Acte III scène 4: LA SCÈNE DES PORTRAITS

« LA SCÈNE DES PORTRAITS Célimène commence par critiquer Cléonte: elle le qualifie d’extravagant.

Acaste enchaîne sur Damon, un raisonneur. Célimène dit alors que cette personne est un beau-parleur et qui ne parle que pour rien dire te se rendre intéressant. Timante enchaîne sur Aimante.

Célimène raconte que Timante est un homme mystérieux qui ne parle qu’en chuchotant.

Acaste enchaîne sur Géralde qui est tutoie toutes les personnes de la cour. Ensuite Célimène dit de Bélise à l’art de plaire.

Puis elle dit d’Adrastre qu’il est narcissique. Damis est un ami de Célimène mais elle le critique fortement de manière audieuse. NOTES: Vers 558-566 : On a les deux marquis qui arrivent.

Les deux marquis sont mondains et hautains.

Ils vont à la cour.

Ils sont persifleurs (ils parlent derrière le dos des gens) de façon mesquine. Alceste reste car il est amoureux de Célimène.

Alceste avait annoncé son départ mais il est toujours là mais finalement Alceste (à partir du vers 562) se rend compte de l’objectif de la pièce : Célimène doit faire un choix entre Alceste et la société. Vers 567-650 : Les deux marquis lancent les portraits en se plaignant de Cléonte et Damon.

Eliante voit d’un bon œil la conversation des portaits et pense que c’est une conversation plaisante.

Il y a un parallélisme de construction car un des marquis donne un nom, Célimène enchaîne sur un portrait négatif.

Géralde cherche à se faire valoriser.

Bélise a un pauvre esprit de femme. Elle n’a aucune conservation et ne peut pas parler autre chose que de la météo avec elle.

Adraste est orgueilleux, narcissique et est très insatisfait car on ne le reconnaît pas à sa juste valeur.

Cléon a un excellent cuisinier mais il est parfaitement stupide. Dans la galerie de portraits, on voit fortement critiqué les personnages de la cour.

Ils ont ridicule d’une manière commune. Le portait de Damis est différent.

Philinte en dit du bien et le pense honnête.

On comprend que Philinte est capable de dire du bien des gens.

Célimène s’apprête à en dire du bien mais elle le critique et cherche ses mots car c’est son ami.

Les reproches qu’elle fait à Damis sont très proche de ce qu’elle fait à Alceste. Acaste et Clitandre font un dernier compliment à Célimène.

Les deux marquis font preuve d’une certaine ironie : elle a du talent pour décrire les gens mais elle le fait négativement. Vers 651-698: On voit Alceste qui reproche aux autres personnages d’être exactement ce qui déteste des hypocrites.

Il dénonce l’hypocrisie des portraits que les personnages font. Clitandre souligne que ce n’est pas eux et qu’ils ne font que rire et que c’est Célimène qui fait ces portraits.

Alceste n’ose.... »