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Recension d’un livre linguistique Alice au pays du langage pour comprendre la linguistique

Publié le 25/12/2022

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« Recension d!un livre linguistique Alice au pays du langage pour comprendre la linguistique C’est surprenant de trouve que beaucoup de personnes croient que la linguistique est très ennuyeuse et difficile à comprendre.

Donc nous ne pouvons pas nous empêcher de nous demander pourquoi la linguistique est difficile.

Comment faire devenir la linguistique une discipline plus facile à comprendre ? C’est exactement à cause de ces questions que Marina Yaguello a fait ses études en essayant de montrer que la linguistique peut être passionnante, amusante, et tout à faire accessible, dans son livre de Alice au pays du langage pour comprendre la linguistique en 1981.

Marina Yaguello est professeur émérite à l’université Paris VII, elle a écrit plusieurs livres sociolinguistiques en particulier concernant le rapport des femmes au langage et la féminisation du langage.

Les Mots et les Femmes et Alice au pays du langage sont les livres les plus célèbres.

En appuyant sur les analyses des exemples dans le livre l’un des contes de fées les plus connus dans le monde, Les Aventures d'Alice au pays des merveilles, des autres exemples tirés des romans et des poèmes, l’écrivaine explique plusieurs concepts clés tels que les six fonctions du langage, la double articulation de la langue, la redondance, les frontières dans une phrase, l’axe horizontal, l’axe de la combinaison, la lexicologie, etc.

(car pour maintenant je ne lis que les cinq premiers chapitres).

En fait, ce livre peut servir d’un guide aux publics qui n’a aucune connaissance de la linguistique ni de son jargon.

Avant de donner les critiques personnelles, abordons-nous les idées principales et secondaires des cinq premiers chapitres. À partir de l’introduction, l’autrice donne la relation entre Alice (héroïne de conte de fées) et la linguistique.

Tout d’abord, Marina dit que c’est l’histoire d’Alice qui lui donne la chance à rencontrer le langage.

Pendant beaucoup d’années d’enseignement de linguistique, Marina n’a jamais cessé de puiser des exemples à l’histoire d’Alice, d’en faire la source (Yaguello, 1981).

Donc nous commençons à un voyage dans le pays linguistique avec Alice.

Ensuite, Marina a expliqué que la linguistique ne ressemble pas à d’autres sciences, parce que nous analysons la langue en usant du langage lui-même.

Il n’est nul besoin d’être linguiste pour faire de la linguistique, car le langage est à tout le monde (Yaguello, 1981).

Pour analyser un langage, le sujet parlant est surtout incontournable, même que le sujet parlant, le locuteur doit être au centre de toute l’analyse.

C’est-àdire quand nous parlons, nous sommes même linguistes pour analyser notre phénomène langage.

Par exemple, lors de l’enfance, nous jouions des jeux de mots avec nos parents ; les poètes jouent avec les mots pour composer un beau poème.

Les membres d’Oulipo tous sont linguistes, ils font des expérimentations avec la langue.

Et Marina a dit que “ il n’existe pas de théorie ou de description qui ne rendent compte de l’ensemble du phénomène langage, ni même d’une langue particulière, ni même d’une partie d’une langue (Yaguello, 1981).

Il n’est pas possible de couvrir tous les domaines de la linguistique, mais à travers de ce livre, nous pouvons comprendre essentiellement ce qu’est la linguistique.

Selon l’autrice, tout le monde fait de la linguistique.

En plus, malgré ses apparences rébarbatives, la linguistique peut être intéressante à l’aide des exemples vifs.

C’est la raison pour laquelle l’autrice insiste pour nous présenter le charme de la linguistique. Après avoir introduit le contexte du livre, à partir du premier chapitre, l’autrice commence à présenter les fonctions du langage.

Avant tout, pour étudier la structure du langage, il nous faut envisager sa fonction.

Quand nous parlons de sa fonction, peut-être nous pouvons dire que “le langage sert à communiquer.

Mais pour communiquer, il n’est pas seulement de transmettre des informations, la parole a de nombreuses fonctions à part la communication.

n.

Souvent, on parle pour ne rien dire, ou dit le contraire de ce qu’on veut réellement dire, la parole peut être aussi une action vraiment puissante (Yaguello, 1981).

L’autrice a donc introduit les six fonctions essentielles du langage (selon Jakobson). Marina a cité Le Capitaine Haddock comme un exemple pour expliquer la fonction expressive.

Le Capitaine Haddock aime dit “ Mille milliards de mille sabords ! ”, cela nous montre que le changement de l’intonation joue un rôle important pendant la communication et l’utilisation de l’interjection peut exprimer les émotions du locuteur. Après, l’autrice a donné une intrigue d’Alice —— la scène du procès des cartes à jouer qui clôt Alice au pays des merveilles.

Dans la scène, la parole équivaut à une action.

Souvent, nous utilisons des verbes performatifs qui puisent leur sens dans l’action exercée par le locuteur sur l’interlocuteur (Yaguello, 1981).

Cette fonction du langage se montre dans les impératifs, les apostrophes, qui peut affecter le cours des événements ou le comportement des individus. Troisième, c’est la fonction référentielle qui correspond au référent.

Nous imaginons que nous sommes dans un zoo, pour protéger les touristes, nous pouvons voir souvent “ les éléphants ont la priorité” pour dire que “route barrée”.

”.

Donc nous pouvons voir que le langage humain n’est jamais complètement neutre.

Quoi qu’on dise, on dit toujours plus que ce qu’on voulait dire (Yaguello, 1981). La quatrième fonction est la fonction phatique.

Le langage surement a la fonction de socialisation pour maintenir le contact entre les locuteurs, mais Alice est arrivée dans un monde où les personnes montrent des mépris pour les règles de la communication phatique. Le titre de cinquième fonction est “ Le mot ‘chien’ n’aboie pas”, donc cela signifie la fonction métalinguistique qui correspond au code.

C’est le langage qui sert à discuter ou décrire lui-même.

La fonction métalinguistique est propre au langage.

Les explications du mot dans le dictionnaire sont des exemples classiques pour cette fonction du langage. La dernière fonction est la fonction poétique qui correspond au message.

La formulation et le ton du message lui-même, la combinaison de divers éléments linguistiques confèrent au message sa capacité à être esthétiquement plaisant.

Cette fonction est parfaitement illustrée par la poésie. Dans le deuxième chapitre, l’autrice a cité la tour de Babel pour parler de la diversité linguistique.

On sait qu’il y a une double articulation en unité de sens (mots ou morphèmes) et en unité phonique (voyelles et consonnes).

Le son entretient avec le sens une relation qui est dite arbitraire, donc c’est l’arbitraire qui est responsable de la diversité linguistique.

Toutes les créations, les déplacements de sens, les figures de style doivent respecter le son, la grammaire et le sens.

Enfin, le message a deux traits : le message linguistique est différent de celui qui est musical, il est linéaire ; les unités linguistiques sont discrètes et isolables les unes des autres.

Ces connaissances dans ce chapitre font la base pour comprendre le chapitre suivant : “ Les éléphants roses”. Dans le troisième chapitre, Marina a présenté tout d’abord un jeu « zygomar ».

C’est un jeu entre deux personnes.

Chaque joueur choisit un mot de même nombre et essaie de trouver le mot d’adversaire.

Chacun propose à tour de rôle un mot de cinq lettres, et l’adversaire précise combien de lettres coïncident.

Si nous pouvons trouver la première lettre, il sera plus facile à trouver ce mot.

Ce jeu nous montre une théorie de l’information “ redondance”.

C’est-à-dire, le degré de redondance est élevé, cette unité apporte moins d’information.

Dans notre vie quotidienne, l’abréviation est le meilleur exemple de la redondance.

Nous pouvons tirer “bcp” ,“apt”,“séj”,etc.

comme exemple.

Dans ces exemples, nous pouvons voir qu’en langue écrite, les gens suppriment souvent les voyelles qui sont à la fin des mots.

Mais pour les exemples comme “prof”,”tu veux du caf’?”, pour prononcer facilement, au lieu de supprimer les voyelles, les gens suppriment la fin des mots, souvent des suffixes.

L’élément redondant peut arriver à tous les langes, mais il est très évident dans le français, comme “la petite fille”.

Dans cette phrase, nous avons indiqué trois fois le féminin.

Donc pour les comparaisons littéraires, nous pouvons voir plus de redondances : “ Blanc comme neige”.

Au contraire, les poèmes sont le cas qui rompt la redondance, car.... »

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