Analyse Chant d'amour de Lamartine (copie corrigée)
Publié le 22/05/2023
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«
Madame Sotin
note : 11/20
Références du devoir :
Matière : Français
Code de la matière : FR16
N° du devoir : 2
Mes coordonnés :
Indicatif : 3122003533
Nom : Gognalons—Rinaudo
Prénom : Anna
Ville de résidence : Marseille
Evitez cette formule assez maladroite.
Pensez à soigner votre amorce.
Par exemple commencez par la présentation de l’auteur : cela rend
l’amorce plus vivante.
Dans ce commentaire, nous allons étudier un poème intitulé « chant d’amour VI » extrait du
recueil «Nouvelle méditation » écrit par Alphonse de Lamartine, paru en 1823.
Lamartine est à la
fois un dramaturge, un romancier et un poète français, mais également un personnage politique du
Il
XIXe siècle.
Celui-ci marque l’histoire française par sa plume, mais aussi par son engagement.
Révolutionnaire et Républicain, Lamartine représente une figure emblématique du mouvement
littéraire du romantisme.
Son poème « chant d’amour VI » fait partie de la 24ème méditation du
recueil.
Il est composé de 5 strophes composées chacune de 6 sizains.
Écrit un an après la naissance
de sa fille, il coule alors le parfait amour avec sa nouvelle épouse Mary Ann Birch.
Ce poème est Bien
donc un véritable éloge à l’amour où Lamartine déclare ses sentiments et sa fidélité à sa femme Excellente
aimée.
Ainsi, nous pourrions nous interroger sur la façon dont ce poème transmet l’amour profond problématiqu
qui contient
du poète pour la femme aimée tout en proposant une réflexion profonde sur le temps qui passe.
Pour
y répondre, nous étudierons dans un premier axe un poème centré sur le temps qui passe.
Dans un bien une
tension
second axe, nous verrons que ce poème est un véritable hymne à l’amour dans lequel le poète
affirme sa fidélité à la femme aimée.
Enfin, dans un troisième axe, nous nous interrogerons sur la
vision du poète.
A élucider.
Dans cette première partie, nous allons voir que dans ce poème, « le temps qui passe » est
omniprésent.
D’abord, nous pouvons voir d’une manière générale que le poème est marqué par la
présence d’un champ lexical du temps : « temps » (vers 1), « passée » ( vers 2), « rapide » ( vers 5),
« jours écoulés » ( vers 8), « souvenirs » ( vers 10 et 14), « siècles » ( vers 13).
On peut voir
notamment que ce temps est très vaste puisqu’il a une durée infinie comme le suggère la gradation
avec les termes « jours » et « siècles » ce qui montre aussi que le temps est désigné par différentes
unités.
On peut aussi relever que ce temps se manifeste par l’emploi notamment du futur : «
fanera » ( vers 2), « flétrira » ( vers 4), « pleureront » ( vers 9) ; le présent : « veille » (vers 14), «
embrasse » ( vers 23) ; l’impératif : « regarde » (vers 12).
Enfin, ce passage du temps est visible par
Beaucoup de citations pour illustrer votre idée directrice, des analyses des procédés d’écriture
employés mais pas d’interprétations qui en découlent.
les références aux saisons notamment l’hiver, par l’emploi de l’adjectif « glacé » (vers 1) ; le
printemps par le terme « fleurit » ( vers 13) ; l’été par le terme « flambeau » (vers 21) et «
l’automne » (vers 26).
De plus, rappelons que la composition même du poème, à savoir 5 strophes
composées chacune de 6 sizains avec la présence des alexandrins contraste avec la brièveté des
hexasyllabes mettant ainsi en relief le paradoxe du temps.
Ce temps justement, nous pouvons voir à
travers ce poème qu’il est mis en relief.
Il faut développer cette interprétation.
Ne sautez pas de lignes entre les sous-parties.
En effet, nous remarquons un mélange de rythme rapide et lent, imitant l’écoulement du temps.
Le
terme « ces rapides baisers » (vers 5) oppose la durée du temps avec la brièveté des moments
rapides comme le montre en outre les enjambements différents : ( vers 2-3/ 5-6 / 11-12).
cela pourrait être fort intéressant mais pour cela vous devez citer le texte, et démontrer la justesse de votre interprétation.
Ceci nous amène à l’idée que nous avons là un temps qui est important pour l’auteur.
Celui-ci lui
Malheureusedonne en effet de l’importance puisqu’il va jusqu’à le personnifier comme on peut le voir
ment vous
notamment au vers 1 : « le temps jaloux » : Lamartine lui attribue ainsi des caractéristiques
dites
humaines comme la jalousie pour mettre notamment l’accent sur le pouvoir qu’exerce la femme surl’inverse de
lui.
C’est surtout un pouvoir sur un temps long comme le montre l’usage du futur avec les verbes «ce que dit le
fanera » (vers 2) et « flétrira » (vers 4) soit des verbes qui exercent une action sur un temps long.
poème
Ainsi, nous venons de voir que ce poème évoque de façon omniprésente le temps qui passe.
Toutefois, ce poème se veut aussi comme un véritable hymne à l’amour dans lequel le poète déclare
son amour et sa fidélité.
Nous allons le voir.
Il faut rédiger une transition selon la méthode attendue.
Vous
allez un
peu vite
dans
l’analyse
Dans cette seconde partie, nous allons voir que ce poème se présente comme un véritable hymne
à l’amour dans lequel le poète affirme sa fidélité à la femme aimée.
D’abord, on remarque que le
poète fait ici une description physique de cette femme.
On relève à ce titre plusieurs adjectifs
mélioratifs tel que « charmantes » (vers 4) et « ravissante » (vers 11), adjectifs qui de fait souligne
la beauté de cette dernière.
D’ailleurs, l’expression « regarde dans mon cœur » (vers 12) fait d’elle
un être parfait et ainsi pour le poète, ce dernier lui est voué entièrement.
Nous voyons de même que
cette femme est pleine de charme comme le montre l’emploi du pluriel de ce même terme au vers 8.
En cela, la femme apparaît comme séduisante.
Aussi, sa beauté est mise en valeur par l’usage d’une
hyperbole au vers 13 « là ta beauté fleurit pour des siècles » ce qui montre ici que cette femme a
une beauté infinie.
Enfin, la comparaison au vers 16 « comme une lampe d’or » illustre son éclat et
sa merveillosité.
incorrection
Parallèlement à cette description, on remarque que le poète déclare son amour à celle qu’il aime.
Celui-ci est visible à travers les vers 14 et 15 dans lequel il lui affirme sa fidélité.
« Là ton doux
souvenir veille à jamais à l’ombre/ de ma fidélité ».
De plus, l’expression « sans nombre » marque
son attachement et son dévouement à celle-ci ; son amour est sans limites avec unne durée
indéterminée.
Cet amour atteint son apogée au vers 16 puisqu’il va jusqu’à comparer cet amour à «
une vierge sainte » : le poète mets alors sur la même égalité son amour pour cette femme et sa foi
L’ensemble est assez bien vu, mais il faut être plus précis dans l’analyse
envers la religion.
« amour = lampe d’or dont une vierge sainte… »
Ainsi, nous venons de voir que le poète fait ici un véritable hymne à l’amour envers la femme
aimée.
Il convient de voir cependant dans un troisième temps la vision du poète.
Vous n’avez pas assez développé cette partie.
Il faut précisez ce que vous entendez par là.
Dans cette troisième partie, nous allons étudier la vision du poète.
D’abord, nous pouvons voir
qu’au sein de ce....
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