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Commentaire de Lettres Persanes, lettre CLV

Publié le 28/04/2014

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Lettre CLV - Lettres Persanes (Commentaire) Lettre 155 du recueil des Lettres Persanes manifeste la tourmente passionnelle d'Usbek concernant son exil à l'Occident, et sa vie comme maître du sérail à l'Orient, en parlant dans une manière anxieuse et désespérée. Usbek écrit à son ami, Nessir, qui reste en Perse, sur son désir de retourner à sa patrie pour régler les problèmes du sérail ; Usbek a recours à écrire à Ispahan car il ne peut plus compter sur son compagnon Rica, à cause de leurs opinions opposées sur la vie étrangère donc il existe un dilemme : retourner ou pas ? Montesquieu crée efficacement une lamentation très vive dans cette lettre en utilisant les figures des styles appropriés pour rendre les lecteurs attentifs. Montesquieu a choisi d'écrire son roman dans une façon épistolaire qui est évident d'après le titre : «Lettre CLV,» qui implique immédiatement que les pensées et sentiments intimes des personnages ne seront pas interrompues par l'auteur, qui suggère que les événements à venir arriveront avec un immédiateté dramatique ; la forme épistolaire donne l'histoire une vraisemblance. Ceci dit, une lettre est normalement écrite à la première personne, comme c'est le cas dans cette lettre donné, en utilisant les pronoms comme «je» : «je vis dans un climat barbare ;» cela est la raison pour laquelle on peut voir la point de vue des protagonistes. Dans ce cas là, le protagoniste est Usbek, qui parle dans une manière d'un monologue intérieur, démontré par l'intensité et la nature hyperbolique de son langage : «Une tristesse sombre me saisit ; je tombe dans un accablement affreux.» Ce qui est im...

« malheureux encore ! » À l’égard de la citation suivante : « J’ai pressé mille fois Rica de quitter cette terre étrangère ; mais il s’oppose à toutes mes résolutions, » il est possible de dire que Montesquieu à créé deux personnages contraires et les a mis dans la même situation pour mieux démontrer leur caractères en forçant une comparaison.

Cela peut aussi expliquer un des thèmes principaux dans le roman: le thème du visiteur étrangère.

Les thèmes les plus évidents dans cette lettre en particulier sont l’exil et le désir de fuir à propos de le fond du texte.

La lettre en entier est une sorte de lamentation du dilemme d’Usbek de retourner à la Perse.

Il est très important de prendre bonne attention des thèmes parce qu’ils sont récurrents à travers l’histoire.

Usbek continue de se plaindre de sa situation désespérée en France et de monter son désir de quitter : « je souhaite de revoir ma patrie, » cette citation incarne le thème de fuir.

Le mot ‘exil’ est utilisé dans la lettre : « je ne puis plus, Nessir, rester dans cet affreux exil, » ce dernier incarne le thème important d’exil qui résonne dans le roman.

Ces thèmes sont le résultat de l’échec d’Usbek ; il ne peut pas trouver la vérité du sérail donc il ne peut plus exister comme un sujet autonome.

Cela provoque aussi l’existence du thème de despotisme.

Chacun peut constater qu’il existe un sens implicite que la raison pour laquelle Usbek écrit dans une façon hyperbolique et impuissante est parce qu’il a perdu son pouvoir de ses femmes de sérail : « ma main tremble d’ouvrir un lettre fatale ; cette inquiétude qui me désespérait… » Ce dernier montre un despotisme domestique d’Usbek, parce qu’il suggère le traitement péjoratif de ses épouses.

Donc il est perdu, il n’y a pas une place pour lui sur la terre ; cela fait lien avec les thèmes d’exil et de fuir.

Mais il est ironique qu’il peut-être trouver son identité : « je ne me retrouve moi même que lorsqu’une sombre jalousie vient s’allumer, et enfanter dans mon âme la crainte, les soupçons, la haine, et les regrets, »   mais ce n’est pas l’identité idéale.

Il est dévoré par sa jalousie de ses femmes : « lorsqu’une sombre jalousie’ et ‘ma jalousie trouvera à en faire.

» Usbek s’adresse aussi aux eunuques : « Rebut indigne de la nature humaine, esclaves vils dont le cœur a été fermé pour jamais à tous les sentiments de l’amour, vous ne gémirez plus sur votre condition, si vous connaissiez le malheur de la mienne.

» Cette citation implique que même les eunuques sont plus heureux que lui.

Il est complètement repris par sa. »

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