ARRABAL DE SAN GINÉS
Publié le 16/09/2014
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ARRABAL DE. SAN GINÉS
Arrabal de San Cinés, torrente de estiércol, de bardot] de criaturas y pringues. De aqui descendian sobre el p las aguas reciales de las lluyias, los estampidos de polyol simiente de la viruela y del carbone°, las catervas agitai de 1-lhoneros y esquiladorcs, las ristras de oracioneros y digos, los laceraclos pot- barreno, los canijos de trabaja arcabOn, los caleras de ojos de sangre, figuras de retables d pôrticos y canceles de las iglesias, picardia de ferias y camii
En viendo a don Magin, se alzaban todos buscand( saludo ; abuelas con bayetas andrajosas, en chanclas zapatones cogidos en los vertederos ; mozas en refajo o savas tiesas, los pechos ce/lidos por paimelos de cotan estampados de granadas, de pomas, de uvas, las crenc tirantes en una linea de vihuela y el mollo retrenzado y cog en la nuca con una flot. Venian con sus mundillos de ha randas o con et capo de hilar, y otras cargadas de herman menudos y de hijos de vecinas. Los padres, los novios, maridos, sus hombres, todos enjutos, la faja garda entr, saliéndoles el ojal de los tijerones, el agujén alpargatero, h cachas de una lengua de buey, 1a petaca y la bolsica de la artes de sacar candela. Vestian calzones de lienzo escurrid, y camisonas rayadas y abiertas para que se les viese la cria del pecho, y blusa de percal, y en las espaldas les resalian las dos castras del suclor antiguo coma catin de la tela. Huesudos, de piel descalionada de pava, con una mueca agria y tosca de casta, los cabellos relucientes de mugres, los tufos ensortijandoles la sien o todo el craneo con un pafluelo de hierbas y encirna, et sombrero de grandes faldas dobladas.
Parôse don Magin gritandoles :
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COMENTARIO
1 ,: C6mo el primer apartado .aclara las aposiciones: H !arrente de estiér
col, de bardomeras, de cnaturas )' pringues 11 ?
2 c· Qué son (< las figura:;.
de rtlahlos de los pôrticos y canceles de las iglesias " ? 3 ,· Qué poYmenores caracteri::an a las mujeres y a los hombres.?
4 (.
J\io se puede adverlir el genio de unas y otros, por el vestido, la traza gencral, el ojicio que ejercen ?
5 c· Qué aspecta general presenta el pueblo ?
6 Compruebe que esta pdf{ina en su conjunlo abarca la vida entera de ·Ios vecinos del arrabal de San Ginés
EJERCICIO GRAMATICAL
::i.Ia vieille tante devenait plus vieille, et moi, dans cette grande douceur, je grandissais et dec·enais un ho1nmc.
Les premiers jours, la curiosité me rendit indiscret.
l)e longue date, les Bart s'étaient établis à Dunkerque pour ;e fa ire corsaires.
Cette grande \"Oix s'enflait toujours, se faisait profonde, incessante.
L'égalité et la liberté sont dcn:nucs aux Français aussi nécessaires qno l'air qu'il~ respirent.
L'autre était passé maître en fait de tromperie.
L'n repaire de quarante sauYagcs est dei·enu une ville opulente.
L'hôtesse devint rouge de dépit.
C'est pour toi que je suis deuen1t un voleur et un meurtrier.
:'.\lais le tapage devint tcllcn1ent fort en ce n1oment que Fabrice ne put lui répondre.
TEMA
Des êtres humains.
- L'on voit certains animaux farouches, des màles et des fernelles, répandus par la ca1npagne, noirs, livides et tout hrùlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils ren1ucnt avec une opiniâtreté invincible: ils ont c01nme une voix articulée, et, quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils 1nontrent une face humaine et en effet ils sont des ho1nmes.
Ils se retirent la nuit dans des tanières, oil ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils ('pargnent aux autres hon1n1es la peine de setner, de labourer et de recueillir pour vivre, et tnéritent ainsi de ne pas rnanquer de cc pain qu'ils ont semé.
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LA BRUYÈRE Les Caractères.
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