Devoir de Philosophie

Analyse linéaire des vrilles de la vignes de Colette p150-151

Publié le 08/12/2022

Extrait du document

« Analyse de texte - Les Vrilles de la Vigne p150-1 A travers cette extrait, comment se montre le contraste entre la nostalgie du passé et le bonheur du présent ? Le jardin, lieu du rêve de l’enfance de Colette Le retour au présent fl L’autrice entame une énumération de la beauté contenu dans ce merveilleux pays: « une vallée étroite », « un l de brouillard ».

Le mot « encore est répété a plusieurs reprise ce qui suggère la richesse et l abondance de ce pays. Colette insiste sur le fait que c est son pays er qu elle le connais : « mon pays », «que je connais ».

La vallée est compare au berceau de l’enfance de Colette c est a dire le jardin de sa maison natale. Le brouillard évoque dans ce passage fait l’objet d’une personni cation: « couché » « brouillard vivant », « spectre ».

Cette personni cation donne au brouillard un aspect de fantôme.

Par la suite il subit des métamorphose « nuage, femme endormi, serpent langoureux, cheval a cou de chimère ». A trois reprises l’actrice utilise des points de suspension ce qui donne au passage un aspect rêveur. Par la suite, ce passage contient une mise en garde: «si tu restes trop tard penché vers lui sur l’étroite vallée, à boire l’air glacé » conduisant le lecteur aux hallucinations.

La magie de ce passage est angoissante. fi Il y a encore, dans mon pays, une vallée étroite comme un berceau où, le soir, s’étire et otte un l de brouillard, un brouillard ténu, blanc, vivant, un gracieux spectre de brume couché sur l’air humide… animé d’un lent mouvement d’onde, il se fond en lui-même et se fait tour a tour nuage, femme endormie, serpent langoureux, cheval a cou de chimère… Si tu restes trop tard penché ` vers lui sur l’étroite vallée, à boire l’air glacé qui porte ce brouillard vivant comme une âme, un frisson te saisira, et toute la nuit t es songes seront fous… fi Le début du passage nous permet de comprendre que l’on ce trouve dans un rêve grâce a l emplois du conditionnel avec « si tu arrivais », « tu m oublierais », »tu t’assoirais ». L’autrice fait référence a son pays imaginaire qu’elle a construit au cours de son enfance « mon pays, au fond d’un jardin ». Petit a petit l’autrice nous donne l’impression de peindre devant nous son souvenir : « si tu regarde bien ». Colette décrit les couleurs aux teintes pales cela donne un e et de douceur a son souvenir. Dans cet extrait nous pouvons observer une immobilité contemplative qui doit durer pour toujours: « tu t’assoirais la, pour n’en bouger jusqu au terme de ta vie ! ». Cette phrase exclamative au rythme binaire prouve l’enchantement que ressens a travers ses souvenirs d’enfance. ff Et si tu arrivais, un jour d’été dans mon pays, au fond d’un jardin que je connais, un jardin noir de verdure et sans eurs, - si tu regardais bleuir, au lointain , une montagne ronde où les cailloux, les papillons et les chardons se teignent du même azur mauve et poussiéreux tu m’oublierais, et tu t’assoirais là pour n’en plus bouger jusqu’au terme de ta vie ! fi fl fi 1. 2. Dans ce passage, Colette passe de peintre a guide : « donne tes mains », « écoute », « tu miennes : si tu suivais, dans mon pays, un suivais ». L’utilisation de l’adverbe « encore » montre une envie de Colette de rester dans ce songe petit chemin que je connais, jaune bordé éveillé. Ce passage de rêve est signi catif d’un voyage de la mort au paradis.

Une second synesthésie de digitales d’un rose brûlant, tu croirais des sens apparait alors avec « rose brulant » gravir le sentier enchanté qui mène hors de pouvant exprimer l’intensité des couleurs. Les couleurs sont vives: « jaune », « rose » contrairement au passage précédent. la vie… Paysage paradisiaque malgré qu’il mène a la mort « tu croirais gravir le sentier enchanté qui Le chant bondissant des frelons fourrés de mène hors de la vie… » Dans le passage « le chant bondissant des frelons fourrés de velours.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles