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Commentaire De Shakespeare la tempête Acte 2 Scène 1

Publié le 27/02/2011

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shakespeare

Au début il y avait une terre a) L'aménagement d'une toile => Gonzalo commence par une forme conditionnelle "si j'avais" L 141 qui établit une toile blanche devant le spectateur de l'île. => Il considère les objets à voir avec la nature "maïs" L 151 "nature" 160, mais aussi de la culture, décrivant à travers la société «hommes« «femmes«, la loi «contrat« de «magistrat«, militaire «le brochet, le couteau, arme à feu« => Il essaie hésitant à considérer tous les éléments qui doivent constituer une société, du travail et de l'agriculture, les considérations monétaires, la structure hiérarchique, la propriété de la défense et militaires. Il est intéressant il le fait sous la forme de listes. Comme s'il se remplit cette toile par petites touches un peu comme un pointilliste clairsemée pas généreux larges coups de brosse.

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« => La nature est donné grand honneur et semble puissant, par exemple lorsque Shakespeare parle de «quais» et«mauves» après «ortie-graines», le premier étant antidotes à ce dernier qui montre que la nature est capable à lafois la destruction et la reconstruction, il crée un cercle, symbole d'éternité et de la stabilité.

Il s'agit clairementd'une vision utopique de la société de retourner à ses racines. b) Le mythe du «bon sauvage» => En tant que tel dans cet idéal, l'homme est une partie de la nature et Shakespeare développe clairement danscet extrait le mythe du bon sauvage né de la découverte du nouveau monde.

C'est que l'homme naît innocent etpur, c'est la société qui le corrompt.

C'est tout à fait évident dans le discours de Gonzalo comme il refuse tout àvoir avec la culture et la société => Cela a été assez facilement perceptible pour les spectateurs de l'époque de Shakespeare car de nombreuxauteurs décrit cette société idéale.

Nommément Montaigne, dans son essai "des cannibales", de la parole Gonzaloest si proche de la traduction Florio de l'essai que l'on peut presque voir le doigt de Shakespeare sur la ligne commeil l'écrit ce discours.Ex: "aucune connaissance des lettres, pas d'intelligence des chiffres, aucun nom de magistrat», par rapport à"aucun nom de magistrat; / lettres ne devraient pas être connus; richesses, la pauvreté», => Ce qui est plus, Gonzalo devient plus poétique quand il parle de l'innocence de cette société, par exemple, «Etles femmes aussi, mais pur et innocent" est l'un des pentamètres alambiques seulement régulière de ce court extrait. c) un nouveau jardin d'Eden => Parce qu'il est la création de ce monde à partir de rien, le public aurait vu nuances de Dieu dans Gonzalo.

Et entant que telle cette création parfaite de son serait le jardin d'Eden, un nouvel idéal.> > = Plus un public qui connaît La Bible, peut prendre plusieurs références qui donnent une connotation religieuse àcette utopie.

l.

151, peut être comparé à 04:08 Psaume dans le Psautier du Livre des prières communes, «depuis letemps que leur maïs, et du vin, et du pétrole, a augmenté".Mais aussi une référence à un passage bien connu de la Genèse 3:19 "C'est à la sueur de ton front / vous mangezvos aliments / jusqu'à votre retour à la terre, / où tu as été pris; / car tu es poussière / et tu retourneras enpoussière.

". => La mention de «innocents» pourrait être une référence au péché originel qui a été éradiqué.

Il semble donc, quecette utopie est le retour au Jardin d'Eden, comme il est suggéré à travers une terre de qui est «tout foison, tousl'abondance", il est une terre de la perfection. III) L'utopie sous la tempête a) Un cynisme troublant interruptions constantes => Antonio et Sébastien déstabiliser la parole Gonzalo, la multiplication de ces stychomithiacynique saper l'utopie redering ridicule => Ces personnages utilisent des jeux de mots comme prendre le premier simple et le sens de ce que dit Gonzalo(plantation de graines d'ortie =), ils utilisent aussi un lexique qui suggère basse comédie d'avilir ce Gonzalo dit «ivre»et «vin», par exemple .

Ils le réduire à paillardise en parlant de "putes et coquins".

L'utopie semble déjà moinsidéaliste, après toutes ces critiques acerbes et les moqueries. => Le public est déchiré entre ce cynisme forte et une vision trop idéaliste et donc peu réaliste b) Des confusions et de contradictions: où est la perfection? => Si le discours Gonzalo semble être une utopie, il devient rapidement évident qu'il est imparfait.

D'une part il estun idéal donné par la négative.

Il ne dit pas ce qu'il veut mais veulent qu'il ne veut pas.

Ceci est visible par lesnégations de nombreux (anaphore de pas, la répétition de rien).

En tant que tel le texte apparaît plus négatifs quepositifs, et cela semble enlever une partie de la perfection de cette vision.Certaines des qualités décrites sont effectivement négatif lui-même, à savoir l'oisiveté n'est jamais quelque chosede positif. => Sa description est très confuse et il se contredit (Antonio), mais imagine aussi l'impossible qui le rend irréaliste etpeu inutile par exemple, il imagine l'abondance de l'agriculture sans travail.

Cette imperfection rend son utopie risible. => Cette confusion est vu à travers le pentamètre iambique agitée le public est amené par des lignes très rocheuxqui manquent pieds (l.

150) ou au contraire trop grand nombre (l.156-157).

L'utopie semble en fait être dans unetempête, bercé de cette façon et que le public et notamment dans ce verset instable qui contraste avec la stabilitésupposée qu'elle prévoit.. »

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