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LA GENERACIÔN DE 1810

Publié le 16/09/2014

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LA GENERACIÔN DE 1810

 

La generaci6n de 1810 fundô la nacionalidad argentina, desvinculada juridieamente del imperio espanol por la caida de la dinastia horbdnica, pero reciamente combatida pur los poderes coloniales y inetropolitanos, luchando en desmedida arena, con sus letrados convertidos en caudillos, en héroes sus grandes capitanes y sus pueblos en éjercitos, por la tierra y en las aguas, aqui y alla de las cordilleras, un afio y otro afio, sin reposo ni desmayo ; porque dos gloriosas virtudes civicas la alentaban ; fe indeclinable en sus designios, abnegacién patriôtica que rivalizaba con la au tera abnegacién de los varones clasicos.

« COMENTARIO 1 c· A qué acontecimiento histOriro alude ((la caida de la dinastia borbônica )) ? c· Qué ideal sublei_•U a los argrnti110s )' cÔnl() lograron vencer ? 2 c· Por qué, dirigiéndose a los alumnos, Estrada les recuerda "aquellos aflos de maravillosa fecundidad >1 ? 3 r' De qué dotes gozaba aquel 1c varUn de epopeya 11 en el conibate ? ~· Qué lecciôn civica dia a sus contcmpordneos y sucesores ? 4 A nalizando los porrnenores de la elucuencia, compruebe que aquel discurso constituye una enseiian,:a para los que mai'iana serdn ciu­ dadanos de la naci6n argentina.

EJERCICIO GRAMATICAL Après 1noi le déluge.

C'est en toi que tu trou\·cra" la force nécessaire.

Près de vous, co chien paraît tout à fait rassuré.

Charmant, jeune, trainant tous les cœurs après lui.

11 vint vers nous, l'air décidé, nous cntrett:nir d'une décision qu'il avait prise.

Sans nous, vous ne pouvez rien ; avt~c nous vous pouvez tout.

Tout contre moi venait se blottir cet enfant attristé.

Sauf toi, tous les autres ont décidé de descendre.

D'après lui, les récoltes ne seront pas bonnes cette année.

Tl n'y a plus de secret t>ntrc toi et 'moi.

TEMA Le Congrès de Panama.

---:- En juillet, les huit plénipoten~ tiaircs, représentant quatre Etats sur huit, signèrent un pacte de défense mutuelle, qui interdisait la guerre avant que l'Union cùt fait acte d'arbitrage, qui abolissait l'esclavage et qui acceptait une arn1(~e et une n1arine interan1éricaincs.

Le Congrès alors s'ajourna ...

I>ans son palais vice-royal de Lilna, Bollvar contemplait l'Arnérique et con1parait la réalité avec c;on projet.

Partout des guerres intestines.

Il lui apparaissait qu'en gern1e, tout au moins, les années de guerre avaient été an1éricaines ; un San Martin argentin avait én1ancipé Chili et Pérou ; un Bolivar de Caracas avait fait de Bogota la capitale d'une vaste nation; Sucre, \Ténézuélien, présidait dans le Haut-l>érou ...

Là se distinguait une aube américaine.

Niais .Panama présageait une éclipse.

- 2II - \Valdo "FRANK Boli1'ar et ses Peuples. »

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