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Analyse linéaire, les droit de la femmes d’olympes de gouges

Publié le 08/10/2023

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« Dans le texte « les droits de le femme » précédant ladéclaration desdroits des femmes et de la citoyenne ,Olympe de Gouges s’adresse aux hommes et elle interpelle directement son destinataire dès le premier mot de son texte « Homme » par une question rhétorique.

elle le tutoie, comme le montre l’emploi du pronom personnel sujet « tu » (l.1) ou encore le déterminant possessif « tes » (l.3), afin de mettre en avant non seulement un rapport familier mais aussi pour montrer que l’homme et la femme sont sur le même pied d’égalité.

Le tutoiement est aussi une manière plus directe de s’adresser à son destinataire.

Elle garde ce tutoiement tout au long du texte afin d’être égale à l’homme et parfois en position de supériorité De gouge fait appel à l’argument imparable de la justice: personne n’aurait envie de répondre « non, je ne suis pas capable d’être juste » le présentatif « c’est… qui » met en valeur le nom commun « femmes » qui éclaire le sens du premier mot du texte qui désignait bien l’ensemble des individus de sexe masculin et non l’humanité dasn son entièreté.

On peut donc le voir comme une antithèse qui renforcerait leur opposition défendu par le sexe masculin.

On comprends alors que « juste » dans la phrase précédente signifie « équitable ».: « tu ne lui ôteras pas du moins ce droit » cette phrase négative signifie par déduction que l’homme ne peut pas retirer à la femme le droit de s’exprimer librement. .

Dis-moi ? Qui t'a donné le souverain empire d'opprimer mon sexe ? Ta force ? Tes talents ? Des pronoms et déterminants de la première personne apparaissent « moi,mon », la locutrice s’inclut en se positionnant en tant que porte parole des femmes et s’oppose aussi à son destinataire.

Olympe accumule les questions rhétorique et simule un n’échange avec son destinataire pour le toucher et lui demander où est sa morale.

Elle remet en question le pouvoir de l’homme sur la femme et donc sa légitimité et se demande d’où lui vient ce droit de dominer la femme.

Elle interroge alors son destinataire pour connaître l’origine de ce droit : il lui vient de sa « force » ou de ses « talents » ? En faisant cela, elle sous- entend que ce n’est pas une raison suffisante pour régner sur les femmes. L’emploi de l’impératif avec « Observe », « parcours » et « donne-moi » est destiné à faire réfléchir les hommes et que ceux ci regarde autour d’eux pour se rendre compte qu’il n’existe pas dans la nature une telle domination’ tyrannie au sein de la même espèce. L’utilisation de la formule « si tu l’ose » met au défi l’homme de trouver un exemple de la domination masculine dans la nature sachant pertinemment que celui ne trouvera aucun exemple de domination dans la nature et qu’il n’y a que lui pour agir de cette sorte envers les femmes. Dans ce deuxième paragraphe composé de 8 propositions juxtaposées , olympe de gouge s’appuie sur l’argument majeur de la nature pour libérer ses idée.

On observe les champs lexical de la nature, la biologie grâce au mots : « animaux », « nature »,« les éléments»,« les végétaux » «la matière organisée ».Les propositions correspondent à une énumération, dans chacune d’elles, les verbes sont conjugués à l’impératif et appartiennent au champs lexicale de la recherche : « Remonte », « consulte », « étudie » « jette un coup d’œil », « cherche », « fouille », « distingue ».ces deux éléments, incite donc les hommes à adopter une démarche scientifique et à observer et à examiner scientifiquement l’œuvre divine qu’est la nature si celui ci veut légitimemer sa domination sur la femme.

Or, il ne le pourra pas car elle lui dit assez clairement : « rends-toi à l’évidence ».

La proposition conditionnelle « si tu peux » est un nouveau défi lancé par l’autrice, l’expression « quand je t’en offre les moyens » montre la supériorité d’olympe de gouge, elle.... »

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