Analyse des poèmes saturniens

« Poèmes Saturniens I- Biographie de Verlaine : Paul Verlaine est un écrivain et poète français né à Metz le 30 mars 18444 et mort à Paris le 8 janvier 1 896.

Il grandit dans une famille aimante, d'abord à Metz puis à Paris, et il commence à écrire des poésies dès l'adolescence.

Il part étudier dans un pensionnat, où il obtient son baccalauréat à l'âge de 18 ans.

Après des études de droit, il travaille un temps au sein d'une compagnie d'assurances, puis entre à la mairie de Paris.

À l'âge de 22 ans paraît son premier recueil de poésies, intitulé Poèmes saturniens.

Il a eu des relations amoureuses très conflictuelles avec de nombreux artistes comme Rimbaud, Charles Cros, Tristan Corbière ou Stéphane Mallarmé.

Il n’obtient de succès qu’à la fin de sa vie. Autres œuvres ?? II- Thèmes Dans ce recueil de poèmes, plusieurs thèmes sont abordés.

On retrouve notamment la mélancolie, proche de la nostalgie douce et lancinante.

Cet ouvrage nous montre un Verlaine étranger à lui-même et hanté par le passé et les remords.

Au fil des poèmes, on découvre les déceptions du plaisir, l’échec de l’amour, l’ennui existentiel.

Par exemple, dans « Après trois ans », Verlaine nous parle avec nostalgie d’un lieu qu’il a quitté.

Mais Verlaine nous dépeint aussi la mélancolie comme un paysage dans « Soleils couchants » et « Promenade sentimentale ».

Il crée aussi des saisons mélancoliques avec « Chanson d’automne », qui nous décrit l’automne comme la saison typiquement mélancolique. Dans ce recueil, un autre principal thème est l’amour.

On retrouve de nombreux poèmes amoureux, mais d’amour malheureux.

L’amour fait souffrir ce poète.

Du moins, dans les poèmes saturniens, il ne parle que de l’amour triste, impossible et malheureux.

L’amour et la femme sont idéalisés, comme dans « Mon rêve familier », où l’auteur nous parle de la femme parfaite qui elle seule le comprend, qui est presque immatérielle, puisqu’elle change d’aspect. Pour Verlaine, seule cette femme le comprend et l’aime, c’est pourquoi elle n’est qu’un rêve. Dans « A une femme », on voit que l’amour fait souffrir le poète, et cette douleur contraste avec la pureté et la beauté de celle qui provoque la douleur.

On trouve cependant quelques poèmes où le poète paraît pus heureux, comme dans « il bacio » nous parle du bonheur d’embrasser la bouche aimée. J’ai aussi trouvé qu’une sensation de musicalité était assez présente dans les poèmes saturniens.

Les poèmes évoquent des mélodies lentes et langoureuses.... »