CASA DE DON DANIEL EGEA
Publié le 16/09/2014
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CASA DE DON DANIEL EGEA
Dos pilares con cadena cerraban el transita del camino propio, un camino :Ultimo de ornas que iba dejando una vereda en rada bancal. A lo Ultimo se abria una, plaza agricola con ciprcses de santuario, rinconadas foscas de mirtos, de lefia y de malvas ; alli esta.ban los aljibes, los abrevaderos resplandecientes de cal azulada entre un frescor de vides y calabaceras ; las rubias b6vedas de los fenecla,les (Il, y el casalicio de cantones tostados y rotos, de porches, accesorias, pasadizos y cercas de los establos, almazaras y hodegas, silos de almendra v de naranja, secaderos de higos y de foras (2), estufas de gusanos de seda. viviendas de labradores, el homo, la troje y los lagares. El casai de las duelios quedé) enclaustrado por los edificios de labor. Ouedaban libres la solana de arcos linos coronados de cuelgas de maiz, un balaie de balaustre erninente con bolas de cobre y dos grandes rejas labradas como verjas de altar, con povos de losas en los muros. Casi no se pasaba a ningim aposento Birr gradilla o peldano. Habia muchas escaleras privadas por las que nadie subia ni bajaba ; y todavia Don Daniel quiso otra desde su escritorio a un ropero de arcanes, donde se guardaban los rodillos de lienzo moreno, hilado por las mozas de sus ahuelas, noventa y seis varas de daniasco de la granada, zafras, arias, moldes de cuajar confitura, libros viejos y el casaquin de brigadier de los ejércitos carlistas de un hermano del padre, muy valida de Don Carlos Maria Isidro.
Paulina, la {mica hija de Don Daniel, y jirnena, la brava mayordoma, rechazaron el latent() de otra escalera de seryicio que tampoco serviria para nada. Les bastaha el entresuelo, y aun era tan grande que les llegaban tifagas de miedo de arriba, de las salas altas cerradas, de los desnudos dormitorios en cuyos lechos de dosel agonizaron los caballeros enlutados, las damas de sonos de albayalde, los nitios descoloriclos que miraban las soledades desde los Ovalos grietosos, desde los mar-files de las miniaturas.,. arriba estaba el miedo de la sensaciôn del propio suspirar, y cl miedo pavoroso al miedo.

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2 r! ).To expresan ta111hién otros por1nenores.
el carâcfer sriinril de !a
casa ?
3 r:· Qué arnbiente trasciende de la visita al ropero de arcnne.-> )
4 c· Qué fueron los ejércitos carlistas ?
5 r:· C6mo penetrando hasta las "salas alfas " rerradas, se va remon tando el tiempo pretérito ? r:" ;'lo puede usled notar en esta descripci6n, que el novelista quiso, desde el (< camino int11no n, lle11urnos hasta lo nids rec6ndtto de lu morada, donde unida "el 1niedo de la sensaciôn del propio su.c.pirar n ?
EJERCICIO GRAMATICAL
Tant que chantait l'oiseau saoul de sa propre voix, elle avançait, s'arrêtait quand il s'arrêtait, grimpant sans bruit, redevenant immobile.
Tant que la maison n'était pas fermée, que les lu1nières n'étaient pas éteintes, l\.Iiraut attendait, espérant encore que son maître l'appellerait et le reprendrait.
Pendant que je cherchais à reconnaître de quel côté se trouvait la ferme, les n1outons contournèrent le bois et ils se trouvèrent bientôt sur un chemin bordé de haies.
Le clerc sèche avec
un buvard l'encre fraîche, tandis que le client
pose avec respoct le porte-plume et s'éponge le front.
Et lundis qu'il secouait la vitre, le visage collé au carreau, il aper çut, grâce à un coude du chemin, une forme qui courait.
Pendant ce tetnps-là, les pierres ne ton1bant plus, les truands aYaicnt cessé de regarder en l'air.
Nous resterons ici, l'Hébn·u et 1noi, en attendant que la pierre vienne.
TEMA
Combourg.
--- En sortant de l'obscurité du bois, nous fran chîmes une avant-cour plantée de noyers, attenante au jardin et à la maison du régisseur ; de là nous débouchâ1nes par une porte bâtie clans une cour de gazon, appelée la cour
ertc.
A droite étaient de longues écuries et un bouquet de marronniers; à gauche, un autre bouquet de marronniers.
Au fond de la.
cour, dont le terrain s'élevait insensiblement, le château se tnontrait entre les deux groupes d'arbres.
Sa triste et sévère fa.ça.de présentait une courtine portant une galerie à mâchi coulis, denticulée et couverte.
Cette courtine liait ensemble deux tours inégales en âge, en matériaux, en hauteur et en grosseur, lesquelles tours se terminaient par des créneaux surmontés d'un toit pointu, comme un bonnet posé sur une couronne gothique.
CHATEAU fi RIA:-J D }vf énioires d' outre-to1nbe
- 71 -.
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