arrêtées par les réformateurs figurent la mise en place d'un système électif pour toutes les formes de pouvoir, l'égalité sociale en we de l'accès aux fonctions administratives, l'égalité des sexes dans les services publics, l'encouragement à la production et la suppression du mariage au profit de l'union libre.
• Ce gowemement éclairé règne pendant une période dite des • Cent Jours • -de juin à septembre 1898.
Mais bientôt, l~mpératriœ Cixi, écartée du pouvoir, reprend l~nitiative avec l'aide du général mandchou Rong Lu et de Yuan Sikai -le futur premier président de la république chinoise.
De retour au pouvoir, elle abolit toutes les réformes, fait décapiter les réformateurs et jeter en prison l'empereur Guangxu.
• En 1839,1es autorités chinoises décident d~nterdire le c-.œ • r.,_ Celui-ci est contrôlé par les Britanniques déj:t installés aux Indes, qui tirent un immense profit de ce trafic.
• L'armée chinoise tente de s'emparer des réseM!s britanniques d'opium entreposées tl canton.
Londres envoie aussit6t sa flotte de guerre.
• Battus, les Chinois doivent signer, en 1842, le traité de Nankin qui les oblige notamment à verser 21 millions de dollars d'argent d~ndemnités de guerre, tl céder Hongkong aux Britanniques et à leur otMir les ports de Canton, d'Amoy, de Fuzhou, de Ningbo et de Shanghai.
• Ces avantages ne tardent pas tl être étendus notamment aux Américains -par le traité de Macao de juillet 1844 -et aux Français -par le traité de Whampoa d'octobre 1844.
• Bient6t, d'autres incidents.
dont le meurtre du missionnaire Auguste Chapdelaine en 1856, conduisent aux campagnes, cette fois franco anglaises, de la seconde guerre de l'opium (1856-1860) qui est marquée par le sac du Palais d'été.
Le llwllé • ...,..
(1858), confirmé par la convention de Pékin (1860) autorise l~nstallation d'ambassades étrangères dans la capitale chinoise, l'ouverture de onze I10UIIeaUX ports, la liberté de propager la foi pour les missionnaires et le paiement par la Chine d~ndemnités de 4 millions et de 2 millions de taêls respectivement au Royaume-Uni et à la France.
Nombre de soldats du corps expéditionnaire international:
JOOO Britanniques,
2 000 Américains.
BOO Français,
200 Allemands,
58AustroHongrois,
5Jitaliens.
Un film Les 55 Jours de Pékin (É-U, 1962) de Nicholas Ray, avec Charlton Heston, AvaGardner, David Niven..
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