commentaire jacques rivière - les déchirements du moi

« HLP Jaques Rivière est un homme de lettres mais également le directeur de La Nouvelle Revue française de 1919 jusqu'à sa mort.

En 1923, Antonin Artaud un poète français décide d'expédié ses poèmes à La Nouvelle revue française mais Jaques Rivière décide de ne pas les publier.

A partir de la une correspondance suivie entre les deux écrivains s'ouvre.

L'extrait proposé est la lettre de Jaques Rivière à Antonin Artaud du 8 juin 1924.

Celle-ci à pour thème principale l'écriture de soi,la reconquête de soi et plus généralement le moi.

Nous en viendront donc à la question suivante: En quoi la réflexion de Jaques Rivière expose-t-elle les déchirements du Moi ? nous verrons que les déchirements ,souffrance moral, se définisse en 3 grands points tout d'abord par fragments, par incomplétude et inaccessibilité et enfin par douleurs. Pour répondre à cette question nous allons donc voir tout d'abord les fragments de ce déchirements nous verrons ensuite ses sentiments d’incomplétude et inaccessibilité et enfin nous finirons par la douleurs de ces déchirements. Premièrement, dans la première partie de la lettre de Jaques Rivière nous pouvons comprendre que les déchirements se définisse d'abord par des fragments.

Jaques Rivière commence des les première ligne de sa lettre par palé d' « éclaircies » ce qui veut dire qu'il discerne clairement les choses mais ce mot est aussi associe au verbe «possède » ce qui veut dire qu'il les discerne que dans de très rare moment.

Un peu plus loin dans le texte, il parle également de « tornades » on peut donc déjà dire qu'il utilise la métaphore de la météo dans l'ensemble du paragraphe qu'il associe a la recherche de l'identité.Cette métaphore se poursuit également dans le paragraphe 2 avec le terme «le vent» qui évoque ici l'inspiration comme si le chemin de l'inspiration n’existe pas et qu'elle n'était au final que du vent.

Quelques paragraphes plus loin il continue son évocation de déchirements comme fragments avec une comparaison « comme un toit au-dessus de moi qui resterait en l'air » Ici la maison sans murs avec seulement un toit est comparée au moi.

Dans cette comparaison on comprend que les murs sont manquant comme si il était invisible ou comme si ils n'était que des fragments manquant.

Enfin, Jaques Rivière continue sont idée de fragments en parlant de ses sentiments qui ont « un petit air de fantastique » comme si au final il n'était qu'imaginaire et «admirer leurs absence » comme si donc ils n'était la que partiellement ou par fragments. Deuxièmement, Dans la suite de sa lettre Jaques Rivière les déchirements se définisse par un sentiments d’incomplétude ou inaccessibilité.Ce sentiments peut se justifié tout d'abord car nous ne possédons pas selon Jaques Rivière ponctuellement des éclaircies « il se possède,il ne s'atteint pas tout à fait» comme si cette objectif n'était inaccessible car nous n'avons des éclaircies que dans de rare occasion donc de très rare moment. Au paragraphe suivant Jaques Rivière vas continuer de cultiver ce sentiments d’incomplétude avec le motif de l'inspiration avec «qu'un bon vent qui me viendrait» qui caractérise le chemin «je parcours dans ma propre réalité» vers l'inspiration qui n'existe pas car il n'est que du vent.

Par ailleurs «accidentelle» évoque ici le fait que l'être est incomplet car ce n'est plus lui qui agit mais les choses qui agissent sur lui.

On retrouve aussi encore une fois la comparaison du toit sans murs qui renvoie au moi.

Elle est également présente dans ce déchirements car elle est en construction elle n'est donc pas complète,on ne peut pas encore vivre dedans.

«aucun moyen de me reconstruire» ici la phrase évoque aussi le fait que la maison est en quelques sortes impossible a construire car c'est le toit la dernière pièce qui à était construite en première mais n'est-il pas possible de continuer à se reconstruire malgré quelques faux pas ou pièce manquantes ?. Juste.... »