Commentaire critique sur le Meilleur des Mondes par Aldous Huxley
Publié le 30/09/2011
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Outre cela, dans le meilleur des mondes, le bonheur se résume passer sa vie à accomplir les tâches qui sont confiées aux embryons dès leur apparition dans une éprouvette : « Et c’est là, qu’est le secret du bonheur et de la vertu, aimer ce qu’on est obligé de faire. Tel est le but de tout conditionnement : faire aimer aux gens la destination sociale à laquelle ils ne peuvent échapper«. Étant donné un conditionnement rigoureux aussitôt sa création enclenchée, l’humain qui sortira de l’éprouvette conditionnée ne saura jamais ce que c’est que d’avoir les goûts et les droits d’un humain d’une autre caste que la sienne. Il ne pourra, par conséquent, jamais être malheureux dans sa condition, même s’il s’agit de l’Epsilon le plus miséreux qui soit. Chacun se voit confier un rôle dans la société qui lui apparaît comme étant indispensable pour le bon fonctionnement de cette dernière. Les Hommes mettent alors tout leur cœur dans ce qu’ils entreprennent, afin d’honorer la devise de stabilité de la société.
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