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Commentaire du saut dans Corniche Kennedy

Publié le 01/01/2023

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« Le réalisme est un mouvement apparu au XIXème siècle, décrivant la vie quotidienne telle qu’elle est.

Le livre Corniche Kennedy est un roman réaliste contemporain.

Il a été écrit par Mailys Kerangal puis publié en 2008.

Le roman raconte l’histoire d’un groupe d’adolescents ayant tous entre 13 et 17 ans qui se retrouve le soir sur « la Plate » à Marseille. Suzanne personnage envieux du groupe, elle finira part y rentrer.

Toutes les journées de ce groupe d’adolescents se rassemblent, elle commence des baignades puis des sauts du plus simple au plus compliqué.

Le groupe passera son temps à lutter contre la police pour sauter et plus particulièrement avec un policier qui s’appelle Sylvestre Opéra.

Le passage que nous allons étudier est lorsque le groupe d’adolescents monte pour aller faire le « Just Do It » qui est le deuxième saut le plus compliqué. Nous allons maintenant nous demander comment l’auteur dramatise le saut.

Pour commencer nous étudier la monter jusqu’au promontoire, ensuite l’arrivée au promontoire et pour finir le saut. Nous allons d’abord montrer qu’il y a une impression de puissance, notamment avec la comparaison « ils respirent là comme des seigneurs »l.4, qui exprime qu’ils se sentent puissants tout en haut de ce promontoire, et qu’ils se prennent un peu pour des rois qui surveillent leurs royaumes.

Avec l’énumération « C’est aussi…le monde» de la ligne 1 à la ligne 3-4 on peut penser qu’ils sont en haut d’une montagne à tout diriger, comme s’ils étaient sur le mont Olympe et qu’ils étaient des Dieux dirigeaient le monde, leurs regards ne sont pas bloqués par la moindre petite chose ils ont la vue sur tous ce qui les entoure ils peuvent tous surveiller ce qui prouve qu’ils ont une impression d'être puissant. De plus, on peut observer changement d’attitude chez les adolescents. «Finies les créatures hyperactive »l.6 montre que les adolescents sont très excités mais plus ils se rapprochent du promontoire pour sauter moins ils sont excités et que c’était comme si une certaine appréhension arrivait.

La description que le narrateur fait de la scène est comme coupé en deux, les adolescents sont surexcités, ils ont hâte d’y être, ils sont confiants, sûrs d’eux puis d’un coup une certaine peur arrive, ils appréhendent, ils ne sont plus sûrs d’eux « petite fiotte »l.7 exprime parfaitement que leurs comportements passent de très confiants avec une impression de puissance à un groupe d’adolescents peureux.

Nous avons ainsi montré la monter jusqu’au promontoire mais nous allons montrer l’arrivée au promontoire. Maintenant, nous allons étudier qu’il y a une impression de ralenti lorsqu’ils arrivent vers le promontoire.

On peut observer ligne 5-6 qu’il y a une impression de ralenti se créer « changent de vitesse » « leurs mouvements sont plus lents »l.5 l’auteur à voulu faire un contraste entre le moment où ils sont en bas qu’ils rigolent, qu’ils sont confiants et le moment où ils arrivent à ce promontoire ils changent d’attitude, ils ralentissent comme s’ils voulaient mettre plus de temps à arriver au sommet car ils ont comme une appréhension du saut, ils veulent reculer le temps, le ralentir, reculer ce moment où ils vont devoir sauter et avoir beaucoup de courage. Ensuite, il y a une dimension lyrique qui se déploie.

Avec la description du le narrateur, le moment nous montre qu’à ce moment-là c’est comme si le temps s’arrêtait, que d’un coup il n’était plus là et que tout ce qui comptait c’était cet instant présent où ils pensent juste au saut qu’ils vont faire.

« leurs cils touchent l’azur»l.12 et «caressent»l.12 rappelle le champ lexical.... »

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