Commentaire de texte, Le Baron Perché, conte philosophique écrit par l’auteur italien Italo Calvino en 1957 et qui fait parti de la trilogie Nos Ancêtres.

« pierre à aiguiser, ou d’avertir qu’il fallait à dévier l’eau du jardin .

Les paysans commençaient à lui faire de plus en plus en confiance , confiance qui était réciproque car lui même défendait les terres des paysans quand ils étaient absent « s’il voyait un vol d’étourneaux se poser dans un champ blé il faisait du tapage et agitait son chapeau pour les mettre en fuite ».

On remarque donc que en plus d’échanger avec les paysans et d’avoir une bonne relation avec eux , Cosimo reçoit même des travail avec d’importantes responsabilité , ce qui est une preuve de confiance , il semble également porté un véritable intérêt pour le travail des champs et de la botanique. Ce nouveau rapport qu’il a établi avec les paysans marque son désir de rompre avec son origine sociale, son désir de liberté et de découvrir le monde à travers les hommes. II.

Rupture avec son origine sociale en route vers la liberté a) Rupture avec son origine sociale En décidant de s’exiler dans cet arbre Cosimo s’est ouvert de nouvelles perspectives de communication et de nouvelles personnes avec qui communiquer en dehors de sa famille et de ses serviteurs .

Il a commencé à parler aux paysans alors que lorsqu’il vivait dans son château son père lui interdisait d’adresser la parole à ces gens destiner à travailler pour eux et à les servir. En choisissant de parler aux paysans il se libère du diktat de son père.

Comme écrit par le narrateur »Au début, à le voir ainsi franchir de telles distances par la seule voie des branches » En se perchant sur son arbre il prend de la hauteur.

Cette hauteur lui permet de briser des codes de porter un nouveau regard sur la société, une nouvelle approche .

Il découvre le monde sous un angle différent malgré son appétence pour la solitude, loin de vivre en ermite il n’aura jamais été aussi sociable que lorsqu‘il était perché.

Grâce à cela il met ainsi fin à ce monde de contraintes et de préjugés que voulait lui imposer son père et ses origines sociales.Il trace sa route vers la liberté, b) Sa soif de connaissance et l’apprentissage de l’humain En étant libre , il communique et devient donc utile au bon fonctionnement de la société; il cherche à toujours rester en contact avec cette société à travers les paysans et ne veux plus jamais retomber dans cette solitude .

Les phrases longues illustrent parfaitement la prise de liberté opérée sur une vie faite au départ de contraintes tout comme son personnage principale; tous les codes et les interdis tombent et la soif de connaissance qui n’a pour but ultime que de servir l’humain afin de faire partie intégrante de cette société.

Ainsi Côme brise les frontières et gagne une liberté qui fait défaut à sa famille, Le narrateur au fur et à mesure de l’extrait nous montre que Cosimo observe les gens avec plus de clarté , il commence à prendre goût à la vie en communauté et à nous montrer le vrai sens de la liberté, il enchaîne les dialogues avec les inconnus dans le but de continuer son ouverture au monde et au personne qui l’entoure en permanence ou qui ne sont que de passage dans sa vie. c) Observer le monde sans limites Le dernier paragraphe met en avant le franchissement vers de nouvelles rencontres improbables, Le narrateur externe devient un narrateur interne il fait partie intégrante du nous « des rencontres avec des gens que nous on ne rencontre pas » le nous s’identifie à la noblesse . Cosimo ne se contente pas de dialoguer avec les villageois, les domestiques , ou encore sa famille, il va même jusqu’à parler avec des personnes de toutes origines qui sont toutes pour lui des rencontres importantes et marquantes dans son parcours «les rencontres avec des humains avaient. »