Basilic et Colibri (Buffon)

« courage, audace.

Il y a donc une intervention de l'auteur c'est un ouvrage didactique. 2 L'intervention de l'auteur Dans un ouvrage de vulgarisation scientifique, Buffon se doit de combattre les idées reçues=> dénonciation de lalégende du Basilic : « fabuleuse, chimérique, conte » .

Le premier mot est très important: l'erreur il place ce mot ene position il écarte une fausse définition de l'animal: il deux apparences différentes. Une réputation.

Il utilise le vocabulaire du merveilleux, de l'irréel: fabuleux, conte ridicule pour montrer l'éloignementde la légende avec la science le nom « fameux » l6 et « animal chimérique « témoignent d'un monde étranger à lascience, l'obscurantisme.

Certains usurpateurs prétendent avoir un savoir, ce qui gêne Buffon c'est qu'ils profitentde l'ignorance du peuple.

Cette tromperie devrait pousser à changer le nom de l'animal, elle lui fait tort mais il secorrige l 9 et 10 en effet l'erreur est si ridicule qu'elle ne risque pas de porter atteinte à la science.

Il donne àl'animal un caractère exceptionnel mais scientifique. b) Le style de l'écrivain Par son style Buffon cherche à séduire le lecteurn dans les deux textes: mise en scène de l'animal dans son milieu.

Ilmet en scène la symbiose entre l'oiseau et la nature et les fleurs.

Il y a une recherche de l'effet.

Il utilise desmétaphores filées, des métaphores et des comparaisons.

Il corrèle les pierres précieuses et l'oiseu « bijou de lanature » c'est la conclusion de sa métaphore, il sous-entend que l'oiseau mouche est le chef-d'oeuvre de la nature,il valorise le tout petit.

Il continue avec « petit favori », Buffon devient poète.

Il y a également un certain lyrismedans les deux textes, bonheur du savant devant les merveilles de la nature.

Beauté de la nature et plaisir del'écrivain et joie du savant? Il se prend à son propre jeu.

Une intention pourtant démonstrative (volonté decombattre les idées reçues) finit en argumentation sur les beautés de la nature.. »