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David Thompson

Publié le 20/03/2012

Extrait du document

C'est probablement en 1787 que Thompson reçut l'ordre, avec six autres hommes, de partir de Manchester House vers le sud en vue d'élargir les possibilités offertes au commerce des fourrures. Les Indiens Pieds-Noirs et Piégans établis dans les plaines avaient proposé des peaux de loup aux trappeurs. La Société de la baie d'Hudson espérait obtenir d'eux qu' ils réunissent également des peaux de castors et d'autres fourrures plus précieuses encore. La troupe de Thompson atteignit un camp des Piégans dans la Grande Plaine, probablement dans les environs de l'actuelle Calgary.

« terre à la France, au Canada .

La Société de la baie d'Hudson représentait les intérêt s anglais.

En re­ vanche, la Compagnie du Nord -Ouest était le fait de plu sieurs commerçants indépendants opérant à partir de la ville françai se de Montréal.

Déjà, en 1786, la Compagnie du Nord -Oue st avait établi un poste commercial sur la Saskatchewan du Nord, à 60 kilomètre s au nord de Manche ster House.

A ce que l'on sait, ce po ste constituait la frontière du territoire déjà reconnu à l'é poque par les Européens.

C 'es t probablement en 1787 que Thompson reçut l'ordre , avec six autre s hommes, de partir de Manchester House vers le sud en vue d'élargir les po ssibilités offertes au commerce des fourrures.

Le s Indien s Pieds-Noirs et Piégan s établis dans les plaines avaient proposé des peaux de loup aux trappeurs.

La Société de la baie d' Hud son espé­ rait obtenir d'eux qu' ils réuni ssent également des peaux de castors et d'autre s fourrures plus pré­ cieuses encore.

La troupe de Thompson atteignit un camp des Piégans dans la Grande Plaine, pro­ bablement dans les environs de l'actuelle Calgary.

C i-dess u s: Un poste avancé de la Société de la baie d' Hud so n dans l es Basses- Terr es de 1 'Ontario .

C'est un exe mpl e ty piqu e d'un poste comme rcial de l'arri èr e­ pays, doté de fortifications visa nt à assurer la protection des per­ so nn es vivan t à l'écart des forte ­ re sses plus impo rtant es de la So­ ciét é.

La plupart de ces hommes s'en retournèrent à Manchester House.

Quant à Thompson, il passa l ' hiver chez les Indiens .

Son séjour allait lui permettre de bien connaître leur mode de vie et leur culture, et cette connais­ sance l'a iderait plus tard à gagner l'amitié d'au­ tres tribus.

En 1788-1789, Thompson séjourne sur les bords de la Saskatchewan pour le commerce des fourru­ re s.

Durant l'hiver de 1789 à 1790, il se trouve à Cumberland House, sur le lac de Pine Island, au nord-ouest du lac Winnipeg, où il apprend l' art de faire et de noter des observations sous la direction de Philip Turner.

Durant l'hiver, il se livre à une série d'observations astronomiques, qui lui per­ mettent de déterminer précisément la situation de Cumberland House.

Il commence aussi un jour­ nal météorologique , dans lequel il note divers aspects du climat.

Ces études sont le début d'une série ininterrompue d'observations scrupuleuses auxquelle s, toute sa vie, il apportera la même mi­ nutie .

Lorsqu'il reçoit l'ordre, en 1790, de rentrer à York Factory, il profite de l'occasion pour car-. »

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