commentaire partie de campagne de maupassant

« L’auteur va aussi faire de l’ironie satyrique du titre. Puisque comme on ne peut   le rater, les deux femmes, Mme Dufour, mère et Mme Dufour, fille vont respectivement   tromper leur conjoint lors de la ballade sur la rivi ère avec les canotiers. Ce qui d éjà,   nous d étruit l’image d’une famille heureuse profitant du bon air de la campagne   ensemble. Mais plus gros encore, ces moments qu’elles ont pass és que l’on peut   malgr é tout faire passer pour un moment de plaisir, d étruit de nouveau cette id ée de   bonheur puisque finalement chacune retrouve la vie r éelle  à paris, la m ère reste   aupr ès de son mari et la fille se marie avec son promis mais toute deux demeurent   dans une tristesse intense du souvenir de cette journ ée et on rel ève les mots de la fille   disant «   d’un air triste   » (l.285), au bout d’une ann ée, «   moi, j’y pense tous les soirs   ».

  Heureusement, malgr é la perte de vue du cot é vrai semblant, Maupassant garde la   description de la campagne intact. Nous avons vu, qu’en effet, la description du tableau d’une partie de campagne   correspond  à sa d éfinition d’un point de vue vraisemblable litt éraire et  à l’image que   nous renvois ce titre. Pourtant, on a constat é également que l’auteur de par sa nature   pessimisme a tourn é en d érision l’histoire, ironisant de ce faits le titre en gardant   toujours un d écor de campagne paisible. De plus, force est de constater que   Maupassant a r éussi a instaurer un suspense  à l’histoire que l’on aurait plut ôt pens é   monotone.. »