Devoir de Philosophie

Beckett, scène d'exposition Fin de partie

Publié le 10/09/2012

Extrait du document

beckett

La mort

 La construction de la scène, représente un crâne, les deux fenêtres- les yeux, les poubelles- les narines et la position centrale de Hamm – la bouche (je ne suis pas sure de comprendre cela…)  Le mot « punir « - « on ne peut plus me punir « dans le discours de Clov, montre la mort et la difficulté de la vie  « tu m'empestes l'air « nous rappelle quelque chose qui est entrain de pourrir hors du refuge et en même temps dans les personnages  Hamm est couvert par un drap ce qui évoque la mort. Le drap couvre d'habitude les corps morts.  Champ lexical de la misère « grisatre,souffrent,punir « ce qui crée une atmosphère morbide. La fin  Le titre de l'œuvre – Fin de partie symbolise la fin du jeu d'échecs, symbole de la mort.  La fin du jeu est quelque chose que l'on ne peut pas éviter on voit ici un parallèle avec la fin de partie de la vie dont le dernier pas que l'on ne peut pas éviter est la mort.  Clov dit même dans la première ligne de sa tirade « Fini, c'est fini, ça va finir, ça va peut-être finir « On a l'impression d'une fin imminente, qui est soit déjà arrivée ou qui va arriver dans un futur proche  La répétition des actions montre le temps gaspillé avant qu'on meurt  « L'impossible tas « dont parle Clov traite l'idée de la vie qui continue, le cercle de la vie  C' est pourquoi Clov n'arrête pas de changer sa définition initiale ( ???) de « c'est fini «  rien n'est fini jusqu'à la mort.

beckett

« Le titre de l'œuvre – Fin de partie symbolise la fin du jeu d'échecs, symbole de la mort.

La fin du jeu est quelque chose que l'on ne peut pas éviter on voit ici un parallèle avec la fin de partie de la vie dont le dernier pas que l'on ne peut pas éviter est lamort.

Clov dit même dans la première ligne de sa tirade « Fini, c'est fini, ça va finir, ça va peut-être finir » On a l'impression d'une fin imminente, qui est soit déjà arrivéeou qui va arriver dans un futur proche La répétition des actions montre le temps gaspillé avant qu'on meurt « L'impossible tas » dont parle Clov traite l'idée de la vie qui continue, le cercle de la vie C' est pourquoi Clov n'arrête pas de changer sa définition initiale ( ???) de « c'est fini » rien n'est fini jusqu'à la mort. Le vide - Vide de nourriture- Les paroles des personnages ont des pauses.

La présence excessive de la ponctuation ou de « un temps » qui apparait quatorze fois dans une minute de jeu.

Cecicrée un vide en plus des autres interruptions « bâillement »- Les personnages sont éloignés de l'un et de l'autre.

Ils se trouvent dans différent coin de la pièce ce qui crée un vide dans l'espace qui n'est pas occupé par lespersonnages.- Les personnages sont chacun dans leur pensée ce qui fait qu'ils se sentent seul « je suis seul »- Les personnages perdent leur sens « quels rêves- avec un s »- Les didascalies interrompent le discours des personnages impression de vide- Début qui piétine, rien n'avance.

Il n'y a pas de progression logique dans l'histoire.- Hamm réalise qu'il est vide « et plus on est vide » b) La parodie du théâtre classique Les personnages sont déjà sur scène.

On commence par la fin.

Il y a une impression que l'on assiste à un dénouement Il n'y a pas de dialogue qui peut servir comme résumer de l'histoire pour que le spectateur découvre l'histoire.

L'histoire des personnages est tragique mais le tragique ne vient pas des dieux mais est entrainé par les hommes.

Clov est prisonnier de Hamm « attendre qu'il mesiffle » Clov peut être compare a un chien qui vient quand son maitre l'appelle.

Le levé du rideau n'est pas pareil à une scène d'exposition classique.

Les rideaux sont représentés par les fenêtres, les draps et les mouchoirs.

Ceci fait un clin d'œilsur le théâtre classique la réécriture, la tragédie moderne.

La scène ne se déroule pas dans un palais, on perd le luxe du théâtre classique.

Le mélange des registres (tragique et comique) Destruction de l'illusion théâtrale par les personnages qui sont conscients qu'ils sont en train de jouer un rôle « a… moi de joueur » « je m'en vais dans ma cuisine»nous indique Hamm (metathéâtralité) Conclusion La scène d'exposition de Fin de partie par Beckett est une scène surprenante.

Les personnages sont différents mais ils ont besoin de l'un et de l'autre.

C'est une scèned'exposition qui nous fait voir en quoi Beckett ne croit plus à l'humanité.

Il croit a la fin de l'humanité souffrante.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles